"Puisque mon âme est un Ciel, il faut que ce Ciel, chante la gloire de l'Eternel, rien que la gloire de l'Eternel." Soeur Elisabeth de la Trinité
"A notre époque d'agitation bruyante, de préoccupations temporelles et techniques, il est bon de rappeler le souvenir si enrichissant de la petite carmélite de Dijon : âme de silence intérieur, d'union intime à la Trinité Sainte, d'amour spirituel rayonnant.
Elle rêvait d'être cette "humanité de surcroît, en laquelle Jésus puisse souffrir pour la gloire de Son Père et pour aider Son Eglise", et elle le fut !
Les pages qu'on va lire en portent le témoignage, et c'est en méditant ce qu'elles rapportent des pensées de soeur Elisabeth, que le lecteur trouvera au milieu des énervements du monde, la tranquilité dans l'ordre, c'est à dire la paix si ardemment désirée" (Paris, le 15 avril 1957, Cardinal Maurice Feltin, Archevêque de Paris)
"Il est étonnant, en effet, de voir combien de chrétiens de bonne volonté ont lu et relu les textes scipturaires les plus formels, et même ont parcouru les traités de théologie, sans avoir compris que la vie chrétienne c'est Dieu en nous. Ils n'ont pas réalisé que leur âme est un Ciel où Dieu réside." (Paris, le 25 mars 1957, Frère André de la Croix, Provincial O.C.D.)
Puisse ce petit livre contribuer à la diffusion toujours plus grande de ce message ; jamais peut-être les hommes n'ont eu un besoin plus pressant de connaître le sens véritable de leur pèlerinage terrestre.