L’Histoire Sainte condensée en quelques quatre-cent pages par l’un des meilleurs auteurs contre-révolutionnaires du début du XXe siècle qui a su réaliser cette prouesse, nous proposant un ouvrage de fort belle facture où les principaux événements qui auront marqué l’histoire du Peuple de Dieu sont fidèlement narrés et clairement commentés. On retrouvera donc avec un grand plaisir ces inoubliables figures bibliques que sont Adam et Ève nos premiers parents, Noé et ses trois fils, les Patriarches, les Prophètes, Gédéon, Tobie… N’oublions pas que de nos jours les juifs, nous pensons notamment aux sionistes avec leur projet délirant et ridicule qui ne peut qu’aboutir à un génocide de masse et à un chaos mondial (ce qui constitue le vrai but de la création d’Israël) de même que les antisémites officiellement considérés comme des « dissidents » se sont emparés de l’Ancien Testament pour en tirer des interprétations aberrantes et sacrilèges, faisant de Moïse le précurseur de Vladimir Jabotinski, de Samson le fondateur de l’Irgoun ou encore de Josué l’ancêtre de Menahem Begin (pourquoi pas imaginer le Roi David sous les traits d’Éric Zemmour, ou le patriarche Abraham sous ceux de Robert Badinter…) L’objectif de l’antisémitisme ayant toujours été de déformer la foi des catholiques en attaquant l’Ancien Testament de manière à les conduire à l’apostasie, ou vers une forme de gnosticisme plus ou moins larvé, ce qui revient au même. La lecture de ce livre, qui complétera celle des magnifiques ouvrages de Dom Monléon, tombe donc à point nommé car elle permettra de comprendre plus facilement notre monde ravagé et soumis à des forces considérablement néfastes comme le sionisme en particulier, et la subversion mondialiste de manière plus générale, forces qui constituent le champ d’action de la Synagogue de Satan. Car nous pouvons déjà repérer les prémisses de cette subversion dans l’Ancien Testament à travers les Hébreux infidèles ayant à moult reprises trahi Iahvé pour devenir les adeptes fanatiques de divers cultes démoniaques où sont divinisées les passions les plus viles et les fantasmagories les plus grotesques (ce qui aboutira plus tard à l’élaboration du Talmud et surtout à la Kabbale). Il nous est d’ailleurs rappelé dans l’Exode que Dieu lui-même, et ce à plusieurs reprises, irrité par ce comportement, n’aspirait ni plus ni moins qu’à exterminer ce peuple « à la nuque raide » et que c’est Moïse qui s’interposa humblement pour que son peuple soit épargné. Moïse qui par ailleurs égorgea plusieurs milliers de ses coreligionnaires suite à l’épisode du Veau d’or, cette grotesque idole copiée sur le bœuf Apis des Égyptiens. On notera au passage l’incroyable dégradation morale qui consiste à passer de l’adoration d’un Dieu Tout Puissant Créateur de toute chose à celle d’un bœuf magique et de ses attributs (c’est toute l’histoire du paganisme)… Or nous pensons ne pas nous tromper en affirmant que la plupart des mondialistes actuels, ainsi que leurs maîtres, sont des adorateurs d’Astarté, de Bélial, de Mammon, de Moloch ou de Chamos, tandis que d’autres, les plus puissants probablement, auront opté pour la voie plus « subtile » du luciférianisme en s’adorant eux-mêmes jusqu’à la démence. Consciemment ou non ils sont au service des mêmes entités face auxquelles se prosternèrent jadis leurs précurseurs charnels et prévaricateurs que Notre Seigneur n’abandonna jamais totalement, jusqu’à ce que s’accomplissent les prophéties qui verraient apparaître le Rédempteur du genre humain issu de la lignée de David, et qu’avaient annoncé des hommes admirables restés fidèles à la parole de Dieu comme le prophète Isaïe (qui fut, rappelons-le, scié en deux sous les ordres du roi Manassé, adorateur de Baal et en l’occurrence véritable ancêtre du cruel et grotesque despote sioniste Benjamin Netanyahou). Concluons par ce précieux rappel de l’auteur qui résume l’essentiel :« Israël est un peuple saint par vocation, parce que Dieu l’a choisi pour sien, non par ses mérites, quoique son histoire soit pleine d’exemples de sainteté, à côté d’innombrables aberrations. » (p. 334)I. C., dans Lectures Françaises n° 805 (mai 2024)