Quelques témoignages reçus par l’auteur :
5/5 Courrier ...
.----. « Maintenant, il n’y a pratiquement plus que toi pour tenir le flambeau et nous refaire chaque année un
bon vieux western ! J’ai été bluffé par ton histoire, ton style rien à dire, aventure simple mais pleine de
rebondissements que l’on apprécie tel un bon café avec le cigare en une chevauchée de l’amitié, de
l’honneur, du respect des valeurs pour nous chavirer tant et qui s’oublient actuellement. Tu es le digne
successeur de nos vieux écrivains… » (Mulhouse)
…
« Vieux Frère,
C’est avec jubilation et nostalgie que j’ai dévoré Comme une ombre qui danse. Somptueux et
paisible bonheur durant cette ultime chevauchée en ma plaine d’Alsace. Tu m’as gâté, Iac ! Pondre cette
œuvre simple et juste, un western pur jus qui rappelle les éditions du Masque qui nous faisaient tant
rêver et voyager. »
…
Lecture aussi plaisante que relaxante.
4/5 Rivarol .
.----. C’est plus un conte qu’un roman. Et on ne conseillera pas à celui que laissent indifférent
la conquête américaine, les immensités pelées du sud-ouest, Texas et Nouveau-Mexique,
et la formidable nostalgie jaillie d’une des dernières sagas de la millénaire geste
européenne, de s’attarder sur ce petit ouvrage très démodé.
Pour les amoureux du genre, en revanche, cette histoire écrite dans un style brut et
enlevé, bien en rapport avec le sujet, offrira une lecture aussi plaisante que relaxante.
Plongé dans une atmosphère « western » et « country » fort bien rendue par un auteur
dont on devine qu’il en est lui-même imprégné, le lecteur sera conquis par ces papies
nonagénaires, anciens Texas Rangers, échappés de leur maison de retraite, où ils attendent
la fin dans une désespérance bougonne, pour courir sus à des pilleurs de banque ayant
pris deux fillettes en otage.
La dernière chevauchée, qui se terminera en apothéose pour la bande, conduira le héros,
Rock O’Bannon, au paradis des cavaliers. Non sans qu’il ait, auparavant, remis ses colts
à son petit-fils. Cérémonie dont on devine qu’elle est lourde de sens puisqu’il reviendra
désormais à celui-ci de conserver vivante la merveilleuse légende d’une Amérique rurale
en train de disparaître des écrans et des mémoires à mesure qu’avance le rouleau
compresseur du chaos urbain. [ Signé : J.R dans " Rivarol ", n° 2874, 3 octobre 2008 ]