Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Climat : j´accuse - Des millions de morts au nom des pays riches ?

Référence : 103595
1 avis
Date de parution : 28 octobre 2015
Collection : TOUCAN L´ARTILL
EAN 13 : 9782810006793
Nb de pages : 176
17.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Ils ne savent pas ce qu'ils font. Ils disent vouloir sauver la planète pour le bien de l'humanité. Mais si on les écoute, les conséquences seront dramatiques. Lorsque la plupart des responsables politiques, économiques ou religieux accréditent l'objectif de la conférence de Paris de réduire de 50 % les émissions de CO2 à l'horizon 2050, non seulement ils font aveuglément confiance au travestissement de documents scientifiques, mais surtout ils contribuent à la mise en danger de mort de millions d'hommes et de femmes.
Car chaque année, plus de quatre millions d'êtres humains meurent parce qu'ils n'ont pas ou peu d'électricité et qu'ils sont intoxiqués par les fumées de foyers domestiques. D'après l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé), ce "dirty cooking" constitue bien la première cause mondiale de mortalité humaine. Pour faire cesser cette tragédie et plus généralement sortir de la pauvreté plus de trois milliards d'habitants, il faut avant tout leur donner accès à une électricité abondante et bon marché, que seules peuvent le plus souvent leur procurer des centrales à gaz ou à charbon.
Mais, au nom de la lutte contre les hypothétiques inconvénients du CO2, les gouvernements des pays riches voudraient le leur interdire. Heureusement, les pays pauvres ne les écouteront pas, conduisant la conférence de Paris, la COP 21, à un échec total.  
Christian Gerondeau est ingénieur polytechnicien. L'essentiel de sa carrière a été consacré à la défense de causes d'intérêt général. Son action novatrice à la tête de la sécurité routière française et européenne a sauvé des milliers de vies. Il travaille sur les questions environnementales depuis plus de dix ans.
TitreClimat : j´accuse - Des millions de morts au nom des pays riches ?
Auteur GERONDEAU (Christian)
ÉditeurARTILLEUR (EDITIONS)
Date de parution28 octobre 2015
Nb de pages176
CollectionTOUCAN L´ARTILL
EAN 139782810006793
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.23
Critique du libraire
En jouant le jeu de la conférence de Paris pour réduire de 50 % les émissions de CO2, les politiques mettent en danger de mort des millions d'hommes, en voici les preuves...
Les avis clients
Mystification planétaire !
5/5 Média-Presse.Info
.----. Christian Gerondeau est ingénieur polytechnicien et travaille sur les questions environnementales depuis plus de dix ans. Il a publié de nombreux ouvrages sur le sujet. Ce livre raconte l’histoire d’une mystification planétaire qui ne doit rien au hasard et dont les principaux auteurs furent dans les années 1980 une poignée d’activistes déterminés qui travaillent aujourd’hui pour les Nations Unies. Le principal vecteur d’une vision catastrophiste de l’influence possible de l’homme sur le climat est connu en français sous le sigle de GIEC. Il s’agit d’un organisme politique dont la mission a été volontairement orientée sur base du présupposé que l’homme a nécessairement une influence active négative sur le climat. Dépendant des Nations Unies, le GIEC est une filiale commune de l’UNEP (United Nations Environement Programme) et de l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale). Contrairement à ce qu’il répète, le GIEC n’est pas un organisme d’experts mais est composé des représentants des 194 pays qui y adhèrent et dont l’immense majorité ne dispose évidemment d’aucun expert en sciences climatiques. Les Nations Unies, l’Union Européenne, l’OCDE, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International, l’Organisation Mondiale de la Santé et même le pape François, tous répètent à l’unisson la vision idéologique et pessimiste de l’évolution du globe élaborée par le GIEC qui a reçu pour cela le prix Nobel de la Paix. Seuls deux chefs d’Etat, Vladimir Poutine et Donald Trump, font pour l’instant exception. Christian Gerondeau s’attache à dévoiler l’extraordinaire processus qui a permis de faire cautionner par des milliers d’experts des contrevérités flagrant-es qu’aucun d’entre eux n’aurait accepté de signer isolément. Au passage, on apprend que c’est un dirigeant officiel de Greenpeace, payé par le lobby de l’industrie photovoltaïque, qui est à l’origine du seul scénario qui affirme contre toute évidence que 80% de l’énergie de la planète pourraient êtres fournis en 2050 par les énergies renouvelables. Un chapitre entier démonte magistralement l’encyclique « Si laudato » du pape François qui attribue à la Planète un caractère divin selon une logique qui aurait probablement été autrefois considérée hérétique. Radicalement à contre-courant, ce livre se veut aussi rigoureusement scientifique tout en restant très pédagogique. [ Publié par Ex Libris le 30 juillet 2017 sur Media-presse.info ]