Sommaire : Mannerheim, l'homme qui sauva la Finlande Pourquoi Mannerheim est-il adulé par le peuple finlandais ? Le Grand Duché La Finlande, un pays éternellement amputé La jeunesse de Mannerheim Mission scientifique en Asie Centrale De la Pologne à la Guerre d'indépendance Mannerheim devient Commandant en chef Les chasseurs de la Guerre d'indépendance La Carélie, pierre d'achoppement La guerre civile De l'armée à la Régence Le cas des îles Aland La Guerre d'hiver Jean Fontenoy en Finlande Les Lottas ...
Critique du libraire
Réédition 2021. « Dans sa préface, Roland Hélie l'a présenté comme "L'homme qui sauva la Finlande". Sa figure est peu connue et mérite largement qu'elle soit sortie de l'oubli. Ce que fait J. Cl. Rolinat dans cet ouvrage. Né en 1867, mort en 1951, il fut le « héros de la résistance nationaliste et anti-communiste du peuple finlandais face aux prétentions impérialistes des soviétiques ». Il était âgé de 50 ans, en 1917, au moment de la révolution bolchevique et à cette époque, il lui fallut une volonté de fer et une énergie sans borne pour s'opposer et résister aux soviétiques qui voulaient imposer aux pays de l'Europe septentrionale leur doctrine qui devint la plus sanguinaire de tous les temps. « Il parvint à ses fins et fut considéré comme le sauveur de sa patrie. Lorsqu'il mourut (âgé de 84 ans), il fut honoré d'obsèques nationales et reste, encore aujourd'hui, vénéré par une majorité de ses compatriotes Finlandais. Une figure historique et un personnage de légende à découvrir. » Jérôme Seguin, dans Lectures Françaises n° 776 (décembre 2021)
Les avis clients
Résistance anti-communiste de la Finlande
5/5https://synthese-editions.com/
.----. Mai 2021 : nouvelle édition.
Méconnu en France, le Maréchal Carl Gustaf Emil Mannerheim incarna, dans la première moitié du XXe siècle, l’héroïque résistance nationaliste et anti-communiste du peuple finlandais face aux prétentions impérialistes des soviétiques.
Mannerheim fit preuve d’un pragmatisme original grâce auquel la Finlande sortie victorieuse de sa guerre de libération nationale. Certes, il s’entendit avec les puissances de l’Axe, mais cela ne l’empêcha pas de continuer à jouer un rôle politique important jusqu’à sa mort survenue en 1951.
Jean-Claude Rolinat, à qui nous devons un livre consacré à Salazar et un autre à Mandela (publiés aux Bouquins de Synthèse nationale), nous fait revivre dans ce n°5 des Cahiers d’Histoire du nationalisme un grand patriote qui mérite d’être mieux connu. [ mercredi, 05 mai 2021 ]