Nous supprimons .
5/5 " Chiré "
Nous supprimons ici un nouveau texte signé Serge ; il n'est pas possible de le laisser car des poursuites judiciaires seraient possibles et dans ce cas ce serait au rédacteur de signer de son nom et à la condition que nous acceptions un tel débat qui nous semble trop éloigné de nos buts ! ; nous ne pouvons pas accepter de tels risques sans la moindre preuve , ce serait trop facile ! de plus cette rubrique n'est pas celle d'un blog de discussions !
Suppression !
5/5 " Chiré "
Nous supprimons ici un texte qui n'est pas un commentaire sur le livre mais une attaque anonyme ( sous pseudonyme Serge ) contre l'auteur . L'objectif de ces messages est d'apporter des avis ou renseignements sur les livres ou éventuellement sur les auteurs mais lorsqu'il y a critique sévère cela n'est possible que si elle est signée d'un nom ou d'un pseudonyme connu car sans cela c'est le site qui est responsable ! .
Famille : cible visée
5/5 Famille d'abord, n°31, décembre 2016
Sorti en 2014, ce petit livre (au format bien pratique pour être glissé dans un sac ou une poche) est né d'un double constat : au siècle dernier, Dieu a été relégué hors de la sphère publique et dans le même temps la femme a été poussée hors du foyer dans cette même sphère publique désormais désertée par Dieu.
Le livre commence donc par analyser ce processus de destruction de la famille et de la société. Quoi de mieux, en effet, pour détruire la société et ainsi l'asservir, que de s'attaquer à ses fondements. La cible principale a donc été sa cellule de base, la famille mais aussi les femmes qui sont l'âme même du foyer (genre, avortement, travail, etc.).
Des solutions alternatives
Les auteurs esquissent ensuite des solutions pour une refondation de la société et des rapports entre hommes et femmes aujourd'hui et demain. Cela passe par la restauration de la liberté de conscience, de l'instruction des enfants, de la piété filiale, de la féminité au coeur de la cité, de la recherche du bien commun et finalement de Dieu.
Pour aller plus loin
Fort de ce constat sur la condition de la femme moderne, Stéphanie Bignon nous livre une analyse complémentaire dans son tout dernier livre paru en octobre « la chasteté ou le chaos ». À l'inverse de notre société contemporaine qui a clairement fait le choix de la recherche frénétique de l'argent, des possessions et du plaisir, la seule solution est donc la chasteté qui procure la liberté du coeur, et nous permet de mieux maîtriser nos actes, nos pensées et nos paroles.
Deux auteurs
Anne Brassié est journaliste et écrivain. Elle anime une émission littéraire iliaque jeudi à Radio Courtoisie.
Stéphanie Bignon est ingénieur océanographe et signe ici son premier ouvrage
RdB
Re-christianiser .
5/5 Blog d'Anne Brassié .
.----. Re-christianiser la France ou mourir (Publié le 14 février 2015 par Anne Brassié ) - Notre pays est catholique par essence, et il est éternel s’il reste Catholique. .-----. Il faut donc plutôt se souvenir que nous sommes chrétiens. .-----. Le système dans lequel nous vivons est parricide depuis son avènement. Il a commencé par tuer le Père protecteur des familles, des nations pour prendre la place de la Mère dans son rôle d’éducatrice, de soins aux plus démunis (EX : éducation National à la place de la mère de famille et de l’Église ). Ce système a pris la place de la Mère de famille et de notre Mère l’église pour atteindre la création au cœur, atteindre la vie et la liberté en créant des lois pour remplacer les multiples liens que tissaient nos mères, grand-mères et l’Église. Nous avons perdu l’éducation des mères et nous avons gagné la contrainte de lois… .-----. Retrouvons la mémoire, le sens du combat pour la création et contre le malin en retrouvant le Père protecteur et la Mère qui porte la vie. Retrouvons les dans toute leur fécondité charnelle, terrestre et spirituelle ! .-----. Agissons, prions, retrouvez-nous à l’adresse : chapeletdesfamilles@gmail.com [ signé Stéphanie Bignon. J'ai beaucoup aimé ce texte et j'espère qu'il vous incitera à commander le livre proposé J. Auguy ]
Les féministes sont le malheur de la femme .
5/5 Politique Magazine
.----. L'ouvrage d'Anne Brassié et Stéphanie Bignon, petit par la taille, n'en est pas moins dense par l'esprit. C'est un cri d'alarme sur la prétendue " libération de la femme " qui est un non-sens : en rupture totale avec les traditions, elle s'effectue, en réalité, au détriment de la femme elle-même ; prisonnière des apparences, noyée dans le flot médiatique, elle s'imagine décider librement alors qu'elle est victime de plus en plus de cette même société qui décide tout pour elle, l'isole, la fragilise et la jette comme une proie facilement consommée et déchiquetée. Ainsi, celle qui a toujours incarné l'unité et transmis le symbole, voit sa vocation complètement déviée. Toutefois, de plus en plus, un discours vraiment écologique se fait entendre et avec lui, une autre philosophie : pensez donc que certaines femmes rêvent d'accoucher chez elle et ne veulent plus de couches jetables ! Alors ? Régression ou révolution ? Serait-ce le triomphe de nos grand-mères ? En tous cas, il est évident que le modèle prétendument émancipateur de la femme est loin d'être une source de bonheur. Les féministes font le malheur de la femmme. Ce livre, vif et bien tourné, contribue à une prise de conscience salutaire. Pour les femmes ! ( H.D.C. dans POLITIQUE MAGAZINE - numéro 128 - avril 2014 ).
Le titre claque comme un slogan !
3/5 Famille chrétienne.
.----. « Cessez de nous libérer ! » Le titre claque comme un slogan, à rebours de la pensée dominante. Celle qui depuis les années 60 boute les femmes hors de leur foyer en leur promettant des lendemains qui chantent. La libération de la femme ? Anne Brassié et Stéphanie Bignon en décryptent ici les véritables desseins : une vaste entreprise de destruction de la famille, initiée en 1789 dans le but d’arracher l’enfant à ses déterminismes familiaux et de renverser l’ordre naturel voulu par Dieu. Parce que la femme est celle qui transmet la foi, la culture, la morale et les traditions, parce qu’elle est l’âme du foyer, il faut l’en expulser. Et l’éducation des enfants ? Qu’elle se rassure, l’État y pourvoira.
Les deux auteurs – l’une est journaliste, l’autre pilote d’engins sous marins, il est intéressant de le souligner – réhabilitent dans un brillant plaidoyer la vocation première de la femme : celle de s’occuper de son foyer. Le propos est percutant, argumenté, parfois vif. Mais la mise au point était nécessaire. [ Élisabeth Caillemer dans : Famille chrétienne, n°1898 du 31 mai au 6 juin 2014 ]
La somme des bêtises que nous entendons ...
3/5 Lecture et Tradition
.----. Voici un petit livre qui arrive à propos sur un sujet que le titre laisse deviner.
Les auteurs ayant constaté qu'après avoir sorti Dieu de la sphère publique pour l'enfermer dans le foyer, on voulait sortir la femme du même foyer pour la jeter dans la sphère publique, « quelle étrange coïncidence ! » s'écrient-elles (p. 33) et de nous expliquer :
« Ce livre est né d'une réaction. La somme des bêtises prononcées et des lois édictées, les secondes pour faire croire à la réalité des premières, nous a poussées à écrire cet avertissement : nous sommes accablés de mensonge sur la condition féminine et la laïcité. Voyons les choses en face et refusons la propagande ». (p. 33) . .******. . . Le long des cent trente pages qui suivent, les auteurs exposent les aberrations dont nous sommes témoins voire victimes et proposent entre autres comme remède au malaise engendré par ces aberrations contre nature la reconnaissance de la féminité, de la maternité. . .******. . .Conclusion du premier chapitre intitulé « Remontons le temps » : « … Des régimes politiques, des systèmes économiques veulent imposer un homme nouveau. Et comment façonner cet homme ? En changeant d'abord la femme car “s'il appartient à l'homme de façonner le monde, il appartient à la femme de façonner les hommes.” Il faut donc changer la matrice… » (p. 55). . .******. . .Le chapitre suivant « le Diable passe toujours par Ève » nous fait assister à toutes les étapes du processus de destruction de la société pour conclure (évoquant le jour de Pâques) : « Ce sont les femmes qui sont allées au tombeau. Elles prennent tous les risques ; les apôtres, eux, ont quitté Jérusalem. C'est à une femme enfin que Jésus apparaît. » (p. 118) . .******. . .Sur cette note d'espérance, le troisième et dernier chapitre, « Pour une restauration rapide ! », propose de « tout restaurer en Dieu » : « L'injonction de saint Pie X résume évidemment le travail qu'il reste à faire. Vaste programme ! Restaurer en Dieu la maternité, la paternité, le couple, l'économie, la politique et la société repart du bon pied » (p. 149). Prenant pour exemple la vie d'Alexandre Soljenitsyne, les auteurs montrent le chemin à parcourir : les pays de l'Est ont renversé la vapeur, alors courage ! . .******. . . « Que vous soyez chrétienne ou non, sachez reconnaître ceux qui ont compris les terribles enjeux de notre temps et les terribles forces à l'œuvre. Mais sachez reconnaître aussi votre force. Affirmez-la. » (p. 162). . .****** . . . Notre force à nous les femmes, c'est la maternité : la maternité proprement dite qui nous fait participer à la création ou la maternité spirituelle, discrète mais si féconde. « … les femmes peuvent transformer la civilisation de mort en civilisation d'amour, elles sont éducatrices à l'amour, éducatrices de l'enfant mais aussi éducatrices de l'homme. » (p. 163) Le mot de la fin : « C'est bien par nous que le diable tente de détruire la création, parce que c'est par nous que se continue la création. » (p. 164) . .******. . . La couverture de ce livre au format pratique et agréable, dessinée par Chard, est tout à fait charmante. [ Claude Jacque dans " Lecture et Tradition " - Nouvelle Série - numéro 36 - avril 2014 ) Vous pouvez nous demander un spécimen de notre revue en descendant en bas de page : " Contactez-nous " .