Ces messieurs

Saint-Sulpice .

4/5 L'appel des pins .

.----. Etude historique et critique, avec notes, sur les grands séminaires (particulièrement celui de Nantes) et sur ceux qui les dirigent (en particulier ces messieurs de Saint-Sulpice), suivie d'un texte adjoint sur les sulpiciennes, puis d'une étude sur le comportement des religieuses de France durant la révolution... Malgré d'inévitables références à l'actualité, c'est une oeuvre d'Histoire du passé ; on pourra regretter l'une ou l'autre généralisation hâtive et que certaines sources de l'auteur ne soient pas les meilleures, mais c'est écrit franchement sans jouer à l'impassible historien ni au diplomate astucieux. Après lecture, on en sait tout de même plus long sur "Ces Messieurs" ! [ Numéro 39 - avril 1979 de " L'appel des pins " ; bulletin trimestriel des Amis de Garabandal - Directeur-gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt ]

Présentation

4/5 Notice de l'auteur.

.----. Etude historique et critique -- avec notes -- sur les grands séminaires (particulièrement celui de Nantes) et sur ceux qui les dirigent (en particulier les messieurs de Saint-Sulpice), suivie d'un texte adjoint sur les sulpiciennes, puis d'une étude sur le comportement des religieuses de France à une époque critique.

Conditions d'édition.

3/5 Notice de l'auteur.

Cet Ouvrage n'a pas obtenu l'aide du C.N.L. ni de quelque autre organisation, il ne comporte pas d'IMPRIMI POTEST ni de NIHIL OBSTAT ; rédigé exclusivement par l'auteur et financé par lui seul, il est indépendant de toute pression philosophique, religieuse ou politique.

Les Séminaires.

3/5 Notice de l'auteur.

.----. Quelquefois l'on achève la lecture d'ouvrages avec l'impression de n'en guère savoir plus qu'auparavant : ce ne sera pas le cas ici ; à partir des grands séminaires de Laval, de Nantes surtout et des sulpiciens,voici qu'est abordé un sujet brûlant ; malgré d'inévitables références à l'actualité, c'est une œuvre d'histoire du passé ; on pourra regretter l'une ou l'autre généralisation hâtive et que certaines sources de l'auteur ne soient pas les meilleures ; quelques-unes de ses vues ou réflexions agaceront peut-être des curés et des anti-curés, pourtant c'est écrit franchement, sans jouer à l'impassible historien ni au diplomate astucieux ; bien qu'il soit loin d'avoir tout dit sur les séminaires, après lecture on en sait toutefois plus long sur le monde clérical, comme sur beaucoup d'autres sujets.