Débouté ( suite...).
5/5 Lectures Françaises.
.----. L'affaire Rassinier nous montre, une fois de plus, qu'il y a des sujets tabous. Elle nous prouve également que ce n'est pas le comportement des hommes pendant l'occupation qui compte, aux yeux des résistantialistes, mais leur activité présente. D'où cette haine contre un Paul Rassinier, ancien déporté, et l'amicale compréhension à l'endroit de ces nombreux journalistes et écrivains qui approuvaient l'antisémitisme en 1940-1944 et qui collaborent avec les communistes ou les israélites en 1964. ( numéro 93 décembre 1964 ).
Débouté !!!
5/5 Lectures Françaises.
.----. " Il y a des juges à Paris ! " s'exclame avec satisfaction M. Bernard Lecache dans sa feuille mensuelle " Le Droit de Vivre ". Ce n'est pas nous qui dirons le contraire. Depuis vingt ans, nous ne l'ignorons pas, nous avons payé pour le savoir. Ceci dit, pourquoi cette jubilation de l'ancien rédacteur de "L'Humanité" ( de Marcel Cachin ) et de "La Volonté" ( d'Albert Dubarry ) ? Tout simplement parce que, poursuivi par M. Paul Rassinier, le tribunal correctionnel vient de débouter l'ancien déporté. ( numéro 62, novembre 1964 ).
Partialité dans les récits ...
5/5 Lectures Françaises / 1964 .
.----. naturellement, M. Lecache avait fait citer comme témoins le ban et l'arrière-ban de la L.I.C.A. Aucun des témoins ne put affirmer et encore moins prouver que M. Rassinier était membre de la fameuse " Internationale Nazie ". Pacifiste et anarchiste, M. Rassinier est aussi éloigné des mensonges officiels du résistantialisme européen que de l'idéologie nationale-socialiste. Il n'a fait que répéter, devant les juges, ce qu'il écrit depuis quinze ans dans ses livres, à savoir que l'on a fait preuve de partialité dans les récits qui ont été publiés depuis la guerre sur les camps de concentration nazi. Sans nier leur horreur, il affirme en particulier -- que ce sont les KAPOS, c'est-à-dire les détenus ( généralement communistes ) chargés de l'administration intérieure des camps, qui sont responsables très souvent de la mort de leurs camarades détenus. Cela peut ne pas plaire aux complices du P.C.F.( mais c'est ainsi ) et les tribunaux, après la saisie du " Mensonge d'Ulysse ", ont bien été obligés de reconnaître que ses révélations n'entachaient nullement l'honneur des autres déportés. .---- .... --- ... -- .. - . Après les plaidoiries de Mes Dejean de La Batie et Geouffre de la Pradelle pour le plaignant, et Mes Izard, Gérard Rosenthal et Gaston Maurice pour le diffamateur, l'affaire a été mise en délibéré. Le jugement sera rendu le 26 octobre .( numéro 91, octobre 1964 ).
M. Rassinier attaque ses diffamateurs.
5/5 Lectures Françaises - 1964 .
.----. Traité d' " agent de l'Internationale nazie " par " Le Droit de Vivre ", M. Paul Rassinier, ancien déporté, qui fut député socialiste avant que la S.F.I.O. ne se sépare de lui pour crime de non-conformisme, a intenté un procès au journal de M. Bernard Lecache. ( Notons, en passant, que la dite feuille avait refusé d'insérer la réponse que lui avait adressée le diffamé ) . L'affaire est venue devant les juges de la XVIIe Chambre du Tribunal de Grande Instance de la Seine le 5 octobre. ( suite... ).
Un écho sur l'auteur.
4/5 Lectures Françaises / 1962.
.----. M. Paul Rassinier, l'auteur du " Mensonge d'Ulysse " et du " Parlement aux mains des banques ", a fait une tournée de conférences en janvier et février sur le thème : " Le pétrole, pommes de la discorde mondiale ". Son exposé fit l'objet de commentaires élogieux de la presse régionale. " L'Union " de Reims (30-1) résumait ainsi la conclusion du conférencier : " La masse est mal informée, mal éduquée, mal conseillée. On a coutume de la " faire descendre dans la rue " sous prétexte de " passer à l'action ". C'est une erreur tragique. On ne peut maîtriser les évènements si on ne les connait pas. " ( numéro 60-mars 1962 ).