Brigitte
Est-il nécessaire de présenter Berthe Bernage, plusieurs fois couronnée par l’Académie Française. Fleuron de son œuvre, Brigitte passionne le public féminin depuis un demi-siècle… Brigitte, saga passionnante d’une grande famille française confrontée aux problèmes de notre temps… Brigitte, trait d’union entre les générations… douée d’une vitalité et d’une force de caractère peu communes… Brigitte, désormais chef de famille, qui a toujours si bien su conseiller les siens et leur donner cette vision chrétienne des choses sans laquelle tout va de travers…
C’est la grande romancière Simone Roger-Vercel qui, depuis bientôt vingt ans, continue l’écriture de Berthe Bernage, sous le pseudonyme de « Marie-Agnès » que les lectrices connaissent bien. Après une éclipse de quelques années, Brigitte poursuit de nouveau son chemin.
Berthe Bernage est un écrivain français. Elle est connue notamment pour sa série Brigitte, commencée en 1925, qui raconte la vie de Brigitte Hauteville de son adolescence à sa vieillesse. Elle est aussi connue sous le pseudonyme de Bettine.
Elle est la fille de Siméon-Auguste Barthélémy et de Louise-Marie Jenny Deltour. Elle naît à Paris, rue d'Artois, dans le quartier bourgeois de St Philippe du Roule, en 1886, dans une famille d'universitaires tant du côté paternel que maternel. Elle est la cadette de six filles.
Des six filles, Adèle et Louise entreront dans les ordres, Marie meurt à 18 ans, Marguerite épouse un nommé Arsène Limon Duparcmeur, Geneviève a la douleur de perdre son fiancé tué au cours de la bataille de la Marne, elle ne se mariera jamais, fera une carrière dans l'enseignement, mais elle sera aussi l'amie, la secrétaire, la gouvernante, la confidente de sa sœur Berthe. Berthe, quant à elle, entre à la Sorbonne et en sort licenciée ès lettres. C'est une jeune femme cultivée et spirituelle.
Sa vie a été consacrée à l'écriture (des romans, des nouvelles, des ouvrages théoriques et pratiques, des chroniques), à l'édition ("La Semaine de Suzette" et "Les Veillées des Chaumières") et aux Éditions Gautier Languereau (55, quai des Grands Augustins, puis 18, rue Jacob) en général.
Dès son enfance elle a observé et noté les comportements de son entourage bourgeois, milieu dans lequel elle évolue, où seuls, ordre, discipline, devoir, sacrifice, amour de la patrie et bons sentiments sont de rigueur. C'est du moins ce qu'elle croit et retient. Ses tableaux enfantins deviennent peu à peu des contes qu'elle lit à ses amis puis qu'elle envoie à quelques revues bien pensantes qui les acceptent. Ainsi en 1923 elle commence véritablement une carrière littéraire.
Très active dans les organisations catholiques, elle participa en octobre 1932 avec Marguerite Bourcet à une retraite d'écrivains catholiques organisée par le père Bessières au couvent de la Solitude à Versailles : y furent fondées les Journées des Femmes écrivains catholiques, rencontres-retraites qui se tinrent trois fois par an dans les années suivantes.
En 1934 Berthe devient sociétaire de la Société des Gens de Lettres. Elle y fut présentée ainsi « Comparés aux livres de Mlle Berthe Bernage, ceux de la Bibliothèque rose pourraient passer pour licencieux et presque démoniaques ». Ses livres furent traduits en plusieurs langues y compris le turc.
Est-il nécessaire de présenter Berthe Bernage, plusieurs fois couronnée par l’Académie Française. Fleuron de son œuvre, Brigitte passionne le public féminin depuis un demi-siècle… Brigitte, saga passionnante d’une grande famille française confrontée aux problèmes de notre temps… Brigitte, trait d’union entre les générations… douée d’une vitalité et d’une force de caractère peu communes… Brigitte, désormais chef de famille, qui a toujours si bien su conseiller les siens et leur donner cette vision chrétienne des choses sans laquelle tout va de travers…
C’est la grande romancière Simone Roger-Vercel qui, depuis bientôt vingt ans, continue l’écriture de Berthe Bernage, sous le pseudonyme de « Marie-Agnès » que les lectrices connaissent bien. Après une éclipse de quelques années, Brigitte poursuit de nouveau son chemin.
Berthe Bernage est un écrivain français. Elle est connue notamment pour sa série Brigitte, commencée en 1925, qui raconte la vie de Brigitte Hauteville de son adolescence à sa vieillesse. Elle est aussi connue sous le pseudonyme de Bettine.
Elle est la fille de Siméon-Auguste Barthélémy et de Louise-Marie Jenny Deltour. Elle naît à Paris, rue d'Artois, dans le quartier bourgeois de St Philippe du Roule, en 1886, dans une famille d'universitaires tant du côté paternel que maternel. Elle est la cadette de six filles.
Des six filles, Adèle et Louise entreront dans les ordres, Marie meurt à 18 ans, Marguerite épouse un nommé Arsène Limon Duparcmeur, Geneviève a la douleur de perdre son fiancé tué au cours de la bataille de la Marne, elle ne se mariera jamais, fera une carrière dans l'enseignement, mais elle sera aussi l'amie, la secrétaire, la gouvernante, la confidente de sa sœur Berthe. Berthe, quant à elle, entre à la Sorbonne et en sort licenciée ès lettres. C'est une jeune femme cultivée et spirituelle.
Sa vie a été consacrée à l'écriture (des romans, des nouvelles, des ouvrages théoriques et pratiques, des chroniques), à l'édition ("La Semaine de Suzette" et "Les Veillées des Chaumières") et aux Éditions Gautier Languereau (55, quai des Grands Augustins, puis 18, rue Jacob) en général.
Dès son enfance elle a observé et noté les comportements de son entourage bourgeois, milieu dans lequel elle évolue, où seuls, ordre, discipline, devoir, sacrifice, amour de la patrie et bons sentiments sont de rigueur. C'est du moins ce qu'elle croit et retient. Ses tableaux enfantins deviennent peu à peu des contes qu'elle lit à ses amis puis qu'elle envoie à quelques revues bien pensantes qui les acceptent. Ainsi en 1923 elle commence véritablement une carrière littéraire.
Très active dans les organisations catholiques, elle participa en octobre 1932 avec Marguerite Bourcet à une retraite d'écrivains catholiques organisée par le père Bessières au couvent de la Solitude à Versailles : y furent fondées les Journées des Femmes écrivains catholiques, rencontres-retraites qui se tinrent trois fois par an dans les années suivantes.
En 1934 Berthe devient sociétaire de la Société des Gens de Lettres. Elle y fut présentée ainsi « Comparés aux livres de Mlle Berthe Bernage, ceux de la Bibliothèque rose pourraient passer pour licencieux et presque démoniaques ». Ses livres furent traduits en plusieurs langues y compris le turc.