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Bref examen critique de la Communion dans la main

Référence : 117210
3 avis
Date de parution : 1 avril 2021
EAN 13 : 9782916951218
Nb de pages : 170
15.00
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Description
La question du monde de réception de la Communion est au coeur de la vie de l'Eglise puisqu'elle concerne directement le Christ, réellement et substantiellement présent sous les apparences du pain et du vin après la Consécration.  
Jean-Pierre Maugendre : Ancien Président du Mouvement de la Jeunesse Catholique de France (MJCF) et de Renaissance Catholique, dont il est aujourd'hui Délégué Général.
Chanoine Grégoire de Guillebon : Prêtre catholique et membre de l'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre
Abbé Claude Barthe : Auteur de nombreux ouvrages de réflexion sur la crise actuelle et de chroniques religieuses, il a consacré de nombreux travaux au missel tridentin et à la réforme liturgique.
R.P. Réginald-Marie Rivoire : Membre de la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier et docteur en droit canonique
Jeanne Smits : Journaliste spécialisée dans les questions bioéthiques, sociétales et religieuses, animant un blog d'informations internationales
.  

Sommaire :
Cardinal Raymond Burke : Préface
Jean-Pierre Maugendre : Pour l'honneur de l'Eucharitie
Chanoine Grégoire de Guillebon : La Communion dans la main aux temps apostoliques
Abbé Claude Barthe : Le Processus de la Communion dans la main
R.P. Réginald-Marie Rivoire : La situation juridique de la Communion dans la main
Jeanne Smits : 50 ans de Communion dans la main. Bilan et Perspectives
Annexe 1 - Insrtuction Memoriale Domini du 29 mai 1969
Annexe 2 - La Communion dans la main : une désobéissance autorisée. In memoriam SE Mgr Juan Rodolfo Laise par Mgr Nicola Bux
TitreBref examen critique de la Communion dans la main
Auteur MAUGENDRE , GUILLEBON , BARTHE , RIVOIRE , SMITS
ÉditeurCONTRETEMPS (EDITIONS)
Date de parution1 avril 2021
Nb de pages170
EAN 139782916951218
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)13
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.24
Critique du libraire
Préface du cardinal Raymond Burke. La question du mode de distribution de la Communion a de nouveau fait la une de l'actualité à l'occasion des contraintes sanitaires imposées par la pandémie de Covid 19. Beaucoup d'âmes ont été troublées. Ce Bref examen critique de la Communion dans la main constitue une tentative pour leur rendre la paix en exposant posément les éléments du dossier : Qu'était la Communion dans la main aux temps apostoliques ? Par quel processus a-t-elle été autorisée, de nouveau, après une période d'interdiction ? Quelle est la situation juridique de cette pratique ? Quel bilan objectif dresser de ces 50 années d'autorisation de la Communion dans la main ?
Les avis clients
Risque d'exposer le Corps du Christ au sacrilège"
5/5 Cardinal Sarah
.----. ROBERT CARDINALE SARAH Cité du Vatican, le 26 mars 2021 Je vous remercie de m'avoir remis l'ouvrage: Bref examen de la Communion dans la main (...). Je l'ai lu attentivement, car les auteurs abordent une question à la fois essentielle et douloureuse au sujet de laquelle je me suis prononcé à diverses reprises, notamment dans une conférence adressée aux membres de Sacra Liturgia, à Milan, le 6 juin 2017 : j'avais dit notamment : "Au sujet de la communion dans la main, je suggère humblement que cette question soit, en toute sérénité et honnêtement, examinée par les évêques, individuellement ou d'une manière collégiale. Nous savons que le rejet ou l'abandon de l'expérience et des valeurs du passé n'ont pas toujours produit de bons fruits chez beaucoup de nos contemporains. Il me semble que la communion dans la main est une pratique qu'il faut fortement déconseiller, en nous appuyant sur des dispositions antérieures de l'Eglise. Abandonner sans discernement ou par pure attitude idéologique, l'héritage de l'Eglise peut provoquer de grands dommages spirituels dans les âmes. La communion dans la main comporte de grands dangers de profanation et des cas de regrettables manques de respect à l'égard de la Sainte Eucharistie. Il y a surtout le risque d'exposer le Corps du Christ au sacrilège". Comme vous pouvez le constater les préoccupations des personnes qui ont rédigé cet ouvrage rejoignent les miennes. Il est d'ailleurs dommage qu'un prêtre célébrant habituellement selon la forme ordinaire du Rite romain n'ait pas été associé à la composition de ce livre, même si certains d'entre eux ont été cités, comme l'abbé Christophe Kruijen. Surtout, je voudrais souligner la qualité du travail accompli : les trois prêtres étudient cette question sous des angles qui se complètent : historique (chanoine de Guillebon), liturgique (abbé Barthe) et canonique (R. Père Rivoir). Leurs contributions sont très précieuses et irréfutables : il s'agit, pour chacun d'entre eux, d'un travail précis, complet, bien documenté, avec citations des sources en notes. La conclusion de Jeanne Smits, dans laquelle celle-ci cite une liste impressionnante de faits déplorables, pourrait sembler, au premier abord, assez polémique, et pourtant celle-ci, se faisant le porte-parole de très nombreux fidèles, a le mérite de montrer les conséquences au niveau universel de cette pratique délétère. En conclusion, je pense que cet ouvrage constituera un élément important de la réflexion que je souhaite sur ce sujet en vue d'un retour à la pratique traditionnelle de la communion sur les lèvres au sujet de laquelle je disais dans cette même conférence de Milan : « Sainte Mère Teresa de Calcutta recevait Jésus-Eucharistie dans sa bouche, comme un petit enfant qui se laisse humblement nourrir par son Dieu. Elle était triste et peinée de voir les chrétiens recevoir la sainte communion dans leurs mains. Voici ses propres paroles : "Partout où je vais dans le monde, ce qui m'attriste le plus, c'est de regarder les gens recevoir la communion dans la main". Quand on lui a posé la question: "Selon vous, quelle est le plus grand problème du monde d'aujourd'hui? ", elle a donné cette même réponse sans une seconde d'hésitation». Je vous souhaite dès maintenant une joyeuse et sainte fête de Pâques, en priant aux intentions de votre Communauté. Je vous confie à la Très Sainte Vierge Marie, ainsi qu'à saint Joseph, gardien de la Sainte Famille et Protecteur de l'Eglise universelle, en cette année qui lui est consacrée. Que Dieu vous bénisse ! Soyez assuré de mes sentiments très cordiaux in Corde Christi. Robert Card. Sarah [ Extrait du site de Renaissance Catholique - https://renaissancecatholique.fr/ ]
Grandeur de la présence réelle.
5/5 https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/
.----. J’ai le plaisir de vous annoncer en ce Jeudi Saint, jour de l’institution du sacrement de l'Eucharistie, la parution d’un livre auquel j’ai contribué. En ce jour entre tous, il importe de se rappeler la grandeur de la présence réelle de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans l'humble hostie: aucune marque de révérence n’est assez grande pour rendre justice à ce don divin ! La crise du COVID-19, avec son cortège de privations de libertés, a aussi porté atteinte à la liberté de culte, et parmi les mesures, imposées l’interdiction de communier à genoux et sur la langue en de nombreux endroits constitue l’une des plus insupportables, puisqu’elle touche au moment le plus sacré et le plus intime que peut vivre le fidèle à la messe : celui où il reçoit des mains du prêtre le Corps du Christ. On nous dit que la communion dans la main est plus hygiénique, plus sûre. Outre que cet argument est vivement contesté par des médecins et des scientifiques, il méconnaît la nature du sacrement des sacrements : sous les apparences du pain et du vin, celui-ci EST le Christ, présent avec son corps et son sang, son âme et sa divinité. La maison d’édition de l’association Renaissance catholique, « Contretemps », a pris l’initiative de publier un ouvrage d’analyse de ce qu’il faut bien appeler la mode de la communion sur la main, confiant à plusieurs spécialistes la rédaction de réflexions sur son histoire, son processus (révolutionnaire) de mise en place au prétexte de l’aggiornamento liturgique et la situation juridique présente. Ce Bref examen critique de la Communion dans la main est comme l’écho du Bref examen critique du nouvel “Ordo missae” des cardinaux Ottaviani et Bacci, réédité par Contretemps en 2005. Préfacé de manière très personnelle par le cardinal Raymond Leo Burke, présenté par Jean-Pierre Maugendre, délégué général de Renaissance catholique, cet ouvrage court et dense donne la parole au chanoine Grégoire de Guillebon (ICRSP), à l’abbé Claude Barthe et au P. Réginald-Marie Rivoire (FSVF). L’ensemble est érudit, éclairant, galvanisant, empli de profondeur spirituelle et très accessible au fidèle un tant soit peu averti et soucieux de rendre raison de sa préférence pour la communion sur les lèvres et à genoux. Il m’est revenu, non en tant que spécialiste mais comme journaliste, de dresser dans ce Bref examen critique un bilan concret de l’imposition de la communion dans la main dans de larges pans de l’Eglise depuis cinquante ans, avec un accent tout particulier sur l’étrange période pandémique que nous vivons.... Je vous promets une lecture passionnée ! [ J.S. le 1er avril 2021 ]
Questions brûlantes
4/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. En ce Jeudi-Saint où l’Eglise commémore l’institution du sacerdoce et de l’Eucharistie, les Editions Contretemps publient une étude critique de la communion dans la main, rédigée par Jean-Pierre Maugendre, le Chanoine Grégoire de Guillebon (professeur au séminaire de l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre), l’Abbé Claude Barthe, R.P. Réginald-Marie Rivoire (canoniste, prêtre de la Fraternité Saint Vincent Ferrier), Jeanne Smits et préfacé par le cardinal Burke. Le 29 mai 1969 la constitution du pape Paul VI, Memoriale Domini, autorisait la Communion dans la main. Cinquante ans après cette promulgation, l’heure n’est-elle pas venue de dresser un bilan et d’envisager des perspectives ? Au cœur d’une crise sanitaire déroutante, certaines autorités politiques et ecclésiastiques ont rivalisé de zèle pour condamner des habitudes et des pratiques séculaires. Lire notamment cette affaire aussi absurde que triste, qui s’est déroulée mardi saint à Lourdes. De la suspension du culte public à l’interdiction de la Communion directement dans la bouche, beaucoup d’âmes ont été troublées, de nombreuses consciences heurtées. Ce Bref examen critique de la Communion dans la main souhaite rendre la paix aux catholiques de bonne volonté et offrir des réponses claires en exposant posément les éléments du dossier : Qu’était la communion dans la main aux temps apostoliques ? Par quel processus a-t-elle été autorisée, de nouveau, après une période d’interdiction ? Quelle est la situation juridique de cette pratique ? Quel bilan objectif dresser de ces cinquante années de pratique ? **--**--**--**-- Questions brûlantes, parce que dans la présence réelle et substantielle du Christ, sous les apparences du pain et du vin après la Consécration, réside l’intense amour de Dieu pour les hommes. Brûlante, parce que l’Eucharistie appartient au cœur même de la vie de l’Eglise. Brûlante, parce que le respect dû à la sainte hostie ne saurait relever de l’anecdotique. **--**--**--**-- Le cardinal Burke, préfet émérite du Tribunal Suprême de la Signature Apostolique, écrit dans la préface : Il m’est très agréable de recommander ce Bref examen critique de la Communion dans la main, recueil de réflexions d’experts qui se penchent sur l’origine historique de cette pratique, sur ses aspects doctrinaux et juridiques, et sur l’expérience concrète de cette pratique au cours des cinq dernières décennies. Si l’étude attentive du texte nous aide à comprendre comment la pratique de recevoir la sainte Communion dans la main s’est imposée à notre époque, elle met également en évidence les raisons profondes de la préférence claire et constante de l’Église pour la réception de la sainte Communion sur la langue. En remerciant les auteurs et les éditeurs du Bref examen critique de la Communion dans la main, je prie pour que leur travail puisse affermir chez un grand nombre la connaissance et l’amour du Très Saint-Sacrement.[ Signé : Michel Janva le 1er avril 2021 sur le " Salon Beige " .]