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Bivouacs d´un hussard (Poche 277)

Référence : 4775
1 avis
Date de parution : 15 novembre 2007
Auteur : VANDROMME (Pol)
Collection : PET VERMILLON
EAN 13 : 9782710330165
Nb de pages : 240
8.70
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Description
Voici les souvenirs d'un écrivain belge qui a choisi la langue et la littérature françaises. Mêlé à l'aventure intellectuelle des années cinquante, il devient l'ami, entre autres, de Marcel Aymé, de Blondin, de Nimier, de Déon.
Une carrière de journaliste, une passion pour le monde d'Hergé, un talent intempestif de critique littéraire marquent un parcours inclassable, loin des conformismes, avec le style et le panache en guise de morale.
Cinquante ans de joutes littéraires sont évoqués au fil de ces souvenirs avec une plume acerbe et narquoise. 
Pol Vandromme vit à Charleroi. Il est notamment l'auteur (dans la Petite Vermillon) du Monde de Tintin et d'Un été acide.
TitreBivouacs d´un hussard (Poche 277)
Auteur VANDROMME (Pol)
ÉditeurLA TABLE RONDE (EDITIONS DE)
Date de parution15 novembre 2007
Nb de pages240
CollectionPET VERMILLON
N° CollectionVER 000277
EAN 139782710330165
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)16
Largeur (en mm)110
Hauteur (en mm)175
Poids (en Kg)0.15
Critique du libraire
Souvenirs de 50 années de joutes littéraires relatés avec une plume acerbe et narquoise. On y croise les grandes figures : Anouilh, Brasillach, Aymé, Blondin, Déon, Laurent, etc. Ivresses et escagasseries littéraires. Réédition en livre de poche de l´édition de 1997.
Les avis clients
On ne se lasse pas de ce livre ...
4/5 Réseau Regain .
.----. «La littérature belge n’existe pas», c’est un Flamand d’expression française, Pol Vandromme, qui l’écrit, car «la patrie d’un écrivain, c’est la langue de ses livres». Dans cet ouvrage, il raconte quelques souvenirs, rend un hommage à la religion de sa mère et aux sentiments républicains de son père. Journaliste à Charleroi, il s’infiltra dans la presse parisienne. Fou de littérature française, il y rencontra les écrivains dont il avait rêvé et qu’il distingue soigneusement des «gens de lettres». Cela nous vaut une série de portraits assez percutants de ses amis: les chroniqueurs littéraires, les grands auteurs et surtout le groupe des «Hussards» dont il aimerait tant faire partie. Un chapitre sur Tintin à qui il consacra un livre, un autre sur Mai 68, puis sur le prince de Ligne terminent le livre. .******. La partie la plus intéressante de ces souvenirs concerne le microcosme parisien, les éternelles «guérillas de papivores lilliputiens ». Le style est recherché, travaillé, parsemé de mots rares… Fidèle à sa ligne de conduite, l’auteur reste un anticonformiste bon teint. À son rythme, le journaliste écrit sur les écrivains, le football, Jacques Brel et Tintin. Depuis le marathonien Hérodote, le boxeur Jean Prévost, le rugbyman Antoine Blondin et le cycliste Louis Nucéra, l’éclectisme n’a plus rien à voir avec la dispersion. Hors des «coquetèles », le chroniqueur littéraire a élu domicile dans la patrie du style : «L’improvisation implique la patience d’un labeur obscur.» Né aux lisières de la France, l’auteur entremêle la mémoire familiale aux souvenirs littéraires. Cinquante ans de joutes littéraires sont évoqués au fil de ces souvenirs avec une plume acerbe et narquoise. .******. On ne se lasse pas de ce livre, disert et mémorable, qui bondit hors de la bouteille avec l’âme un rien capiteuse des vins débouchés tard. Mais qu’on lit à la hussarde, cul sec. [ Notes de lectures de Georges Leroy du mois de janvier 2008 sur le site " Réseau Regain " ]