Bardèche - Qui suis-je ?
Référence : 70510
Date de parution : 1 février 2012
Éditeur : PARDES (EDITIONS)
Collection : QUI SUIS -JE ?
EAN 13 : 9782867144554
Nb de pages : 128
12.00 €
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Description
Normalien jusqu'au bout des ongles, professeur sans élèves, politique sans militants, fasciste autoproclamé, quand tous les vrais fascistes étaient morts et quand ce qualificatif n'était plus qu'une injure... L'histoire de Bardèche, c'est d'abord l'histoire d'une extraordinaire amitié, d'une amitié littéraire et politique, d'une amitié d'hommes, aussi. Robert Brasillach a littéralement illuminé la jeunesse de Bardèche.
Dans la seconde partie de sa vie, Bardèche a en quelque sorte essayé de payer sa dette. Son oeuvre de mémoire et de réhabilitation, c'est la poursuite de cette amitié, d'un dialogue par-delà la mort.
Il y a ensuite son travail de type universitaire sur Balzac et Stendhal. Bardèche a renouvelé en profondeur le regard que l'on portait sur ces deux géants de la littérature. Si Bardèche n'avait pas été embarqué par les soubresauts de l'histoire, il ne resterait que cela, mais cela resterait.
Enfin, l'aspect le plus controversé : c'est le Bardèche révisionniste. Il serait facile de passer rapidement sur ses pamphlets et de rejeter dans la nuit de l'oubli sa revue Défense de l'Occident. Pourtant, ses exercices de "lecture à l'envers de l'histoire", comme il les appelait lui-même, font partie des points les plus détonants de son discours. Ils démontrent son courage tranquille et ne peuvent que susciter l'admiration.
Le scandale, qu'on le veuille ou non, est moins dans les propos et les écrits de Bardèche que dans l'interdiction de pouvoir les tenir, aujourd'hui. Bardèche avait osé braver ces tabous, en son temps, ce qui lui valut la prison.
"Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l'homme et de la création. Je crois à l'inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l'hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d'autres hiérarchies que celle de l'argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner, c'est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré."
Militant de divers groupuscules « solidaristes », dans sa jeunesse, après un séjour dans les prisons de Moscou (1975) et dans les troupes phalangistes chrétiennes du Liban (1976), Francis Bergeron s'est essentiellement consacré depuis lors à l'action culturelle et à l'écriture. Il préside l'association (littéraire) des Amis d'Henri Béraud (500 adhérents). Auteur de livres pour enfants, il a vendu 300000 exemplaires de la série du « Clan des Bordesoule ». Sur un plan purement professionnel, Francis Bergeron participe à la direction d'un groupe industriel international de premier plan.
Dans la seconde partie de sa vie, Bardèche a en quelque sorte essayé de payer sa dette. Son oeuvre de mémoire et de réhabilitation, c'est la poursuite de cette amitié, d'un dialogue par-delà la mort.
Il y a ensuite son travail de type universitaire sur Balzac et Stendhal. Bardèche a renouvelé en profondeur le regard que l'on portait sur ces deux géants de la littérature. Si Bardèche n'avait pas été embarqué par les soubresauts de l'histoire, il ne resterait que cela, mais cela resterait.
Enfin, l'aspect le plus controversé : c'est le Bardèche révisionniste. Il serait facile de passer rapidement sur ses pamphlets et de rejeter dans la nuit de l'oubli sa revue Défense de l'Occident. Pourtant, ses exercices de "lecture à l'envers de l'histoire", comme il les appelait lui-même, font partie des points les plus détonants de son discours. Ils démontrent son courage tranquille et ne peuvent que susciter l'admiration.
Le scandale, qu'on le veuille ou non, est moins dans les propos et les écrits de Bardèche que dans l'interdiction de pouvoir les tenir, aujourd'hui. Bardèche avait osé braver ces tabous, en son temps, ce qui lui valut la prison.
"Je crois que le monde moderne est une entreprise de dénaturation de l'homme et de la création. Je crois à l'inégalité parmi les hommes, à la malfaisance de certaines formes de la liberté, à l'hypocrisie de la fraternité. Je crois à la force et à la générosité. Je crois à d'autres hiérarchies que celle de l'argent. Je crois le monde pourri par ses idéologies. Je crois que gouverner, c'est préserver notre indépendance, puis nous laisser vivre à notre gré."
Militant de divers groupuscules « solidaristes », dans sa jeunesse, après un séjour dans les prisons de Moscou (1975) et dans les troupes phalangistes chrétiennes du Liban (1976), Francis Bergeron s'est essentiellement consacré depuis lors à l'action culturelle et à l'écriture. Il préside l'association (littéraire) des Amis d'Henri Béraud (500 adhérents). Auteur de livres pour enfants, il a vendu 300000 exemplaires de la série du « Clan des Bordesoule ». Sur un plan purement professionnel, Francis Bergeron participe à la direction d'un groupe industriel international de premier plan.
Titre | Bardèche - Qui suis-je ? |
Auteur | BERGERON (Francis) |
Éditeur | PARDES (EDITIONS) |
Date de parution | 1 février 2012 |
Nb de pages | 128 |
Collection | QUI SUIS -JE ? |
EAN 13 | 9782867144554 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 9 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0.19 |
Biographie
Francis BERGERON (1952 - ) Francis Bergeron a publié une soixantaine de livres, dont la série « Clan des Bordesoule », qui s'adresse à des jeunes lecteurs de 8 à 12 ans. La vente cumulée de cette collection à succès a dépassé les 300 000 exemplaires. Par ailleurs, chez Pardès, il a publié plusieurs biographies d'écrivains, dans la collection « Qui suis-je ? » (Bardèche, Béraud, Léon Daudet, Henry de Monfreid, Saint-Loup ; Hergé). Voir plus
Critique du libraire
Ces 128 pages, malgré leur brièveté fourmillent de références et de documents pour retracer la vie et l'itinéraire politique et intellectuel de celui qui fut le grand ami et beau-frère de Robert Brasillach. Au caractère opposé mais complémentaire ces deux hommes vont vivre une période extraordinaire. Maurice Bardèche à partir du 6 février 1945 (exécution de Brasillach) sera littéralement transformé par le choc de l'injustice et partira en campagne pour la défense des valeurs, tellement menacées !, de l'Occident.