Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Argoud - De Gaulle le duel

Référence : 26853
1 avis
Date de parution : 20 mai 2008
Éditeur : DUALPHA (EDITIONS)
EAN 13 : 9782353740802
Nb de pages : 176
21.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Sommaire :
Introduction
La rencontre
Les origines
Conseiller du Général de Lattre
L'Algérie
L'imposture
Le tournant
Le passage du Rubicon
La clandestinité
Le procès
La Libération
Conclusions
"Il y a deux façons de concevoir un livre d'histoire : comme une leçon récitée, comme une suite d'images d'Épinal, en jugeant sans chercher à se poser des questions... ou alors, à travers témoignages et récits, à l'aide de documents restés inédits ou occultés par certains, de se forger une opinion libre et indépendante... 
À l'aide de témoignages et de souvenirs souvent inédits, d'archives restées inexplorées, cette collection se veut une incessante remise en cause des événements du passé". Philippe Randa
TitreArgoud - De Gaulle le duel
Auteur DUBOIS (Ghislain)
ÉditeurDUALPHA (EDITIONS)
Date de parution20 mai 2008
Nb de pages176
EAN 139782353740802
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)14
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.20
Critique du libraire
Ce livre sans concession permet, sur pièces, de se forger une intime conviction sur les motifs de l´opposition tenace entre De Gaulle et le colonel Argoud. Réimpression de l´édition de 1996.
Les avis clients
Quatre échos...
5/5 Lectures Françaises / 1963
.----. Lorsque les " barbouzes " ( qui n'existent pas, au dire de nos dirigeants ) eurent enlevé à Munich, puis livré à la police officielle, le colonel Argoud, préalablement torturé, la presse docile au Pouvoir raconta que c'était le colonel Château-Jobert " qui avait fait le coup ". A part " l'incurable imbécile " dont parlait Gohier, personne n'y a cru. Dans le bulletin que le C.N.R. fait envoyer à la presse, une note de la direction du mouvement clandestin précise que si " le colonel Château-Jobert a pu choisir une voie personnelle ( ... ), il est exclu qu'il ait pu ordonner l'acte odieux dont on prétend le charger ". -.... ---- ... --- .. -- . - Il est exact que dans ses circulaires clandestines, le Mouvement Contre-Révolution dirigé par le colonel Château-Jobert accuse les dirigeants du C.N.R. de n'être que des politiciens soucieux de rétablir la IVe République, accusation que les intéressés repoussent avec indignation. -.... ---- ... --- .. -- . - Soucieux de se concilier l'indulgence de ceux qu'il fait mine de combattre, le député " socialiste " Gaston Defferre a bruyamment approuvé l'enlèvement du colonel Argoud. Il est le seul homme politique français à l'avoir fait. Même au P.S.U., on condamne le procédé : " Tous les coups étant permis, déclare M. Jean Binot, ancien député socialiste, à condition bien sûr qu'ils réussissent, n'importe quel régime se ravale exactement au niveau de ceux qu'il poursuit, et qu'il baptise agents de la subversion. N'importe quel régime, sauf évidemment celui qui répand sur nous ses bienfaits. " - .... ---- ... --- .. -- . - Notons que M. Defferre est logique : ayant approuvé l'enlèvement d'Eichmann par les " barbouzes " israéliennes, il approuve aujourd'hui le rapt d'Argoud par les " barbouzes " de M.De Gaulle. Beaucoup de ceux qui s'élèvent aujourd'hui contre l'enlèvement du colonel applaudissaient, hier, à celui de l'ancien collaborateur ( au huitième rang ) de Himmler. Comme s'il y avait deux poids et deux mesures... ( numéro 72 - mars 1963 ).