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Apocalypse Zéro - Pourquoi la fin du monde n´est pas pour demain - Les erreurs de l´écologie radicale

Référence : 120378
1 avis
Date de parution : 27 octobre 2021
EAN 13 : 9782810010905
Nb de pages : 524
23.00
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Description
Depuis plusieurs années, de nombreuses ONG et mouvements écologistes annoncent que si l'humanité continue à vivre comme elle le fait, les détériorations de l'environnement et du climat seront telles que la survie même de l'espèce humaine sera menacée. Certains vont jusqu'à prédire "la mort de milliards de personnes", contribuant ainsi à installer, surtout chez les jeunes, une anxiété générale face à l'avenir.
Pourtant les faits sont là : les émissions de CO2 sont en baisse dans la plupart des pays développés, les décès dûs à des événements météorologiques extrêmes ont diminué de 80 %, même dans les pays pauvres, les forêts ne sont pas menacées à l'échelle du globe, la hausse du niveau des mers n'a rien d'inquiétant et, pour plusieurs raisons, le risque de réchauffement de la terre à des températures très élevées est de plus en plus improbable.
Militant écologiste de longue date, expert en énergies et réviseur pour le GIEC, Michael Shellenberger a décidé de montrer d'une part que le catastrophisme n'était pas rationnel aux vues des observations de la science et d'autre part qu'il dissimulait une très forte tendance chez beaucoup d'écologistes à promouvoir des politiques qui nuisent non seulement à l'Homme mais aussi à la planète.
Mélangeant avec bonheur la recherche, l'enquête de terrain et l'histoire du mouvement vert, ce livre lève le voile sur les enjeux Financiers, statutaires et idéologiques qui se cachent derrière l'écologie politique contemporaine.
Le changement climatique est un problème réel mais il n'entraînera pas la fin du monde et ne devrait pas être notre priorité principale. 
Nommé "héros de l'environnement" par le magazine Time en 2008, lauréat du "Green Book Award", expert invité par le GIEC, Michael Shellenberger est le fondateur d'une ONG de sauvegarde de la Nature, non partisane et indépendante. Il écrit régulièrement depuis vingt ans pour le New York Times, le Washington Post et le magazine Nature Energy.
TitreApocalypse Zéro - Pourquoi la fin du monde n´est pas pour demain - Les erreurs de l´écologie radicale
Auteur SHELLENBERGER (Michael)
ÉditeurARTILLEUR (EDITIONS)
Date de parution27 octobre 2021
Nb de pages524
EAN 139782810010905
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)35
Largeur (en mm)141
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.55
Les avis clients
« héros de l’environnement » ?
4/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. Nommé « héros de l’environnement » par le magazine Time en 2008, lauréat du « Green Book Award », expert invité par le GIEC, Michael Shellenberger est le fondateur d’une ONG de sauvegarde de la Nature, non partisane et indépendante. Il écrit régulièrement depuis vingt ans pour le New York Times, le Washington Post et le magazine Nature Energy. Il vient de publier un ouvrage important, Apocalypse zéro, Pourquoi la fin du monde n’est pas pour demain. Les erreurs de l’écologie radicale. Il remet en cause la propagande sur l’environnement, que ce soir le drame de la forêt vierge en train de brûler, le plastique, le sauvetage des baleines, la consommation de viande, le nucléaire, etc. Journaliste scientifique et ardent défenseur de l’environnement, Michael Shellenberger se posait depuis longtemps une question : pourquoi les mouvements écologistes continuent-ils à promouvoir des politiques qui nuisent non seulement aux humains mais aussi à la planète ? Il montre dans ce livre que les principales ONG écologistes militent pour des solutions incohérentes et souvent même dangereuses. Mélangeant avec bonheur la recherche, l’enquête de terrain et l’histoire du mouvement vert, ce livre lève le voile sur les enjeux financiers, statutaires et idéologiques qui se cachent derrière l’écologie politique contemporaine et son catastrophisme. Il montre par exemple que ce n’est pas le capitalisme qui a aggravé la chasse à la baleine, mais le communisme. Les historiens ont en effet découvert des documents attestant que l’Union soviétique avait supprimé beaucoup plus de baleines qu’elle ne l’avait reconnu : 98% des baleines bleues tuées dans le monde après l’interdiction de 1966 l’ont été par des baleiniers soviétiques. Sur le nucléaire, il souligne que le nombre de victimes de l’énergie nucléaire est infime et que son impact environnemental est très modéré. Le pire accident énergétique de tous les temps fut l’effondrement du barrage hydroélectrique de Banqiao en 1975, en Chine, qui a tué entre 170 000 et 230 000 personnes. Tandis que l’équivalent d’une canette de Coca d’uranium peut suffire pour une vie entière de consommation intensive d’énergie. Sur cette énergie, il montre d’ailleurs que le lobby de l’éolien est très fortement lié à l’industrie gazière, sans laquelle l’éolien serait bien en peine de répondre aux besoins. La France en est un parfait exemple : après avoir investi 33 milliards de dollars au cours de la dernière décennie en faveur du solaire et de l’éolien, la France utilise désormais moins de nucléaire et davantage de gaz naturel, avec pour effet une hausse des prix de l’électricité et une électricité plus carbonée. Et il pose cette question majeure : depuis combien de temps exactement les intérêts pétroliers et gaziers financent-ils des groupes environnementaux pour faire fermer des centrales nucléaires ? [ Signé Michel Janva le 30 novembre 2021 ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? - Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d’âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c’est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l’actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l’appliquer dans la société actuelle. Fidèles au Pape, au Magistère de l’Eglise, nous voulons travailler au Bien commun de la société en informant nos lecteurs sur l’actualité, vue au regard de la doctrine sociale de l’Eglise. Le directeur de la publication est Guillaume de Thieulloy. Adresse : Tour CIT, 3 rue de l’Arrivée, 75015 Paris.