"Ce gouvernement, je le caractérise d'un mot : la police partout, la justice nulle part." écrivait Victor Hugo en 1851. Et l'on pourrait compléter cet aphorisme à la lecture de la terrible aventure professionnelle, sociale et judiciaire de Sébastien Jallamion : "La justice nulle part, surtout pas dans la police..."
Derrière la Police de terrain, que l'on salue pour son travail immense, il y a une hiérarchie, souvent soutenue par des loges maçonniques et des partis politiques, qui se soucie plus volontiers de sa carrière et son statut social que du véritable "Ordre public".
Dans ce récit particulièrement précis et circonstancié, on assiste chronologiquement, en dix-neuf actes, à la mise à mort sociale méthodique d'un OPJ (Officier de Police Judiciaire), patriote au-dessus de tout soupçon et professionnellement irréprochable. La seule "faute" de ce policier, dénoncé par une collègue musulmane : avoir critiqué, sur un réseau social privé, les assassins islamistes de nos compatriotes.
Rien d'autre. Ces pages se lisent comme un roman policier, jusqu'au dernier acte à peine croyable, à la lecture duquel on apprend qu'un choix dramatique s'impose à la raison...
Sébastien Jallamion, officier de police judiciaire, patriote, menacé de prison par la justice française. Frédéric Pichon, avocat, défend régulièrement la liberté d'expression des patriotes, mise à mal par des lois liberticides.