Le meilleur...
5/5 Fulgur
Je l'ai chez moi. Je l'ai lu 8 fois et je n'ai encore que 12 ans. Je n'avais jamais lu un tel livre, le meilleur que j'ai lu, peut être après le Prince Éric. C'est un livre touchant, exitant, palpitant, et historique. Jamais nous ne nous rendrons compte de ce qu'on vécut ces enfants, ces hommes, ces femmes et ces vieillards, là-bas, en Hongrie, mais aussi en Pologne et dans plein d'autres pays, en attendant désespérément l'aide de l'Occident.
"Que Dieu soit avec toi, Hongrie"
5/5 Revue des cercles d'étudfes d'Angers
Un garçon de quinze ans, Thomas Szabo, raconte la part qu'il a prise, avec ses camarades, à la Révolution hongroise d'octobre 1956. Il se joint à un groupe d'étudiants qui déboulonnent la statue de Staline, jette au feu avec eux sa carte D.I.S.Z.., organisation de la Jeunesse communiste, suit un insurgé qui lui apprend, ainsi qu'à son ami Feri, le maniement des pistolets-mitrailleurs, et ils font le coup de feu sur les policiers de l'A.V.O., qui ont tiré sur la foule désarmée...***...***...***..**..**..**..**. Les dangers courus en commun ont cimenté entre Thomas et ses compagnons d'armes un esprit de camaraderie qui persiste après les combats. Ils décident de rester ensemble en toutes circonstances quand ils auront passé la frontière, et le lecteur se prend à espérer que cette chaude amitié les aura soutenus dans l'exil, où la liberté les attire, mais où tant de difficultés attendent ces garçons si jeunes, seuls et inconnus parmi des étrangers. Et devant tant de sacrifices accomplis pour l'amour de leur patrie, on est tenté de répéter avec Thomas Szabo : " Que Dieu soit avec toi, Hongrie ! " (numéro 8, mai 1959 )