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La société de surveillance, stade ultime du libéralisme

Référence : 119476
1 avis
Date de parution : 8 octobre 2021
EAN 13 : 9782491446673
Nb de pages : 102
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Description
La société de surveillance qui se met en place scelle-t-elle la fin du projet libéral de "société ouverte" ? Non, répond Guillaume Travers,
elle en est au contraire l'aboutissement logique. C'est la raison pour laquelle les libéraux promouvront tôt ou tard toutes les méthodes techniquement possibles de contrôle social : puçage des populations, reconnaissance faciale, modifications géniques, 5G, etc. Pour éclairer ce paradoxe, il faut revenir aux sources de la conception libérale de la liberté, et mettre en lumière ses impensés. Ce à quoi s'attache cet essai. Face à la liberté abstraite des libéraux, il appelle à retrouver une conception classique de la liberté, qui a prévalu tant dans le monde antique que médiéval - et pas sa falsification orwellienne.  

Guillaume Travers est essayiste et collaborateur pour la revue Éléments. Il est notamment l'auteur d'Économie médiévale et société féodale (La Nouvelle Librairie), de Capitalisme moderne et société de marché (La Nouvelle Librairie), et coauteur de la Bibliothèque du jeune Européen (Le Rocher, avec Alain de Benoist).
TitreLa société de surveillance, stade ultime du libéralisme
Auteur TRAVERS (Guillaume)
ÉditeurLA NOUVELLE LIBRAIRIE (EDITIONS)
Date de parution8 octobre 2021
Nb de pages102
EAN 139782491446673
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)8
Largeur (en mm)120
Hauteur (en mm)190
Poids (en Kg)0.11
Les avis clients
L’ère de la liberté abstraite.
4/5 https://www.ndf.fr/
.----. Cet essai au titre provocateur (calqué sur le fameux pamphlet de Lénine : « L’impérialisme, stade suprême du capitalisme ») cherche à comprendre un paradoxe. Comment se fait-il que la société ouverte que nous avons connue promeuve la société de surveillance que nous voyons naître sous nos yeux ? Selon l’auteur, cette dernière est l’aboutissement logique de la « liberté des modernes ». Alors que, traditionnellement, les libertés ne s’entendaient que concrètement (tel droit pour telle catégorie de personnes dans telle situation), nous sommes entrés avec la modernité dans l’ère de la liberté abstraite. Et, pour défendre cette liberté abstraite, nous acceptons la suppression de nos libertés concrètes ! [ Le 26 octobre 2021 ]