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Cartel des fraudes - T2 - La suite de l´enquête Best-Sellerl

Référence : 118418
3 avis
Date de parution : 23 septembre 2021
Auteur : PRATS (Charles)
Éditeur : RING (EDITIONS)
EAN 13 : 9782379340192
Nb de pages : 432
18.00
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Description
Dans le "Cartel des fraudes, la suite", le magistrat qui fut en charge au niveau national de la coordination de la lutte contre les fraudes fiscales et sociales revient sur les coulisses de la fraude fiscale et de la fraude aux cotisations sociales. Il plonge le lecteur dans le "coeur du réacteur", révélant par exemple comment depuis 2011 l'administration s'est refusée à utiliser les moyens les plus efficaces de lutte contre la principale fraude fiscale, les escroqueries à la TVA qui coûtent des dizaines de milliards ; comment et pourquoi les "GAFAM", Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft réussissent à optimiser leur facture fiscale en France ; comment s'est menée la bataille contre les comptes bancaires cachés à l'étranger, notamment au sein des banques suisses UBS et HSBC ; comment a été imposée contre la volonté de l'administration des finances la loi contre la grande fraude fiscale suite au scandale Cahuzac ; comment durant des années il a fallu batailler contre le fisc pour faire sauter le "Verrou de Bercy" qui interdisait à la justice de poursuivre la fraude fiscale sans le feu vert du ministre du Budget...  

Charles Prats, délégué de l'Association professionnelle des magistrats, est vice-président au tribunal de Paris après avoir été inspecteur des douanes, juge d'instruction et magistrat chargé de la lutte contre les fraudes fiscales et sociales au ministère des Finances.
TitreCartel des fraudes - T2 - La suite de l´enquête Best-Sellerl
Auteur PRATS (Charles)
ÉditeurRING (EDITIONS)
Date de parution23 septembre 2021
Nb de pages432
EAN 139782379340192
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)30
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.54
Critique du libraire
Octobre 2021 - auteur "mis sous enquête administrative" !  

« "Des dizaines de milliards annuels de fraude fiscale et sociale". Tel est le sous-titre du deuxième volet d'un ahurissant constat précédemment révélé dans un premier volume, paru l'année dernière, qui faisait état d'un préjudice annuel de la fraude d'un montant de 50 milliards. Cette année, le « catalogue est apocalyptique », puisqu'il est multiplié par deux ! L'auteur connaît parfaitement le sujet qu'il aborde, puisque, en tant que magistrat, il a participé à la création de la « Délégation nationale à la lutte contre les fraudes ». Aujourd'hui, il est délégué de l'Association professionnelle des magistrats et vice-président du Tribunal de Paris. Entre 2008 et 2012, il fut chargé de la lutte contre les fraudes fiscales au ministère des Finances.  

« Les dérives apparaissent comme inimaginables, tant elles sont vertigineuses, tandis qu'elles sont bien réelles et exactes. Nous en donnons un rapide résumé. 21,1 millions de Sécurité Sociale sont attribués à des ressortissants nés à l'étranger, dont 12,4 millions bénéficient chaque mois de prestations sociales de toutes natures (alors que selon les chiffres de l'Insee ces résidants français nés à l'étranger ne sont que 8,2 millions !). Un tiers de ces personnes seraient inscrites grâce à de faux documents, en utilisant de fausses cartes d'identité de pays de l'Union européenne. Il en est de même pour les pensions de retraite, dont une bonne proportion est versée à d'anciens résidents français repartis dans leurs pays d'origine. Et parmi eux, il en est un très grand nombre qui sont répertoriés comme âgés de cent ans et plus !  

« À ces exemples, il faut ajouter les fraudes sur les évasions fiscales, les fraudes à la TVA (25 milliards), les fraudes, conséquences des indemnisations liées au Covid (23 000 probables et 300 000 potentiellement frauduleuses), les fraudes du fait des Gafam (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft), dont certains n'ont payé presque aucun impôt pendant plus de vingt ans. Cette accumulation d' « irrégularités » a permis à Charles Prats d'en évaluer l'ensemble à 100 milliards (annuels, il faut bien le préciser) qui ruinent aujourd'hui la France. Et ceci, bien entendu, dans notre « beau » pays de « Liberté, égalité, fraternité », au détriment des millions de bons et honnêtes contribuables dont plusieurs sont poursuivis et sanctionnés sans pitié, pour une petite erreur dans la rédaction d'une déclaration de revenus ou qui règlent avec le moindre retard les impôts, les conduisant à des situations financières des plus précaires.  

« À quoi bon demander ce que pensent les candidats à la prochaine élection de ce qu'il faut bien appeler un scandale d'État. Ils savent tous que cela existe, puisqu'il y a des années que cela dure et aucun d'entre les « heureux » élus n'a pris la moindre mesure pour qu'il cesse ! Il y en a même qui ont été d'une intransigeance sans pitié pour écraser les appels au secours lancés par des délaissés, des démunis, des abandonnés qui ont mille peines à subvenir à leurs besoins les plus élémentaires et à ceux de leurs familles... C'était, il y a trois ans, il nous semble... »  

Jérôme Seguin, dans Lectures Françaises n° 776 (décembre 2021)
Les avis clients
Une victime de plus
5/5 https://www.medias-presse.info/
.----. Une victime de plus des pressions d’ordre politique Le magistrat Charles Prats, qui dénonce les fraudes fiscales et sociales, a annoncé, ce jeudi matin, avoir été mis sous enquête administrative. Le gouvernement l’accuserait d’être sorti de son devoir de réserve. Lui dénonce une pression d’ordre politique. Il occupe actuellement le poste de juge de la détention et des libertés. Interrogé à ce sujet par Libération, le magistrat affirme être victime d’une « chasse aux sorcières ». « Je suis la bête noire de la préfecture, car [je suis] très strict sur la procédure et le respect des droits », révèle-t-il à la publication. « Je suis la gentille victime d’une chasse aux sorcières. J’ai reçu la lettre de mission de l’inspection, mais je n’ai pas encore été entendu. Il s’agit visiblement de mon expression publique et de mon devoir de réserve », dévoile-t-il. Selon une source proche du dossier citée par le Figaro, «les prises de position publiques, les tweets» du juge sont en cause, ces éléments illustrant parfois «des positions politiques». «La question se pose de l’impartialité, du devoir de réserve d’un magistrat» poursuit la source, citant également les mots «engagés» utilisés par le juge, qui dénonce parfois publiquement ceux qu’il qualifie de «nervis d’extrême-gauche, antifas, black blocs». Le juge avait déjà été interrogé en février 2020 par sa hiérarchie. L’affaire avait été classée sans suite à l’époque. Cette fois, il pourrait être entendu sur plusieurs jours par les enquêteurs à partir du 30 octobre prochain. Charles Prats justifie sa liberté de parole en arguant qu’il est « délégué d’un syndicat de magistrats, l’APM » et que ces inspections, qui sont assez rares, sont déclenchées par le ministre de la Justice lui-même, à savoir Éric Dupond-Moretti. Du côté de la chancellerie, on indique, toute honte bue, ne pas communiquer sur « les situations personnelles des magistrats ». Rappelons à nos lecteurs que c’est ce même Charles Prats qui, dans son enquête « Le cartel des fraudes » (septembre 2020), a fait un état des lieux de l’ampleur de la fraude sociale en France : fraude documentaire, des dizaines de milliers de centenaires réputés encore en vie, un tiers des dossiers étrangers irréguliers, des terroriste bénéficiaires d’allocations, une fraude organisée en réseaux, etc., etc. La perte s’élèverait à plus de 50 milliards d’euros. Dans le second tome du « Cartel des fraudes 2?, publié le 14 octobre, nous entrons encore plus profondément dans les coulisses des fraudes fiscales et sociales. Le lecteur est invité dans le » cœur du réacteur « au plus près des dizaines de milliards qui continuent d’être volés aux Français chaque année. Complétant le portrait des fraudes aux finances publiques avec rapports officiels édifiants, anecdotes croustillantes et copie de la comptabilité des holdings d’Amazon et de Microsoft au Luxembourg, le magistrat poursuit son réquisitoire en révélant une situation encore plus catastrophique : comment nous finançons plus de 75 millions d’assurés sociaux pour 67 millions d’habitants ; comment une retraite sur deux serait versée à des personnes nées à l’étranger ; comment les aides COVID ont été pillées par des centaines de milliers de fraudeurs ; comment le travail au noir continue de prospérer ; comment savoir si les » 100 milliards de fraude fiscale » sont une fake news ; comment un fraudeur peut réussir à obtenir une ristourne jusqu’à 500 millions d’euros sur son contrôle fiscal ; comment le fisc a peut-être perdu 20 milliards en refusant d’utiliser les moyens européens de lutte contre les arnaques à la TVA ; combien de milliards nous coûtent les trafics douaniers de cigarettes ; comment les GAFAM réussissent à ne pratiquement pas payer d’impôts ; comment a été imposée la loi contre la grande fraude fiscale après le scandale Cahuzac ; comment s’est gagnée grâce à la société civile la bataille à 10 milliards contre les évadés fiscaux en Suisse chez UBS, HSBC & Cie ; comment s’est menée la guerre contre le fisc pour faire sauter le » Verrou de Bercy » qui interdisait a la justice de poursuivre librement la fraude fiscale… Dans une France au bord du gouffre financier à la veille des élections présidentielles et législatives, il est indispensable de rappeler qu’il faut, avant de chercher à prendre encore plus d’argent dans les poches des contribuables français, aller reprendre les 100 milliards d’argent public volés chaque année par les fraudeurs fiscaux et sociaux. Des révélations insupportables pour les nantis mondialistes de la ripoublique… Sources : AFP/Le Figaro/Libération/Valeurs Actuelles [ Signé : Fabien Laurent le 22 octobre 2021 ]
Mis sous enquête !
5/5 https://www.bvoltaire.fr/
.----. Le magistrat Charles Prats, qui dénonce les fraudes fiscales et sociales, a annoncé, ce jeudi matin, avoir été mis sous enquête administrative. Le gouvernement l’accuserait d’être sorti de son devoir de réserve. Une enquête suite à la publication de son livre Charles Prats a révélé, sur Twitter, avoir été mis sous enquête administrative, alors que son livre Cartel des Fraudes 2, dans lequel il dénonce une fois encore les fraudes sociales et fiscales, vient de paraître. Interrogé à ce sujet par Libération, le magistrat affirme être victime d’une « chasse aux sorcières ». « Je suis la bête noire de la préfecture, car très strict sur la procédure et le respect des droits », révèle-t-il à la publication. « Je suis la gentille victime d’une chasse aux sorcières. J’ai reçu la lettre de mission de l’inspection, mais je n’ai pas encore été entendu. Il s’agit visiblement de mon expression publique et de mon devoir de réserve », dévoile-t-il. Il sera entendu pour la première fois le 30 octobre. Le magistrat brandit son statut de délégué syndical Charles Prats justifie sa liberté de parole en arguant qu’il est « délégué d’un syndicat de magistrats, l’APM », que Libération qualifie de « microscopique et très à droite ». Le journal révèle, en outre, que ces inspections, qui sont assez rares, sont déclenchées par le ministre de la Justice lui-même, à savoir Éric Dupond-Moretti. [ Signé : Boulevard Voltaire le 21 octobre 2021 ]
"ça fond, ça fond très vite !"
5/5 Boulevard Voltaire
.----. Charles Prats : « Pour BFM TV, la fraude aux prestations sociales a fondu de 45 milliards d'euros, samedi dernier, à un milliard, jeudi soir » Une polémique sur les chiffres a fait suite au débat Zemmour-Mélenchon qui s'est tenu ce jeudi 23 septembre. En effet, alors que le journaliste a affirmé que la fraude aux prestations sociales s'élevait à 50 milliards d'euros, fondant son discours sur les chiffres annoncés dans le livre Cartel des fraudes, de Charles Prats, la cellule de fact-checking de BFM TV a rectifié le chiffre, annonçant que la fraude représentait seulement un milliard d'euros. Charles Prats, ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude, s'exprime sur cette polémique. Vous êtes magistrat et vous avez publié Le Cartel des fraudes, dont le deuxième tome va sortir. Lors du débat entre Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon, le montant des fraudes sociales a été évoqué. Éric Zemmour a cité votre chiffre et BFM TV a répondu que ce chiffre était faux. Auriez-vous induit Éric Zemmour en erreur ? Je ne sais pas si c'est moi ou BFM TV qui a induit Éric Zemmour en erreur ! Pas plus tard que samedi dernier, BFM TV faisait une émission de fact-checking sur ce sujet de la fraude aux prestations sociales et, selon eux, l'estimation de la fraude est de 45 milliards d'euros. J'aurais tendance à dire que nous avons là une preuve irréfutable du réchauffement climatique : leur estimation de la fraude aux prestations sociales est passé de 45 milliards d'euros, samedi dernier, à un milliard d'euros, ce jeudi soir : ça fond, ça fond très vite ! Beaucoup d'internautes, à l'occasion de ce fact-checking, ont réglé leurs comptes avec vous et vous ont critiqué. Que révèlent ces réactions ? Je ne connais pas ce monsieur qui m'a attaqué, il paraît qu'il est préfet. Il dit que ces chiffres sont des balivernes, je l'invite à aller dire cela aux deux parlementaires missionnées par le gouvernement en 2019, la sénatrice UDI Nathalie Goulet et la député En Marche Carole Grandjean, ainsi qu'à l'ensemble des députés, membres de la commission d'enquête parlementaire sur la fraude aux prestations sociales, qui ont enquêté en 2020 et ayant rendu un rapport avec l'unanimité des groupes politiques sur ce sujet-là. Si ce monsieur, que je ne connais ni d'Ève ni d'Adam et qui n'a jamais travaillé de sa vie contre la fraude ni même attrapé un fraudeur, considère que les professionnels racontent des balivernes, on ne va pas s'émouvoir pour si peu ! Comme Éric Zemmour reprend vos thèses, n'avez-vous pas peur de faire le jeu de l'extrême droite ? Ce n'est pas une question de jeu de l'extrême droite, de l'extrême gauche. Si vous regardez un peu ce qui se passe durant cette précampagne présidentielle, vous remarquerez qu'il n'y a pas qu'Éric Zemmour qui vient sur les sujets que je défends depuis des années. Il reprend des arguments qui sont aussi dans le débat public, il n'est pas interdit à Éric Zemmour de les prendre. J'ai également entendu Marine Le Pen en parler. Hier soir, Valérie Pécresse était également en débat à la télévision face a Gérald Darmanin. Elle a évidemment expliqué que la lutte contre la fraude aux prestations sociales est un vrai sujet, elle a cité le rapport de la commission d'enquête et les mêmes chiffres que les miens. Michel Barnier s'est également saisi de ce sujet-là depuis un certain temps et en a également parlé, ce matin, sur France Info. Il propose des solutions en reprenant notre proposition de biométrisation du numéro d'identité sociale pour la sécuriser. Philippe Juvin, candidat à la primaire LR, en a également parlé dans son dernier livre. Quant à moi, je suis secrétaire national de l'UDI, le parti centriste. Je ne peux que me féliciter que la plupart des acteurs politiques de premier plan viennent sur ce sujet-là. [ ] <p align="right">Charles Prats le 24 septembre 2021 - Magistrat, ancien juge d'instruction - Délégué au développement de l'Association Professionnelle des Magistrats APM <a href= https://www.bvoltaire.fr/ target=_blank>www.bvoltaire.fr/</a>