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Mère Alix Le Clerc (1576-1622)

Référence : 117400
3 avis
Date de parution : 4 juin 2021
EAN 13 : 9782851902788
Nb de pages : 176
18.00
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Description
Au sortir des guerres de Religion, après tant de calamités et de drames, la divine Providence suscita une nouvelle floraison de saints. « En France, ce fut sur tous points du royaume [et à ses marges] qu'éclata la sainteté : saint François de Sales en Savoie, saint Pierre Fourier en Lorraine, le père Le Nobletz et Julien Maunoir en Bretagne, saint Vincent de Paul à Paris, saint François Régis en Vivarais, saint Jean Eudes en Normandie. Quel printemps de grâces ! Alix était à son berceau la même année que Vincent de Paul. »
Se retirant du siècle, après avoir été frappée par la grâce, et se croyant appelée à fonder une nouvelle communauté religieuse, alors qu'elle a tout juste vingt ans, Alix Le Clerc s'ouvre à saint Pierre Fourier : « Il faut faire une maison nouvelle pour y pratiquer tout le bien qu'on pourrait. » « Trop prudent pour donner crédit à des imaginations de femme, trop prudent aussi pour risquer de contrister l'Esprit, si cela était de lui, Pierre Fourier priait sur cette idée. Un jour il dit à Alix : "Eh bien ! allez ! trouvez des compagnes." C'était un défi. Humainement parlant, ce recrutement à Mattaincourt était du domaine de l'impossible. "Mais il me semblait que tout était possible à Dieu s'il le voulait." » devait écrire la bienheureuse.
TitreMère Alix Le Clerc (1576-1622)
Auteur REMIREMONT (A. de)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution4 juin 2021
Nb de pages176
EAN 139782851902788
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.22
Critique du libraire
Vie et vertus de la bienheureuse Alix Le Clerc (1576-1622), fondatrice, avec saint Pierre Fourier, des Chanoinesses de saint Augustin (communauté devenue Congrégation Notre-Dame en 1628), qui se consacrent à l'éducation des jeunes filles. Figure éminente de la Contre-Réforme en Lorraine, la bienheureuse Alix Le Clerc est également une mystique : parmi les figures marquantes de l'école française de spiritualité, qui voit le jour à l'orée du Grand Siècle, ses oeuvres spirituelles figurent en bonne place. Réédition, dans la collection "Âmes ardentes" des éditions de Chiré, de cet ouvrage paru en 1946, un an avant la béatification d'Alix Le Clerc par le pape Pie XII.
Les avis clients
Vie de la fondatrice de l'ordre des Chanoinesses de Saint-Augustin
5/5 AFS
.----. Religieuse béatifiée en 1947, Mère Alix Le Clerc est la fondatrice de l'ordre des Chanoinesses de Saint-Augustin de la congrégation Notre-Dame. La réédition de cette biographie présente un double intérêt, du fait de la personnalité de cette maîtresse femme qui affronta un grand nombre d’obstacles, mais aussi de l’œuvre dont elle eut l’initiative avec le soutien de St Pierre Fourier. Sa conversion, après quelques années de jeunesse insouciante et frivole, la conduisit à une vie de renonciation, d’austérité, de sacrifice qui lui valut les quolibets de son entourage, l’incompréhension de sa famille et notamment l’opposition de son père. Sa soif d’absolu se heurta à la prudence de son confesseur, St Pierre Fourier qui l’aidera, non sans quelques difficultés du fait des personnalités de chacun, dans la fondation puis l’essor de son œuvre. Elle connut le désordre des couvents où les mondanités aristocratiques avaient pris le pas sur le recueillement et les dévotions, et subit avec patience les critiques et vexations qui ne manquaient pas d’en sortir. Pour qui s’intéresse à la vie des élus de Dieu, il n’y a rien là d’extraordinaire ! Pas plus que n’étonneront le mysticisme de Mère Alix ou les miracles qui jalonnent son existence pour la soutenir. Mais sa vie retient surtout l’attention par son initiative de créer une « maison nouvelle de filles pour y pratiquer tout le bien qu'on pourrait », institution dédiée à l'éducation des jeunes filles. L’idée est toute nouvelle. Jusque-là, l’éducation et l’enseignement des filles étaient ignorés, mis à part dans les milieux aristocratiques et bourgeois. Le temps était venu, explique l’auteur, où l’on allait se rendre compte que (…) la mauvaise éducation des femmes fait plus de mal que celle des hommes, car ceux-ci se forment selon l’âme de celles-là. À la lecture de ces lignes, on ne peut s’empêcher de penser aux communautés religieuses d’enseignantes qui aujourd’hui œuvrent à cette délicate tâche, d’en remercier le Ciel et de leur exprimer notre amicale reconnaissance. En 1598, Melle Alix a 22 ans. St Pierre Fourier, l'apôtre de la Réforme catholique en Lorraine, supporte non sans réticences l’ouverture de la première école après que celle qui allait devenir Mère Alix ait réuni quelques compagnes. C’est l’acte de naissance de l’enseignement scolaire des filles en France, œuvre d’Église, la République n’existant pas encore. À la veille de la Révolution, l'œuvre comportait 90 implantations et 4000 religieuses, réunies en monastères car « pour être d’excellentes institutrices il leur faut et la vie religieuse et des règles de clôture », précise l’auteur. Le projet éducatif, dirait aujourd’hui un inspecteur de l’Éducation nationale, avait été formulé par St Pierre Fourier simplement mais sur de fortes fondations et, partant, aux possibilités illimitées : Instruire bien soigneusement en la crainte de Dieu et en quelques autres choses (…) qui aident à bien vivre. YT <p align="right">AFS N° 279 Février 2022 <a href= https://www.afs.ovh/action-familiale-et-scolaire/ target=_blank>www.afs.ovh/action-familiale-et-scolaire</a>/
Un chemin de sainteté
5/5 Plaisir de Lire
.----. À tout juste 20 ans, cette âme exceptionnelle entreprend de fonder une nouvelle congrégation enseignante, sous la direction de celui qui deviendra saint Pierre Fourier. Les Chanoinesses de Saint-Augustin ouvrent en 1598 leur première école pour les petites filles. Davantage qu’une froide biographie qui relaterait la vie et les actions de Mère Alix Le Clerc, ce livre la fait revivre, cite ses paroles et fait réfléchir le lecteur en le menant vers une plus grande proximité avec Dieu. Béatifiée par le pape Pie XII, Mère Alix le Clerc était tout à la fois mystique et figure éminente de la Contre-Réforme en Lorraine. Pour qui ce livre ? Pour toutes les jeunes filles à partir de 16 ans et pour toute la famille. Un chemin de sainteté. [ Plaisir de Lire, numéro 196 - septembre 2021 . Cette petite revue est sous-titrée Littérature et vie chrétienne, elle paraît depuis 1966 et est dirigée par Marie de l'Aubier . Vous pouvez demander un spécimen de la part de Chiré à l'adresse : Plaisir de Lire - 57 route Nationale - 80160 - Flers-sur-Noye ]
Béatification par le pape Pie XII.
5/5 DICI n°410 – FSSPX.Actualités.
.----. "Cet ouvrage" présente la vie et les vertus de la bienheureuse Alix Le Clerc (1576-1622), fondatrice, avec saint Pierre Fourier, des Chanoinesses de Saint-Augustin (communauté devenue Congrégation Notre-Dame en 1628), qui se consacrent à l’éducation des jeunes filles. Figure éminente de la Contre-Réforme en Lorraine, la bienheureuse Alix Le Clerc est également une mystique, parmi les personnalités marquantes de l’Ecole française de spiritualité, qui voit le jour à l’orée du Grand Siècle. Se retirant du monde, après avoir été touchée par la grâce, et se sentant appelée à fonder une nouvelle communauté religieuse, alors qu’elle a tout juste vingt ans, Alix Le Clerc s’ouvre à saint Pierre Fourier : « Il faut faire une maison nouvelle pour y pratiquer tout le bien qu’on pourrait.?» Trop prudent pour donner crédit à des imaginations de femme, trop prudent aussi pour risquer de contrister l’Esprit, si cela était de lui, Pierre Fourier priait sur cette idée. Un jour il dit à Alix : « Eh bien ! allez ! trouvez des compagnes. » C’était un défi. Humainement parlant, ce recrutement à Mattaincourt était du domaine de l’impossible. « Mais il me semblait que tout était possible à Dieu, s’il le voulait », devait écrire la bienheureuse. Au sortir des guerres de Religion, après tant de calamités et de drames, la divine Providence suscita une nouvelle floraison de saints. « En France, ce fut sur tous points du royaume qu’éclata la sainteté : saint François de Sales (1567-1622) en Savoie, saint Pierre Fourier (1565-1640) en Lorraine, Dom Michel Le Nobletz (1577-1652) et le père Julien Maunoir (1606-1683) en Bretagne, saint Vincent de Paul (1581-1660) à Paris, saint François Régis (1597-1640) en Vivarais, saint Jean Eudes (1601-1680) en Normandie. Quel printemps de grâces ! » [ Publié le 31 Juillet , 2021 ]