Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

Nous n'expédierons pas de colis du 25 décembre au 1 er janvier. Seule une permanence sera ouverte le 30 et 31 décembre.

N° 118 (nouvelle série), février 2021 : Saint Joseph et soeur Josefa Menéndez, petite colombe du Sacré-Coeur

Référence : 116738
Date de parution : 22 février 2021
EAN 13 : 0000001167382
Nb de pages : 32
3.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous 7 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
SOMMAIRE :  

- Éditorial (par Jérôme Seguin) (p. 2 de couverture)
- Saint Joseph, la colombe et sœur Josefa (par Christian Auclair) (p. 1)
La colombe et saint Joseph (p. 1) - Saint Joseph et sœur Josefa Menéndez (p. 2) - La colombe et sœur Josefa (p. 3)
- Augustin Cochin et la grande fumisterie, 2e partie (par Philippe Lauria) (p. 8)
- Les cadeaux de Tante Anne (la bibliothèque des petits Chouans) (p. 17)
Fanchette et le moulin maudit (de Simone Roger-Vercel) - Ces médecins qui furent des saints (de Martine Bazin et Marylène Saint-Luc) - La Brouette (d'Edmond Rostand). 
- Les métamorphoses de la justice et du droit à Rome et l'influence des diverses mafias sur la vie de l'Église (3e partie, par Paul-André Maur) (p. 19) 
Origines de la désaffection pour le droit canonique dans l'Église conciliaire (suite) (p. 19) - Quelle secte et quels rites ont formé l'Église conciliaire ? (p. 22) - Conclusion (p. 29)
- Nos éphémérides (par Vincent Chabrol) (p. 31)
Critique du libraire
ÉDITORIAL : Sœur Josefa Menéndez fut une âme privilégiée au même titre que sainte Gertrude et sainte Marguerite-Marie, et, cependant, elle ne bénéficie pas de la même notoriété. Pour quelle raison ? Peut-être, tout simplement, parce qu'elle était d'origine espagnole et vécut ses trois dernières années à Poitiers ! Il nous est agréable de publier, dans ce numéro, l'évocation de ses derniers instants relatés par notre ami Christian Auclair, et ce, d'autant plus que notre ville s'honore d'avoir connu au long de son histoire quelques figures parmi les plus marquantes de l'Église catholique (saint Hilaire, sainte Radegonde, le cardinal Pie). Nous devons mentionner ici que, grâce à son énergie, son dynamisme et sa volonté, Christian Auclair, avec ses amis de l'uvre du Sacré Cœur a considérablement travaillé, depuis plus d'une cinquantaine d'années, à sortir sœur Josefa de l'oubli dans lequel elle avait été « confinée » depuis plus d'une soixantaine d'années et restait presque totalement méconnue à Poitiers même. Nous rappelons en quelques traits les principales étapes de sa vie : elle était née, le 4 février 1890, en Espagne, dans une famille très chrétienne. Dès l'âge de 15 ans, elle fit vœu de virginité et souhaitait ardemment devenir religieuse et se consacrer à Dieu dans la Société du Sacré-Cœur, mais ses demandes successives n'aboutirent pas et ce ne fut qu'à l'âge de 30 ans qu'elle fut acceptée pour rentrer au noviciat de Poitiers, où elle devint l'objet de révélations divines pour une mission très spéciale : faire connaître au monde l'amour universel et la miséricorde infinie du Cœur du Christ. Et ce message commença à être diffusé dès le lendemain de sa mort, le 29 décembre 1923 (elle n'avait que 33 ans). Il fallut attendre encore 15 ans avant que le message soit publié et répandu auprès du public, dans un gros livre de 600 pages, intitulé Un Appel à l'Amour, paru en 1938, après avoir reçu l'approbation du cardinal Pacelli (futur Pie XII). Il fut diffusé à 50 000 exemplaires en six mois. Complété, il a été réédité en 1944 et traduit aujourd'hui en dix-huit langues. Tombé ensuite peu à peu dans l'oubli, durant les années post-conciliaires, il fut réédité, en 2014, par Christian Auclair. Il atteint actuellement une diffusion de 130 000 exemplaires en langue française ! L'ensemble de cette « réactualisation » de sœur Josefa a été réalisé sous l'égide de L'uvre du Sacré-Cœur (dont le siège est domicilié à Poitiers, dans les bâtiments du couvent où ne restent plus aujourd'hui, hélas, que quelques religieuses très âgées, sans que des vocations nouvelles se soient manifestées pour leur venir en aide et leur succéder). Les principales opérations effectuées furent l'édition ou la réédition de livres, brochures, opuscules, feuillets, images, blocs de pensées, en relation avec le livre principal (nous citons quelques titres à la fin de l'article de Ch. Auclair). Jérôme SEGUIN