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La nouvelle messe, cinquante ans après - Chronique de l´après-Concile

Référence : 111652
3 avis
Date de parution : 30 janvier 2020
Auteur : SALLERON (Louis)
EAN 13 : 9782856524237
Nb de pages : 426
23.50
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Description

Avec une clairvoyance sans égale, un esprit critique nourri seulement de vérité, Louis Salleron donna une chronique sur les travaux de l'Eglise à un grand hebdomadaire parisien. Témoin, il l'a été avec une étonnante perspicacité. Il étudie les textes et constate les conclusions qu'on peut en tirer.
Le sujet est grave mais cet ouvrage ne manque ni d'humour ni d'une douce ironie. L'auteur prévient. Il serait regrettable d'inquiéter trop tard, et quand on voit sa mère malade ou bafouée, on ne la griffe pas davantage.
On l'aime comme elle est, mais on souhaite sa guérison. C'est I'état d'esprit de Louis Salleron, auteur d'une intelligence remarquable, qui ne veut pas ajouter de la peine à la peine.
Aussi traite-t-il des aberrations, des désirs de nouveauté, des innovations postconciliaires, des chemins qui mènent à l'hérésie ou au dégoût de la religion. Il le fait avec tact, force, perspicacité et charité. Il aborde de front la toute puissance des bureaux, la dégradation de la loi dans l'Eglise, l'équivoque du retour aux sources, les changements parasitaires dictés par une forme dangereuse de sentimentalisme, l'abandon du latin que Jean XXIII avait rendu obligatoire dans les séminaires, la protestantisation de l'Eglise, la démocratisation des institutions, la communion dans la main, le mariage des prêtres, etc.
Cinquante ans après l'introduction du nouveau rite de la messe, dit aujourd'hui ordinaire, cet ouvrage, écrit d'une belle plume, n'a rien perdu de son actualité, car en dépit même de certaines corrections et d'une accalmie dans les réformes, l'Eglise est toujours exposée aux assauts de ses ennemis, qu'ils soient de l'extérieur ou de l'intérieur. Cet ouvrage est une contribution remarquable à l'histoire de la liturgie et de l'Eglise.
Professeur honoraire d'économie politique à l'Institut catholique de Paris, auteur de nombreux ouvrages, dont La nouvelle messe, (NEL), Louis Salleron, économiste, philosophe, humaniste, poète à ses heures, a résisté avec foi, persévérance et clairvoyance, aux désordres qui ont meurtri tant d'âmes, souhaitant les garder dans la clarté de la science, de la foi, et dans le droit chemin.

TitreLa nouvelle messe, cinquante ans après - Chronique de l´après-Concile
Auteur SALLERON (Louis)
ÉditeurDMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
Date de parution30 janvier 2020
Nb de pages426
EAN 139782856524237
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)225
Poids (en Kg)0.58
Biographie
Critique du libraire
Bien connu de nos lecteurs pour sa collaboration à la revue Itinéraires, Louis Salleron (1905-1992) a été un des grands pionniers de la restauration post-conciliaire. De 1968 à 1974, il va tenir des chroniques sur cette période troublée et troublante, et son analyse percutante mérite toute notre attention.
Les avis clients
D'une lucidité étonnante
5/5 Action Familiale et Scolaire
.----. Publiés à titre posthume par sa famille, ces textes de Louis Salleron (1905-1992) ont été écrits entre 1968 et 1974. On y trouvera traités, à 50 ans de distance, et avec une lucidité étonnante, des thèmes d’une grande actualité, comme le mariage des prêtres, le synode et la collégialité, l’œcuménisme, etc., ce qui donne à l’ouvrage un intérêt tout particulier. Nous reproduisons, avec l’aimable autorisation de Monsieur J. Dhaussy, la présentation de l’ouvrage en quatrième de couverture. Avec une clairvoyance sans égale, un esprit critique nourri seulement de vérité, Louis Salleron donna une chronique sur les travaux de l’Église à un grand hebdomadaire parisien. Témoin, il l’a été avec une étonnante perspicacité. Il étudie les textes et constate les conclusions qu’on peut en tirer. Le sujet est grave, mais cet ouvrage ne manque pas d’humour ni d’une douce ironie. L’auteur prévient. Il serait regrettable d’inquiéter trop tard et quand on voit sa mère malade ou bafouée, on ne la griffe pas davantage. On l’aime comme elle est, mais on souhaite sa guérison. C’est l’état d’esprit de Louis Salleron, auteur d’une intelligence remarquable, qui ne veut pas ajouter de la peine à la peine. Aussi traite-t-il des aberrations, des désirs de nouveauté, des innovations postconciliaires, des chemins qui mènent à l’hérésie ou au dégoût de la religion ; il le fait avec tact, force, perspicacité et charité. Il aborde de front la toute puissance des bureaux, la dégradation de la loi dans l’Église, l’équivoque du retour aux sources, les changements parasitaires dictés par une forme dangereuse de sentimentalisme, l’abandon du latin que Jean XXIII avait rendu obligatoire dans les séminaires, la protestantisation de l’Église, la démocratisation des institutions, la communion dans la main, le mariage des prêtres, etc. Cinquante ans après l’introduction du nouveau rite de la messe, dit aujourd’hui "ordinaire", cet ouvrage, écrit d’une belle plume, n’a rien perdu de son actualité, car en dépit même de certaines corrections et d’une accalmie dans les réformes, l’Église est toujours exposée aux assauts de ses ennemis, qu’ils soient de l’extérieur ou de l’intérieur. Cet ouvrage est une contribution remarquable à l’histoire de la liturgie et de l’Église. <p align="right">Y. T. dans AFS N° 268 Avril 2020 <a href= https://www.afs.ovh/action-familiale-et-scolaire/ target=_blank>www.afs.ovh/action-familiale-et-scolaire</a>/
Cinquante ans après, les révolutionnaires sont toujours dans l’Eglise
5/5 Le Salon Beige .
.----. Les éditions DMM viennent de publier un ouvrage rassemblant des articles de Louis Salleron, décédé en 1992, qui fut professeur honoraire d’économie politique à l’Institut catholique de Paris, auteur de nombreux ouvrages, dont La nouvelle messe, (NEL), philosophe, humaniste et poète à ses heures. Intitulé La Nouvelle messe, cinquante ans après – Chronique de l’après Concile, ces articles, publiés entre 1968 et 1972 dans l’hebdomadaire Carrefour, lequel a cessé de paraître en 1986. Contrairement à ce qu’indique le titre de l’ouvrage, ces articles ne se limitent pas à la nouvelle messe, mais ils abordent les bouleversements de l’Eglise en France, après le Concile, avec la réforme des paroisses, du clergé, des séminaires, du catéchisme et la diffusion de l’idéologie, car c’en est une, de l’œcuménisme, comprise par les modernistes comme un nivellement de la foi catholique pour la rendre compatible du protestantisme, ce qui aboutit à une révision de la foi catholique, qui se manifeste à la fois dans la liturgie et le catéchisme. Le sujet est grave mais cet ouvrage ne manque ni d’humour ni d’une douce ironie. L’auteur traite des aberrations, des désirs de nouveauté, des innovations postconciliaires, des chemins qui mènent à l’hérésie ou au dégoût de la religion, tout en rappelant l’enseignement des papes, et notamment de Paul VI. Livre pour servir à l’histoire du catholicisme français, certaines pages du livre nous renvoient à des polémiques récentes, comme celles consacrées au mariage des prêtres. Alors même que le Concile puis le pape Paul VI (dans l’encyclique Sacerdotalis Caelibatus en 1967) venaient de réaffirmer le célibat sacerdotal, un certain nombre de clercs militaient ouvertement pour l’ordination d’hommes mariés, le mariage des prêtres et la réintégration des prêtres réduits à l’état laïc pour se marier… Louis Salleron décrypte les manœuvres et démonte les arguments des révolutionnaires de l’Eglise, dont les successeurs actuels n’ont fait que reprendre les arguments sclérosés : raréfaction des vocations, mais aussi nécessité de faire du prêtre un laïc comme les autres… L’auteur aborde de front la toute puissance des bureaux, spécialistes dans la manipulation, la dégradation de la loi dans l’Eglise, l’équivoque du retour aux sources, les changements parasitaires dictés par une forme dangereuse de sentimentalisme, l’abandon du latin que Jean XXIII avait rendu obligatoire dans les séminaires, la protestantisation des structures de l’Eglise, la démocratisation des institutions, la communion dans la main, etc. Cinquante ans après, cet ouvrage n’a rien perdu de son actualité, car en dépit même de certaines corrections et d’une accalmie dans les réformes, l’Eglise est toujours exposée aux assauts de ses ennemis, qu’ils soient de l’extérieur ou de l’intérieur, comme nous avons pu le constater lors du dernier synode.[ Michel Janva le 2 avril 2020 ]
Collaborateur d'Itinéraires...
3/5 Lecture et Tradition .
.----. Bien connu de nos lecteurs pour sa collaboration à la revue Itinéraires, Louis Salleron (1905 - 1992) a été un des grands pionniers de la restauration post-conciliaire . De 1968 à 1974, il va tenir des chroniques sur cette période troublée et troublante, et son analyse percutante mérite toute notre attention . Notons que Salleron avait publié aux Nouvelles Editions Latines un titre similaire La nouvelle Messe qui, s'il aborde les mêmes thèmes n'est pas le même ouvrage que celui-ci . [ " Sous les feux de la rampe...par Mickaël Savigny dans " Lecture et Tradition " , numéro 105 , nouvelle série - janvier 2020 . Notre revue parait depuis plus de 50 ans (1966) et tous les numéros sont présentés sur ce site en étant très souvent encore disponibles ]