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L´athéisme va-t-il mourir ? ou l´évidence indécise

Référence : 88874
3 avis
Date de parution : 19 janvier 2017
EAN 13 : 9782856523827
Nb de pages : 228
22.00
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Description
La science ne prouvera jamais l'existence de Dieu ; lequel ne serait pas vraiment Dieu s'il pouvait être prouvé. Mais ses surprenantes découvertes ont progressivement ébranlé le credo déterministe et la vision mécaniste de la physique classique, et elles ne manqueront pas d'affecter en profondeur les modalités de pensée de l'homme "postmoderne". Tôt ou tard une évolution se produira dans son esprit qui pourrait bien lui faire redécouvrir la Torah et l'Evangile et le réconcilier avec la religion.
Dans un livre précédent, La genèse du féminin, Alain Monestier s'était attaché à mettre en lumière ce "paradigme de fécondité" sur lequel fonctionnent selon lui les textes de la Bible. Poursuivant sa réflexion, il décrit dans cette nouvelle étude la singulière noétique qui les sous-tend et qui, depuis des siècles, n'a pas cessé de donner du fruit dans la tradition talmudique ; une anthropologie de l'esprit forgée dès les premiers livres de la Torah mais présentant aussi de bien curieuses concordances avec les notions que la science a déployées depuis les premières décennies du XXe siècle : relativité, indétermination et intrication quantiques, incomplétude, pensée sans langage, champs morphiques...
Convoquant tour à tour ces théories nouvelles et procédant à des rapprochements pour le moins inattendus, l'auteur interroge à nouveaux frais quelques-uns des récits qui, comme "la ruine de Babel" ou "l'entretien de Jésus avec Nicodème", ont servi à façonner la mentalité des Hébreux et à leur apprendre les subtils "gestes mentaux" que l'esprit humain doit accomplir pour connaître le monde et accueillir la Parole de Dieu.
Au final son livre esquisse les contours d'un paysage mental tout à fait inédit, dans lequel la Bible et la science semblent maintenant pouvoir partager les mêmes paradigmes. Il laisse ainsi entrevoir l'avènement d'une nouvelle forme d'intelligence qui renouerait avec le symbole et le mythe, et surtout avec cette "pensée féconde" dont le judaïsme a su préserver les précieux secrets ; une pensée qui, la science aidant, pourrait bien offrir à la Nouvelle Évangélisation de vertigineuses perspectives.
TitreL´athéisme va-t-il mourir ? ou l´évidence indécise
Auteur MONESTIER (Alain)
ÉditeurDMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
Date de parution19 janvier 2017
Nb de pages228
EAN 139782856523827
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)225
Poids (en Kg)0.32
Les avis clients
Complément d'info :
5/5 bibliothequedecombat)
.----. Pour Saint Augustin, les athées sont des dépravés "J'ai manifesté ton nom aux hommes." Ces paroles comprennent, dans la pensée du Sauveur, tous ceux qui devaient croire en lui comme membres de cette grande Église composée de toutes les nations et dont le psalmiste a dit : « Je te rendrai grâces dans la grande assemblée » (Ps 21,26). C'est vraiment alors cette glorification par laquelle le Fils rend gloire au Père en répandant la connaissance de son nom parmi les nations et aux innombrables générations humaines. Quand donc il dit : « J'ai manifesté ton nom aux hommes que tu m'as donnés », cela se rapporte à ce qui précède : « Je t'ai glorifié sur la terre... » "J'ai manifesté ton nom aux hommes que tu m'as donnés " : non pas son nom de Dieu, mais celui de Père. Ce nom-là ne pouvait pas être manifesté sans la manifestation du Fils. En effet, il n'y a aucun peuple qui, même avant de croire en Jésus Christ, n'ait eu une certaine connaissance de Dieu comme étant le Dieu de toute la création. Car la puissance du Dieu véritable est telle qu'il ne peut absolument pas être caché à une créature raisonnable qui veut faire usage de son esprit. Sauf un petit nombre d'individus dont le caractère a vraiment atteint la dépravation, le genre humain tout entier reconnaît Dieu comme l'auteur de ce monde... Mais le nom de Père de Jésus Christ, par lequel il enlève le péché du monde, n'était nullement connu, et c'est ce nom-là que le Seigneur manifeste à ceux que son Père lui a donnés. Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église - Traités sur St Jean, n°106 ( 29 mai 2016 )
Une logique du sens...
5/5 Politique Magazine, n°160, mars 2017
Science, mathématique, physique, biologie, philosophie, théologie, exégèse, Alain Monestier remet tout en cause. Avec prudence, certes, mais sans hésitation. C'est qu'il veut rompre avec les logiques occidentales qui s'enferment sur elles-mêmes et qui, à force de ne connaître que les principes d'identité et de causalité, aboutissent au rationalisme le plus sec, au positivisme le plus plat, aux certitudes les plus absurdes et les plus ignorantes. À la logique stricte d'une vérité normée dans un univers stable et homogène, il oppose une logique du sens qui privilégie l'intuition, l'évidence, l'indétermination, le symbole, la richesse de l'esprit dialogique où se retrouvent, sous des angles différents mais complémentaires, les exégèses hébraïques, voire talmudiques, de la Bible, mais aussi bien les approches les plus modernes de la réalité hétérogène du monde, son incomplétude, son incertitude et jusqu'à la mécanique quantique... Peut-être pour des retrouvailles judéo-chrétiennes et une eschatologie gréco-hébraïque ? Soit...Est-il permis de mettre en garde contre ce qui pourrait devenir une gnose ? H.C.
Pensum !
1/5 Hubert.
Il me reste à vous faire une confidence : il y a longtemps, que je ne m'étais pas infligé de pensum aussi torturant que la lecture de votre livre. Mais par contraste, vous me fûtes une occasion, de savourer encore les délices d'une science catholique dont j'avais peut-être oublié le bienfait qu'elle peut être, par sa cohérence et son harmonie . Pour affirmer que mission accomplie, il ne me reste donc qu'à me défaire d'un ouvrage dont je ne veux pas encombrer mon logement. Et maintenant, à la grâce de Dieu.