Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Les cloches sonneront-elles encore demain ?

Référence : 87597
4 avis
Date de parution : 12 octobre 2016
Collection : ESSAIS DOC.
EAN 13 : 9782226393784
Nb de pages : 320
22.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
La France est meurtrie par le terrorisme. Mais il y a plus grave : elle est en train de perdre son identité. Si l'on ne fait rien, selon Philippe de Villiers, la voix du muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs. 

L'auteur a eu accès à de nombreuses informations qu'il divulgue ici pour que les Français sachent et prennent conscience de l'extrême gravité de la situation. 
À travers une mise en perspective vertigineuse, il rappelle comment, depuis les années 1980, notre pays a été lentement mais sûrement « islamisé ». Rien n'a été fait pour répondre aux vagues migratoires et au plan secret de l'Europe. Pire, ce projet d'un « Eurislam », révélé ici au grand jour, a été encouragé par les élites françaises.
Il faut renouer avec notre pays. Philippe de Villiers propose d'inventer un nouveau roman national qui soit un roman d'amour. Pour que chaque Français puisse partir dans la vie avec un bagage imaginaire qui porte ses rêves.  


Philippe de Villiers est un homme politique, auteur d'une quinzaine d'ouvrages à succès dont Les turqueries du Grand Mamamouchi (2005), Les Mosquées de Roissy (2006), Une France qui gagne (2007), Le roman de Charette (2012), Le roman de Saint Louis (2013), sans oublier son excellent Roman de Jeanne d'Arc (2014). Son livre Le moment est venu de dire ce que j'ai vu, publié en 2015, est devenu un véritable phénomène de librairie, numéro 1 des ventes pendant de nombreuses semaines. Il est aujourd'hui plus que jamais une personnalité incontournable du PAF.
TitreLes cloches sonneront-elles encore demain ?
Auteur VILLIERS (Philippe de)
ÉditeurALBIN MICHEL (EDITIONS)
Date de parution12 octobre 2016
Nb de pages320
CollectionESSAIS DOC.
EAN 139782226393784
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)27
Largeur (en mm)154
Hauteur (en mm)240
Poids (en Kg)0.50
Biographie
Philippe de VILLIERS (1949 - )
Philippe de VILLIERS (1949 - )

Né le 25 mars 1949 à Boulogne (Vendée), Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon s'est marié en 1973 à Mlle Dominique de Buor de Villeneuve et eut sept enfants.

Voir plus
Critique du libraire
La vérité sur l'histoire de l'islamisation de la France. L'islamisation est galopante, les hommes politiques l'accompagnent. Monsieur Valls a dit, face à la radicalisation, il faut, je cite, "un islam fort". A chaque fois qu'il y a un attentat, on cherche « les islamophobes » pour les culpabiliser. Il y a un moment donné où les Français n'accepteront plus cela. Et donc l'islamisation de la France va provoquer un phénomène de résistance. « On n'y est pas pour l'instant. Tout le monde se terre, tout le monde se tapit. On a peur parce qu'il y a une judiciarisation des pensées et des arrière-pensées, mais le temps va venir où le laïcisme d'un coté et l'islamisation de l'autre vont réveiller la France chrétienne. Aujourd'hui, les autorités politiques, spirituelles, morales sont toutes orientées vers « l'Accueil de l'Autre » et le Vivre-Ensemble, c'est à dire en fait la fin de l'Europe, la fin de l'Europe chrétienne. Pour être chrétien aujourd'hui il faudrait « faire rentrer des migrants ». Ce qui veut dire « faire rentrer l'islam ». Ce sont des inconscients. Ils se trompent. Aujourd'hui, la première des charités, c'est de fixer là où ils sont ceux qui ne doivent pas être des migrants, parce que ce n'est pas faire leur bonheur que de les déraciner. On leur vend du rêve et le rêve se termine par un cauchemar. Parmi les migrants, évidemment, il y a les terroristes dissimulés. Donc la première de toutes les charités, c'est l'enracinement. Et la deuxième charité, c'est de se préoccuper de son voisin, et de se préoccuper de sa famille. Il y a une famille qui est la famille des familles et qui s'appelle la nation. [...] Nous sommes au début d'une guerre, c'est une guerre sur notre territoire, c'est la guerre parce que l'islam nous fait la guerre. Et je ne leur en veux même pas parce que c'est dans le Coran, ils appliquent le Coran, c'est une lecture littérale du Coran. Dans le Coran, il est dit : il y a le Dar-al-islam, où est la paix, c'est à dire là où ils sont, en Orient, où ils éradiquent les derniers lambeaux de christianisme, ce qu'ils appellent les Nazaréens. Et puis il y a le Dar-el-harb, qui est le territoire de la guerre, là où il faut porter le djihad parce que le monde entier doit se soumettre à Allah. C'est dans le Coran. Et ils appliquent le Coran. Et face à des gens qui appliquent le Coran, on a des inconscients et des collabos de toutes sortes, comme toujours, ce que l'on appelle aujourd'hui, ce que les islamistes appellent des dhimmis, et les dhimmis, sont condamnés à la dhimmitude, Houellebecq avait raison, il a sorti son livre, Soumission, le jour des attentats de Charlie Hebdo. »
Les avis clients
Retrouver son âme...
5/5 https://lanef.net/
.----. La France, fille aînée de l’Église, « n’a pas vocation à devenir la fille aînée de l’islam ». C’est sur cette conviction que Philippe de Villiers clôt son dernier livre. Cependant, lucide et informé, il sait que la France d’aujourd’hui est gravement en danger d’islam, au point que son existence même est menacée par l’installation sur son sol de populations musulmanes étrangères qui importent et veulent imposer leurs propres lois et traditions. Cette entreprise est d’autant plus exaltante qu’elle s’appuie sur un commandement énoncé par le Dieu du Coran. Le pire, constate l’auteur, est que l’islam se déploie comme naturellement, sans rencontrer de résistance. Il tisse sa toile presque sans bruit, profitant d’une France fatiguée et nihiliste, qui, non seulement ne s’aime plus, mais s’enfonce dans le mépris, voire le dégoût, de son histoire, le repentir malsain, le déni de ses origines. Philippe de Villiers a raison de rappeler que la France est « née du baptême de son roi » et non le résultat d’un agrégat de communautés ne partageant entre elles ni religion ni culture. Il a raison de dénoncer le mensonge flagrant- du « métissage perpétuel » qui aurait façonné notre nation. Or, si celle-ci est de « tradition multiethnique », elle n’a jamais été « multiculturelle ». Dans cet ouvrage, où il ne cache pas sa souffrance, l’auteur décrit méthodiquement la responsabilité de nos élites dans le processus d’islamisation qu’il déplore : lâchetés, reniements, aveuglement, utopie mondialiste, intérêts mercantiles, valeurs dévoyées, chantage à l’islamophobie. Il dévoile aussi le plan « Remplacement migration » élaboré par l’ONU et adopté par l’Union européenne sous la forme d’un projet de recherche intitulé « Eurislam ». À Bruxelles désormais, on préconise l’introduction de la charia dans le droit européen, ce qui conduit Ph. de Viliers à cette pertinente remarque. « Dans les nations européennes, la religion d’État des droits de l’homme, avec son obsession de la non-discrimination dont profitent abondamment les musulmans, prépare paradoxalement la domination d’un système juridico-divin fondé sur la discrimination puisque l’islam est par définition ultra-discriminatoire. » Aujourd’hui, la France est en train de capituler. Mais elle peut se ressaisir, à condition de retrouver son âme, et elle possède pour cela les ressources culturelles et spirituelles nécessaires, seules capables de subjuguer ses citoyens musulmans. Ces atouts sont décrits avec amour dans les derniers chapitres sous la forme d’une profonde méditation mystique sur la « douce France » et son « blanc manteau d’églises ». Car il s’agit de ne pas perdre le cap de l’espérance. On est heureux de la route ainsi tracée par Philippe de Villiers. [ Signé Annie Laurent le 1 novembre 2016 dans La Nef ] PS : Qu'est-ce que La Nef ? : La Nef a été créée en décembre 1990, c'est un magazine mensuel, catholique et indépendant. Ce faisant, La Nef s'inscrit clairement et sans complexe dans une ligne de totale fidélité à l'Église et au pape qui la gouverne.
Titus donne son avis sur Villiers à Nantes .
5/5 Breizh-info / décembre 2016.
.----. Superbe manifestation patriotique à ne pas manquer. A propos de Philippe de Villiers, on a pu regretter qu'il ne revienne pas en politique de façon traditionnelle. Mais son travail de "lanceur d'alerte" est finalement plus important. Avez-vous entendu un (ou une) postulant à la présidentielle dire que l'Islam visible devrait être interdit en France ? Non, lui le dit, l'écrit, et le justifie dans LES CLOCHES SONNERONT ELLES ENCORE DEMAIN. Ce bouquin est le plus utile des cadeaux à faire pour Noël. [ Signé : TITUS ]
Un livre boussole. Un manuel de survie.
5/5 Robert Ménard / Boulevard Voltaire.
.----. Comme une gifle. On a beau se cogner chaque jour contre la réalité de l’immigration et de l’islam – les deux tiers des enfants des écoles publiques de ma ville de Béziers sont issus de l’immigration –, on sort comme assommé de la lecture de Les cloches sonneront-elles encore demain ? Que nous dit, en effet, Philippe de Villiers que les autres éludent ou taisent ? Que nous serons submergés. Que cette immigration de peuplement a été organisée, voulue. Que l’islam n’est pas compatible avec notre République. Que la violence lui est intrinsèque. Que notre classe politique a trahi, a « viré de bord », qu’elle « pratique l’intelligence avec l’ennemi. Elle espère encore passer entre les gouttes. Les gouttes de sang français. » Et de dénoncer, sans gants, sans ménagement, sans prudence — car il n’est plus temps —, un « Munich migratoire », la « position du soumissionnaire » adoptée par la haute administration et bon nombre d’évêques, la dhimmitude devant le « grand dérangement » des compagnons de route (du communisme hier, de l’islamisme aujourd’hui), d’Alain Badiou à Philippe Sollers. Maire d’une ville qui paie un tribut insupportable à ce « néocolonialisme à l’envers », les propos de Philippe de Villiers me touchent, me soulèvent, me bouleversent. Et, je veux le dire, me mettent les larmes aux yeux : « Toutes ces vieilles églises de pierre malade et ces cloches ancestrales qui ne sonnent plus appartiennent malgré tout à la personnalité française. Nul ne peut en disposer. Elles mettent chaque jour en nos humeurs si changeantes un peu de pérennité. Elles sont la haute mémoire de “ce cher et vieux pays”. C’est pourquoi il ne faut pas y toucher. Il ne faut pas déranger nos paysages intimes. C’est la civilisation. La nôtre. Elle n’est pas échangeable. On ne peut pas la troquer contre une autre, comme une liquette. » Oui, comme le fondateur du Puy du Fou – cet appartement témoin de la France que nous revendiquons —, je veux continuer à rêver d’un pays qui nous ressemble, à me réclamer d’une histoire que je chéris. Même si ces rêves n’ont pas l’heur de plaire à ces journalistes-gardes-chiourme et ces préfets-proconsuls qui nous font, qui me font une guerre de tous les jours. Philippe de Villiers, à lui seul, est œuvre de salubrité publique. Parce qu’il remet en perspective, parce qu’il est animé d’un souffle salvateur, parce qu’il manie les mots comme une hache pour se faire un chemin dans la jungle des idées reçues. Un souffle qui vous prend aux tripes : « Oserai-je l’avouer ?, écrit-il, Il m’arrive, certains soirs, de vagabonder vers les temps interdits par l’historiquement correct, vers les époques bannies par la censure officielle et de repartir aux croisades. J’aime cette France-là, de lumière vive et de tendresse rugueuse, qui ne doute pas et qui, pendant des siècles, a nourri les grandeurs intimes du poème français. » Mais, vite, il nous faut quitter le pont du Titanic et sonner les cloches. Pas pour le glas, écrit Philippe de Villiers, mais pour le tocsin. Et de rappeler les mots du général de Gaulle confiés à Malraux : « Nous sommes les derniers Européens de l’Europe, qui fut la chrétienté. » Il n’est pas trop tard. À condition de ne pas se contenter de lire Philippe de Villiers mais de le prendre au mot. Et de se battre. Un livre boussole. Un manuel de survie. [ Robert Ménard sur Boulevard Voltaire le 25/10/2016 ]
Les Français n'accepteront plus cela
5/5 Savoir, n°117, septembre 2016.
.----. L'islamisation est galopante, les hommes politiques l'accompagnent. Monsieur Valls a dit, face à la radicalisation, il faut, je cite, "un islam fort. À chaque fois qu'il y a un attentat, on cherche les "islamophobes" pour les culpabiliser. Il y a un moment donné où les Français n'accepteront plus cela. Et donc l'islamisation de la France va provoquer un phénomène de résistance. « On n'y est pas pour l'instant. Tout le monde se terre, tout le monde se tapit. On a peur parce qu'il y a une judiciarisation des pensées et des arrière-pensées, mais le temps va venir où le laïcisme d'un coté et l'islamisation de l'autre vont réveiller la France chrétienne. Aujourd'hui, les autorités politiques, spirituelles, morales sont toutes orientées vers « l'Accueil de l'Autre » et le Vivre-Ensemble, c'est à dire en fait la fin de l'Europe, la fin de l'Europe chrétienne. Pour être chrétien aujourd'hui il faudrait « faire rentrer des migrant-s ». Ce qui veut dire « faire rentrer l'islam ». Ce sont des inconscients. Ils se trompent. Aujourd'hui, la première des charités, c'est de fixer là où ils sont ceux qui ne doivent pas être des migrants, parce que ce n'est pas faire leur bonheur que de les déraciner. On leur vend du rêve et le rêve se termine par un cauchemar. Parmi les migrants, évidemment, il y a les terroristes dissimulés. Donc la première de toutes les charités, c'est l'enracinement. Et la deuxième charité, c'est de se préoccuper de son voisin, et de se préoccuper de sa famille. Il y a une famille qui est la famille des familles et qui s'appelle la nation. [...] Nous sommes au début d'une guerre, c'est une guerre sur notre territoire, c'est la guerre parce que l'islam nous fait la guerre. Et je ne leur en veux même pas parce que c'est dans le Coran, ils appliquent le Coran, c'est une lecture littérale du Coran. Dans le Coran, il est dit : il y a le Dar-al-islam, où est la paix, c'est à dire là où ils sont, en Orient, où ils éradiquent les derniers lambeaux de christianisme, ce qu'ils appellent les Nazaréens. Et puis il y a le Dar-el-harb, qui est le territoire de la guerre, là où il faut porter le djihad parce que le monde entier doit se soumettre à Allah. C'est dans le Coran. Et ils appliquent le Coran. Et face à des gens qui appliquent le Coran, on a des inconscients et des collabos de toutes sortes, comme toujours, ce que l'on appelle aujourd'hui, ce que les islamistes appellent des dhimmis, et les dhimmis, sont condamnés à la dhimmitude, Houellebecq avait raison, il a sorti son livre, "Soumission", le jour des attentats de Charlie Hebdo.»