Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Apologie de la Tradition

Référence : 86943
12 avis
Date de parution : 20 avril 2015
EAN 13 : 9782851901880
Nb de pages : 176
18.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
 

Peut-on discuter le concile Vatican II de manière historique, en mettant en lumière ses ombres éventuelles, ses limites et ses conséquences négatives ? Et, plus généralement, l'historien est-il légitime quand il met en évidence ou, éventuellement, critique des personnes et des événements d'Église ? La réponse à de telles questions peut être apportée à deux niveaux : au niveau historique et au niveau théologique. 

L'essentiel est de ne pas confondre ces deux domaines, qui ne sont ni séparés ni inconciliables, mais demeurent assurément distincts. L'histoire, toutefois, n'est pas une simple exposition de faits mais une authentique connaissance vouée à restituer de manière ordonnée le fil des événements, à travers des jugements de valeur, après avoir éprouvé la validité des divers documents et témoignages recueillis. Dans le cas de l'histoire de l'Église, observe monseigneur Hubert Jedin, notre discipline reçoit son objet d'étude de la théologie. L'historien de l'Église se distingue du théologien, non parce qu'il peut faire abstraction de la théologie, mais parce qu'il ne développe pas directement ses thèses dans le domaine de la théologie. 

Une connaissance théologique est toutefois nécessaire à l'historien pour comprendre tous ces événements humains qui ont à leur centre l'Église, de la même façon qu'une connaissance historique ne peut manquer au théologien s'il ne veut pas faire de sa doctrine une spéculation abstraite, privée de tout rapport avec le réel. Les méthodes d'analyse diffèrent cependant. La foi doit toujours illuminer les pas de l'historien catholique, surtout quand l'objet de son étude est l'Église, mais la méthode qu'il suit et les problématiques qu'il propose ne sont ni celles du théologien, ni celles du pasteur.
TitreApologie de la Tradition
Auteur MATTEI (Roberto de)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution20 avril 2015
Nb de pages176
EAN 139782851901880
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.22
Biographie
Roberto de MATTEI (1948 - )
Roberto de MATTEI (1948 - ) Roberto de Mattei est né à Rome le 21 février 1948, fils du baron Rodolfo de Mattei, (1899-1981) professeur à l'Université de Rome et de Michela Tarquini. Marié en 1972 à Rita di Campello, il est père de cinq enfants. Il réside à Rome. Voir plus
Critique du libraire
Dans son discours à la Curie romaine du 20 décembre 2010, Benoît XVI a comparé la crise de notre temps avec celle qui, au Ve siècle, vit décliner et s'écrouler l'Empire romain. Les similitudes entre ces deux époques sont réelles : si l'Empire romain s'effondra à cause des invasions barbares, mais encore plus en raison de sa décomposition interne, notre civilisation est elle aussi, aujourd'hui, soumise à une pression externe de plus en plus importante alors qu'elle subit parallèlement, en son propre sein, une déliquescence culturelle et morale. Il existe cependant une différence fondamentale entre la décrépitude de la société romaine et celle de l'Occident contemporain. Dans l'obscurité des invasions barbares, entre le Ve et le VIe siècle, lorsque les institutions politiques et sociales s'effondraient, l'Église catholique demeurait l'unique facteur d'ordre et de stabilité au sein d'un chaos généralisé. Les noms de saint Léon et de saint Grégoire, papes auxquels l'Église attribua le qualificatif de « Grand », nous rappellent le rôle décisif que joua l'institution pontificale au cours de ces épisodes. « Le dernier livre de Roberto de Mattei, Apologie de la Tradition, très opportunément édité par les Editions de Chiré, vient couronner son remarquable ouvrage Vatican II, une histoire à écrire dont j'ai, dans cette revue, déjà souligné les éminentes qualités. Son nouveau livre est bref, mais d'une remarquable densité et fournit au lecteur une clé de compréhension du phénomène conciliaire, permettant ainsi de dépasser l'interprétation univoque et convenue, à savoir que la crise interminable que connaît l'Église, n'est pas la conséquence d'une dérive d'interprétation, comme a tenté de l'expliquer Benoît XVI, mais d'une dérive inhérente au concile lui-même. « Pour Benoît XVI, comme pour le courant conservateur, le concile est bon, ce sont ses applications qui ont dérivé. Alors qu'une herméneutique de la continuité devrait être entendue comme un processus de confrontation de tous les textes conciliaires à la Tradition. Là est la seule épreuve de vérité qui permettrait de sortir de l'impasse conciliaire (...) Là est tout l'intérêt du livre de R. de Mattei qui, s'appuyant sur les meilleures sources, sur les auteurs les plus sûrs, offre une présentation à la fois très riche et didactique de cette notion capitale dont il définit les contours et présente la substance avec une grande clarté. Il est vrai que le rapport entre l'ouvrage et la Tradition n'apparaît pas au premier abord, ne serait-ce que dans les intitulés des deux chapitres du livre. Il ne se distingue d'abord qu'en filigrane, dans l'évocation des grandes épreuves subies par l'Église au cœur desquelles, grâce à l'assistance constante du Saint-Esprit, elle surmonte et dépasse les plus grandes épreuves. Ce constat une fois posé, R. de Mattei s'attache à établir le moyen par lequel l'Esprit saint inspire à l'Église plongée dans les plus grandes tribulations cette regula fidei, cette règle de foi qui la tient constamment dans cet état de maîtresse de vérité : la Tradition. « [La Tradition, ndlr] est trop forte, trop exigeante, pour que les forces de l'Église « postconciliaire », encore trop puissantes au sein de l'Église, consentent à cette restauration qu'elles ne peuvent concevoir que comme un reniement. « Il nous incombe donc, à nous tous, soldats fidèles (du moins on l'espère) de l'Église militante, à poursuivre le combat sans désemparer, en continuant à brandir l'étendard de cette Tradition dont Roberto de Mattei, dans son beau livre, a magnifiquement exalté l'indéfectible, l'éclatante et vivifiante lumière. » Jean-Baptiste Geffroy, dans Lecture et Tradition (nouvelle série) n° 51-52 (juillet-août 2015)
Les avis clients
Information .
5/5 " Chiré "
Contrairement à notre règle habituelle ici : ne pas supprimer ni intervenir sur les messages, nous avons désactivé 4 textes, 3 signés " petit mouton " et un signé " veilleur " .Le thème général de ces messages qui venaient de la même personne , était de critiquer la T.F.P. brésilienne avec une argumentation intéressante à lire mais hors sujet ; notre auteur M.de Mattei aurait des liens avec la T.F.P. et alors ? son livre peut être très bien et utile . Les textes supprimés cherchaient à faire l'histoire critique de cette T.F.P. ... Notre site a pour but de proposer des livres, il est totalement exclu qu'il devienne un forum autour des querelles qui divisent nos amis ; notre politique reste d'accepter des débats d'idées mais pas la multiplication des règlements de compte faisant du voisin l'ennemi principal. Que notre correspondant , que nous croyons bien connaître, réserve le temps dont il dispose à bien faire son devoir d'état ou à écrire de bonnes présentations de livres, ce serait beaucoup plus utile !
Apologie de la Tradition
5/5 Introibo n 172 avril mai juin 2016 p 11
Ce dernier ouvrage de Roberto de Mattei conforte notre Foi, entretient la petite flamme de l'Espérance et encourage tout fidèle de l'Eglise militante à combattre avec charité sous la bannière de la Tradition. Dans une première partie, l'historien relate avec réalisme et objectivité les crises que l'Eglise a connues au cours des siècles, rappelant avec St Pierre Chrysologue et bien d'autres, que la barque de Pierre « est secouée, mais jamais coulée ». Elle a reçu les promesses de la vie éternelle et l'Esprit-Saint ne cessera jamais de l'assister, quand bien même il ne resterait qu'un petit troupeau à transmettre le flambeau. La seconde partie expose avec rigueur et clarté les différents critères qui permettent à chacun de rester sur le chemin de la Vérité, ou de le retrouver, surtout à notre époque troublée qui connaît une crise sans précédent. La règle suprême est la Tradition, fondée sur le témoignage et l'enseignement des Apôtres, enseignement qu'ils ont reçu de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Roberto de Mattei conclut en appelant de tous ses voeux un Souverain Pontife, qui, seul, pourra mettre fin à la confusion actuelle et au processus d'auto-démolition en cours par une nouvelle Professio fidei et la condamnation des erreurs répandues. <p align="right"><a href= http://www.introibo.fr//target=_blank>www.introibo.fr</a>
Satisfaction !
5/5 Lectures Françaises .
.----. Un de nos proches correspondants nous a exprimé sa satisfaction de " voir que vous honorez comme il se doit le professeur de Mattei " en ayant publié aux Editions de Chiré son dernier livre, Apologie de la Tradition ( et l'ayant invité à venir prononcer une conférence aux dernières Journées Chouannes pour le présenter au public ). Nous signalons que, dans le dernier catalogue de DPF, l'ouvrage est présenté comme étant en première place des meilleures ventes ( pour les cinq derniers mois ) de notre librairie. Notre lecteur, M. Paul Durand, précise, en complément, qu'il est " certainement l'un des tout premiers à avoir traduit cet auteur en français, pour la revue de Maurice Bardèche, " Défense de l'Occident " ( n° 166, juin 1979 ). L'article s'intitulait NOTES SUR CARL SCHMITT, retitré par M. Bardèche " La pensée de Carl Schmitt ". Il avait été publié en Italien, dans la revue " Intervento " ( n°35, janvier/février 1979 ). [ note publiée dans " Lectures Françaises " n° 705, janvier 2016 ].
Vatican II dans la continuité de la tradition ?
5/5 Enquête et Débat
Dès la première page le ton est donné ; il est dramatique mais il est juste. Benoit XVI le 20 décembre 2010 dans son discours à la curie romaine, comparait notre époque avec celle qui, au Vème siècle, vit s’effondrer l’Empire romain. Mais la différence fondamentale entre les deux périodes de l’histoire, c’est que dans la première période ce fut l’Eglise qui servit de bouée de sauvetage et de rempart pour la civilisation contre la barbarie. Aujourd’hui, elle en serait incapable, selon notre auteur, car elle a été perturbée par le concile Vatican II, qui lui a fait perdre ses repères, ainsi que par les prises de positions actuelles d’autorité ecclésiastiques « éminentes », sur l’accueil que l’on doit réserver aux migrant-s, comme si cela était un impératif catégorique. Sur ce, il y aurait beaucoup de choses à dire concernant l’autorité du pape ou d’un concile. Ce livre est en fait une réponse à cette interrogation à travers une analyse synthétique et très lisible de son histoire tumultueuse. Résumer l’histoire de l’Eglise en 166 pages, bien aérées, reparties en 22 chapitres lisibles, clairs, sérieux et scientifiques, à travers une problématique bien définie, c’est cela le défi relevé par Robert de Mattei. On y apprend beaucoup, en particulier sur le rôle des laïcs que Vatican II a fait mine de découvrir. Sainte Catherine de Sienne qui rappelait à l’ordre les évêques d’Avignon affiliés au Roi de France et Ste Jeanne d’Arc brûlée vive sur ordre d’une assemblée d’évêques et de curés, sont là pour nous rappeler qu’en temps de trouble, ce sont les laïcs, et parmi ceux-ci les femmes, qui prennent la main, si j’ose dire, en parlant de ces glorieuses vierges. Roberto de Mattei s’inspire d’un théologien du XVIème siècle, Melchor Cano, dans son célèbre ouvrage De locis theologicus, les « lieux propres de la théologie » c’est-à-dire le « domicile de tous les arguments théologiques ou les théologiens puissent puiser toutes leurs argumentations » dont voici la liste: « Le premier lieu est l’autorité de l’Ecriture sainte. Le deuxième est l’autorité des Traditions procédant du Christ et des apôtres qui sont arrivées jusqu’à nous de bouche à oreille. Le troisième est l’autorité de l’Eglise catholique. Le quatrième est l’autorité des conciles. Le cinquième est l’autorité de l’Eglise romaine qui par privilège s’appelle apostolique. Le sixième est l’autorité des pères de l’Eglise. Le septième est l’autorité des théologiens scolastiques. Le huitième est la raison naturelle. Le neuvième est l’autorité des philosophes qui suivent comme guide la nature. Le dixième et ultime est l’autorité de l’histoire humaine aussi bien celle écrite que celle transmise de générations en générations de manière sérieuse et cohérente ». On voit bien que la Tradition ne se limite en rien à l’autorité du Magistère, qui n’apparait même pas dans cette liste très ouverte. En effet, la notion le mot de « Magistère » n’apparaît dans le dictionnaire catholique qu’au milieu du XX éme siècle ! Bien plus riche que la « Sola Sciptura », cette liste fait la part belle aux écritures, comme à la raison humaine, ainsi qu’à la transmission orale. En effet, en attendant que les écritures du nouveau Testament soient écrites et validées comme canoniques, l’Eglise a vécu durant des dizaines d’années, voire plus, en s’appuyant sur la prière à la synagogue, jusqu’à ce qu’Elle en soit exclue, à la fin du I er siècle. Il est à noter que durant trois siècles, la sainte Eglise a été l’objet d’attaques tant par ses anciens coreligionnaire juifs, qui lui reprochaient de trahir la loi et la promesse alors même qu’Elle l’accomplissait, que par les empereurs qui l’accusaient d’être responsable de tous les maux de l’Empire. Durant toute cette période, la liturgie a été transmise de façon orale, car l’Eglise était interdite de cité. Or, la liturgie est la réitération de la cène du Christ et de sa mort sur la Croix, comme de sa résurrection, c’est-à-dire l’acte humain le plus important de la planète puisqu’il est l’accomplissement du salut de l’humanité. Il est à noter qu’au milieu du IVème siècle, les papes pactisèrent avec l’hérésie arienne, qui entacha gravement toute la sainte Eglise, à l’exception de st Athanase d’Alexandrie, st Hilaire de Poitiers, d’Eusèbe de Verceuil et de quelques autres. Malgré cela, le précepte de st Ambroise « là où est Pierre, là est l’Eglise » s’applique, car il ne concerne pas la personne du pape, qui peut errer, mais l’Institution à laquelle le Christ a promis « les paroles de la vie éternelle et contre laquelle les forces de l’enfer ne prévaudront pas ». Le critère de la vérité catholique a été proposé par st Vincent de Lerins : « quod ubique quod semper quod ad omnibus » c’est-à-dire ce qui a toujours été cru, transmis partout, toujours et par tous. C’est un pur critère de Tradition. Adrien VI fut un grand pape et il entreprit une belle reforme catholique contre les dérives des papes « humanistes » italiens. Deux choses lui tenaient à cœur ; l’union des princes chrétiens contre les Turcs et la réforme de la curie romaine (déjà !). Hélas, son règne ne dura que deux ans entre 1522 et 1523. Voici ce qu’il fit lire en son nom par son légat à la Diète de Worms le 3 janvier 1523, après avoir réfuté l’hérésie luthérienne ; « Nous confessons ouvertement que Dieu permet que se produise cette persécution de son Eglise à cause des péchés des hommes et en particulier des prêtres et des prélats. La sainte écriture enseigne clairement que les péchés du peuple ont leur origine dans les péchés du clergé ». 500 ans avant la repentance de Jean Paul II, l’Eglise est déjà capable de reconnaître le péché de ses prêtres. Et Elle n’a pas besoin de Luther pour se réformer. L’unité de l’Eglise s’est refaite le temps d’un Concile à Florence en 1438 autour d’Eugène IV, entre l’empereur Jean VIII Paléologue et le patriarche de Constantinople Joseph II ; le concile ratifia solennellement le rattachement à Rome de l’Eglise d’Orient et proclama que « le saint siège apostolique et le pontife romain détiennent le primat sur tout l’univers » et que c’est à lui « qu’a été transmis par Notre Seigneur Jésus Christ, dans le bienheureux Pierre, le pouvoir plénier de paitre de diriger et de gouverner l’Eglise universelle ». C’est en effet la volonté du Christ. Telle que nous l’enseignent les saintes écritures. Parmi les choses très paradoxales de la papauté, il y a aussi le fait qu’elle ait dissous les deux ordres qui avaient fait un vœu spécial d’obéissance au pape, à savoir les Templiers et les Jésuites. Ce livre est en réalité une extraordinaire réflexion sur toute l’histoire de l’Eglise ; il propose une réflexion unique sur l’articulation entre magistère, concile, papauté, infaillibilité, le tout sous le regard de la Tradition, seul juge de paix. Roberto de Mattei interprète ainsi la démission de Benoit XVI comme la prise en compte de la défaite de la Tradition, i.e. « l’herméneutique de la continuité », contre le concile du cardinal Kasper, dont la praxis pastorale annonce la liquidation de la morale catholique. Pour conclure je propose cet extrait de st Irénée qui écrit sur saint Polycarpe : « Non seulement il fut disciple des apôtres et vécut avec beaucoup de gens qui avaient vu le Seigneur, mais c’est encore par des apôtres qu’il fut établi pour l’Asie, comme évêque dans l’Eglise de Smyrne. Nous même l’avons vu dans notre prime jeunesse »…. « Or, il enseigna toujours la doctrine qu’il avait apprise des apôtres, doctrine qui est aussi celle que l’Eglise transmet et qui est seule vraie. C’est ce dont témoignent les églises d’Asie et ceux qui jusqu’à ce jour ont succédé à Polycarpe. » C’est cela la sainte Eglise catholique : conserver et transmettre le dépôt de la foi. La question posée est de savoir si Vatican II tel qu’il est lu aujourd’hui, s’inscrit dans cette continuité. <p align="right">L.-M. de Woillemont <a href= http://www.enquete-debat.fr/ target=_blank>www.enquete-debat.fr</a>
Enfin, j'ai trouvé moi-même la réponse !
5/5 Jean Saumur 49.
Information relevée sur ce site : Conférence sur le livre de Roberto de Mattei à Avrillé « Apologie de la Tradition » Brève conférence : Dimanche 30 août 2015 Après la messe de 10h (de 11h40 à 12h15) Que faut-il penser du livre de Roberto de Mattei Apologie de la Tradition, très en vogue dans les milieux traditionalistes, mais non sans dangers ? Salle Notre-Dame des Anges, entrée libre. ( Très bien mais je ne suis pas certain d'être touché par leurs arguments ! un de leurs proches est en désaccord complet ! ) Je donne toujours 5 étoiles .
Un bonheur ...
5/5 Anne Brassié sur son blog
.----. Apologie de la Tradition . Roberto de Mattei. Editions de Chiré. L’auteur est un historien romain dont les livres ,notamment " Vatican II , une histoire à écrire " et les agences d’information qu ‘il a créé, sont infiniment éclairantes. Pour lui, la fidélité à la Tradition « n’est autre que la fidélité à la Vérité délivrée par le Christ à son église en ces termes : « Le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront pas. » Adapter le message de l’église à la modernité est donc une entreprise vouée à l’échec. Ce livre est un bonheur pour l’esprit et l’âme. [ Conseils de lecture pour le début d'été 2015 ]
Ma réponse .
5/5 Hervé J. Volto
.----. Roberto de Mattei (Rome, 21 Fevrier 1948) est un historien italien d’origine Noble, fils du Baron Rafaelle di Mattei. Ses études portent principalement sur l’histoire européenne entre le XVI° siècle et le XX° siècle, avec un regard particulier sur l’histoire des idées religieuses et politiques. Catholique de tradition, de Mattei est connu pour ses postions Contrerévolutionnaires, publicisées aussi dans des milieux institutionnels -Il a été conseiller des gouvernements II et III de Sylvio Berlusconi pour les affaires internationales- pour ses livres sur l’apologie de la Tradition, sur les tares de Vatican II, sur Charles Maurras, et pour sa critique du relativisme et des lignes de pensée de l’Église Catholique depuis le funeste Concile. Il s’est lancée dans la dénonciation de l’actuelle persécution des Franciscains de l’Immaculé, de la part de la maçonnerie ecclésiastique sévissant au Vatican jugeant cette petite congrégation régulière jugée trop Tradi, “l’Église étant actuellement occupée par des hommes d’église ayant perdu la Foi”. On commence à comprendre que la “démission” du pape Benoit XVI est due au fait qu’il n’y a plus un Charlemagne moderne pour faire une descente à Rome le sauver… [ Hervé J. VOLTO, CJA, Président honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie ]
Notre texte repris par " La charte de fontevrault ""
5/5 Notre " vient de paraître "
.----. " Dans son discours à la Curie romaine du 20 décembre 2010, Benoît XVI a comparé la crise de notre temps avec celle qui, au Ve siècle, vit décliner et s'écrouler l'Empire romain. Les similitudes entre ces deux époques sont réelles : si l'Empire romain s'effondra à cause des invasions barbares, mais encore plus en raison de sa décomposition interne, notre civilisation est elle aussi, aujourd'hui, soumise à une pression externe de plus en plus importante alors qu'elle subit parallèlement, en son propre sein, une déliquescence culturelle et morale. Il existe cependant une différence fondamentale entre la décrépitude de la société romaine et celle de l'Occident contemporain. Dans l'obscurité des invasions barbares, entre le Ve et le VIe siècle, lorsque les institutions politiques et sociales s'effondraient, l'Église catholique demeurait l'unique facteur d'ordre et de stabilité au sein d'un chaos généralisé. Les noms de saint Léon et de saint Grégoire, papes auxquels l'Église attribua le qualificatif de « Grand », nous rappellent le rôle décisif que joua l'institution pontificale au cours de ces épisodes " .
Excuses .
5/5 Jean Saumur 49
Revenant sur votre site pour voir si vous m'aviez répondu, je constate ma grosse erreur : je n'ai vu que la mention " A paraître " et je suis allé trop vite, la date de parution figure bien sur la fiche ! Mon âge ? Je retiens ce livre par commande séparée .
C'est pour quand ?
5/5 Jean Saumur 49
Vous signalez " A paraitre " mais c'est pour quand ? : Demain ? Après-demain , dans un mois, trois mois , 6 mois , un an .... ? Donnez au moins une date approximative ...