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Encycliques de combat

Référence : 85880
1 avis
Date de parution : 28 février 2024
EAN 13 : 0000008588098
Nb de pages : 910
38.00
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Description

L'Église s'est toujours présentée au monde comme la gardienne des vérités révélées par Dieu. Sa constance à affirmer le vrai, contre vents et marées, lui assure le privilège d'être toujours et partout persécutée pour sa foi, marque nécessaire de sa véracité et de sa filiation divine : "Comme ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi." Jn 15, 20). Ainsi se justifie le titre de ce recueil : Encycliques de combat. Parce que la parole de l'Église est éternelle, ses enseignements passés, trop souvent méconnus ou dénigrés, restent une lumière pour aujourd'hui. Des problématiques sociales et politiques aux interrogations du monde moderne sur une entente entre foi et raison, la réponse de l'Église est à redécouvrir dans ce recueil, plus que jamais d'actualité. Chaque encyclique est assortie d'une présentation et de nombreuses notes explicatives, ce qui fait de cet ouvrage un guide sûr pour accéder en toute vérité au trésor de l'enseignement de l'Église.
Encycliques classées par thèmes :
La Révélation : Providentissimus Deus (Léon XlII) - La raison et la foi : Aeterni Patris (Léon XlII) - Jésus-Christ et l'Église : Mystici Corporis (Pie XII) - La prière de l'Église : Mediator Dei (Pie XII) - L'apostolat des laïcs : Il fermo praposito (Pie X), Singulari Quadam Unitate (Pie X), Notre charge apostolique (Pie X) - Le Christ-Roi : Quas Primas (Pie XI) - Le libéralisme : Libertas praestantissimus (Léon XIII) - La société économique : Vix pervenit (Benoît XIV) - La doctrine sociale : Rerum novarum (Léon XIII) - Quadragessimo Anno (Pie XI) - L'oecuménisme : Mortalium Animos (Pie XI) - Les libertés modernes : Quanta Cura (Pie IX), Syllabus (Pie IX) - La crise moderniste : Pascendi Domini Gregis (Pie X) - Le néomodernisme : Humani Generis (Pie XII) - Condamnations du nazisme et du communisme : Mit Brenneder Sorge, Divini Redemptoris - Condamnation des sectes maçonniques : Humanum Genus (Léon XIII).

TitreEncycliques de combat
Auteur PORTAIL (Abbé Nicolas)
ÉditeurSAVOIR ET SERVIR - MJCF (EDITIONS)
Date de parution28 février 2024
Nb de pages910
EAN 130000008588098
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)31
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.78
Critique du libraire

Mail de l'éditeur du 18.12.2020 : "Malheureusement je ne peux pas vous donner de réponse concrète. Les différents aléas de la politique sanitaire actuelle nous force à nous adapter constamment, et cette perpétuelle improvisation nous empêche de travailler sur la réédition des encycliques de combat. Je me ferai un plaisir de vous annoncer la sortie de ce livre, chose qui malheureusement ne pourra se faire avant sans doute un an. J'espère que vous comprendrez, et je m'excuse de la gêne que cela peut occasionner."

Mail de l'éditeur du 26.10.2021 : "Nous travaillons dessus, c'est juste que nous reprenons certains éléments pour les améliorer. Désolé de l'attente, nous faisons ce que nous pouvons."

Les avis clients
Sur Quas Primas.
5/5 L.I.E.S.I.
.----. Le Christ Roi et « le mot du cardinal Pie » Dans son encyclique Quas primas du 11 décembre 1925, le pape Pie XI rappelait que si le Divin Sauveur règne aux cieux, il doit aussi régner sur la terre. Partout où est l’homme, le Christ doit régner par sa loi. Dans tous les domaines, qu’il s’agisse de religion, de philosophie, de politique, de justice, d’éducation, d’art, de littérature, de recherche scientifique, etc., le Divin Sauveur jouit de cette prérogative qui lui appartient en propre en tant qu’homme-Dieu. . ****** . La Sainte Ecriture abonde en témoignage de cette royauté du Christ dont notre monde moderne veut s’affranchir. Qu’il s’agisse de l’Ancien Testament avec les psaumes ou les prophètes, qu’il s’agisse du Nouveau Testament avec les paroles de l’archange Gabriel à Marie ou les affirmations sans équivoque du Christ à ses apôtres, on ne peut nier que la royauté de Jésus-Christ soit fermement établie dans le dépôt révélé à moins de nier l’historicité et l’authenticité de la Sainte Ecriture. . ***** . La royauté de Jésus Christ comporte le triple pouvoir législatif, judiciaire et exécutif. C’est-à-dire qu’en vertu du sceptre divin qu’il détient, le Christ peut nous imposer sa loi, sa justice et nous contraindre à lui obéir. Bien que Jésus-Christ ait tout pouvoir, même dans le domaine civil, il laisse à César ce qui lui revient, ce qui veut dire qu’il abandonne aux hommes ses prérogatives régales, se réservant de juger ceux qui auront tenu le sceptre à sa place. La constitution française s’accommode de toutes les religions et leur donne une égale protection. C’est là une insulte publique à Celui qui est « la Voie, la Vérité et la Vie ». Le cardinal Pie (1815-1880), évêque de Poitiers s’en était ouvert à Napoléon III lors de l’audience du 15 mars 1859. Voici un extrait de l’entretien : — Sire, ni la Restauration, ni vous n’avez fait pour Dieu ce qu’il fallait faire parce que, ni l’un ni l’autre, vous n’avez relevé son trône ; parce que, ni l’un ni l’autre, vous n’avez renié les principes de la Révolution dont vous combattez cependant les conséquences pratiques ; parce que l’évangile social dont s’inspire l’Etat est encore la déclaration des droits de l’homme, laquelle n’est rien d’autre chose, Sire, que la négation formelle des droits de Dieu. Or, c’est le droit de Dieu de commander aux Etats comme aux individus. Ce n’est pas pour autre chose que Notre-Seigneur est venu sur la terre. Il doit y régner en inspirant les lois, en sanctifiant les mœurs, en éclairant l’enseignement, en dirigeant les conseils, en réglant les actions des gouvernements comme des gouvernés. Partout où Jésus-Christ n’exerce pas ce règne, il y a désordre et décadence. Or, j’ai le droit de vous dire qu’il ne règne pas parmi nous et que notre Constitution n’est pas, et loin de là, celle d’un Etat chrétien et catholique. Notre droit public établit bien que la religion catholique est celle de la majorité des français ; mais il ajoute que les autres cultes ont droit à une égale protection. N’est-ce pas proclamer que la Constitution protège pareillement l’erreur et la Vérité ? Eh bien, savez-vous, Sire, ce que Jésus-Christ répond aux gouvernements qui se rendent coupables d’une telle contradiction ? Jésus-Christ, Roi du ciel et de la terre leur répond : « Et moi aussi, gouvernements qui vous succédez en vous renversant les uns les autres, moi aussi je vous accorde une égale protection. J’ai accordé cette protection à l’empereur, votre oncle; j’ai accordé la même protection aux Bourbons, la même protection à Louis Philippe, la même protection à la République et à vous aussi, la même protection vous sera accordée ». » L’empereur Napoléon III arrêta l’évêque de Poitiers : « Mais encore, croyez-vous (…) que le moment soit venu d’établir ce règne exclusivement religieux que vous me demandez ? » — « Sire, quand de grands politiques comme Votre Majesté m’objectent que le moment n’est pas venu, je n’ai qu’à m’incliner parce que je ne suis pas un grand politique. Mais je suis évêque, et comme évêque, je leur réponds : le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner ! Eh bien alors, le moment n’est pas venu pour les gouvernements de durer ! » Le grand cardinal français, successeur des Apôtres et de St Hilaire sur la chaire de Poitiers, fut un homme d’une clairvoyance extraordinaire. [ Publié le 3 avril 2015 dans L.I.E.S.I. ]