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La désinformation autour de l´immigration

Référence : 72125
2 avis
Date de parution : 5 juillet 2012
Collection : L'ETOILE DU BERGER
EAN 13 : 9782357910454
Nb de pages : 226
22.00
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Description
La première édition de La désinformation autour de l'immigration, parue en 2009, a déjà connu - compte tenu de son succès - cinq rééditions depuis cette date ! Depuis, la situation décrite et analysée dans cet ouvrage n'a fait que s'aggraver.
D'où cette nouvelle édition largement complétée, augmentée, actualisée. Dans la première édition, Arnaud Raffard de Brienne, ne souhaitant pas pécher contre l'espérance, se demandait si, face à cette menaçante subversion migratoire, la France pourrait trouver une réponse. La vérité oblige à dire que nous en sommes encore loin.
Préfacier de cette nouvelle édition, Pierre Milloz, à qui rien de ce dramatique sujet n'est étranger, veut lui aussi ne pas désespérer : "Si l'on s'en tient à une froide analyse de la situation présente, on n'est certes pas porté à l'optimisme. Pourtant, le sentiment national, l'attachement à la patrie sont si répandus, si étroitement liés à la nature humaine qu'il faut croire qu'ils retrouveront leur force en France et susciteront un sursaut des Français."
Acceptons-en l'augure. N'empêche... En 2009, Arnaud Raffard de Brienne nous disait l'urgence de la situation. Aujourd'hui, il ne cache pas - et il démontre - qu'il est minuit passé Docteur Schweitzer.
TitreLa désinformation autour de l´immigration
Auteur RAFFARD DE BRIENNE (Arnaud)
ÉditeurATELIER FOL'FER (EDITIONS)
Date de parution5 juillet 2012
Nb de pages226
CollectionL'ETOILE DU BERGER
EAN 139782357910454
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)16
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.28
Critique du libraire
Nouvelle édition augmentée et actualisée. Préface de Pierre Milloz.
Les avis clients
Désespérer ?
5/5 Mémoires d’Empire
.----. La première édition de La désinformation autour de l’immigration, parue en 2009, a déjà connu – compte tenu de son succès – cinq rééditions depuis cette date ! Depuis, la situation décrite et analysée dans cet ouvrage n’a fait que s’aggraver. D’où cette nouvelle édition larg ement complétée. augmentée et actualisée. Dans la première édition Arnaud Raffard de Brienne, ne souhaitant pas pécher contre l’espérance, se demandait si, face à cette menaçante subversion migratoire, la France pourrait trouver une réponse. La vérité oblige à dire que nous en sommes encore loin. Préfacier de cette nouvelle édition. Pierre Milloz, à qui rien de ce dramatique sujet n’est étranger, veut lui aussi ne pas désespérer : « Si l’on s’en tient à une froide analyse de la situation présente, on n’est pas porté à l’optimisme. Pourtant le sentiment national, l’attachement à la patrie sont si répandus, si étroitement liés à la nature humaine qu’il, faut croire qu’ils retrouveront leur force en France et susciteront un sursaut des Français. » Acceptons-en l’augure. N’empêche... En 2009, Arnaud Raffard de Brienne nous disait l’urgence de la situation. Aujourd’hui, il ne cache pas– et il démontre – qu’il est minuit passé Docteur Schweitzer [ " Mémoires d’Empire ", n° 49, oct-nov-décembre 2012 ]
Imprévoyance d’un État
5/5 La Nef .
.----. En un temps bien lointain, et beaucoup moins écrasé par le phénomène migratoire, Jean Giraudoux (dans Pleins pouvoirs, paru en 1939) s’émouvait déjà de l’imprévoyance d’un État qui favorisait « l’irruption et l’installation en France de races primitives ou imperméables, dont les civilisations, par leur médiocrité ou leur caractère exclusif, ne peuvent donner que des amalgames lamentables et rabaisser le standard de vie et la valeur technique de la classe ouvrière française ». Ou encore Georges Duhamel, se demandant avec angoisse (dans Biographie de mes fantômes, paru en 1944), face à un accueil d’étrangers trop large à son gré, « jusqu’à quelles proportions on peut aller dans l’alliage sans altérer et compromettre les propriétés du métal ». Mais, aujourd’hui, l’installation est en train de devenir submersion, l’altération redoutée est en train d’aboutir à l’extinction, chez nos compatriotes, du sentiment naturel d’appartenance à la nation. Bref, nous sommes passés, au cours des derniers trente-cinq ans, constate Arnaud Raffard de Brienne, « d’une migration de travail, assez classique, à une migration de peuplement sciemment voulue et organisée ». À une migration de peuplement mille fois plus lourde que celle jadis dénoncée par Giraudoux. Pourquoi cela ? Parce qu’ainsi le réclame l’esprit cosmopolite d’indifférenciation universelle auquel sacrifient dorénavant les gouvernants, esprit opposé à la défense d’une spécificité et d’une identité françaises estimée immorale et discriminatoire. Parce que la « boulimie xénophile » de l’oligarchie en place, perverse, maladive, jamais ne s’est relâchée et, qu’ayant jour après jour gâté ou intimidé l’opinion publique, réduit au silence (à coups de lois liberticides et de décisions de justice) ses contradicteurs, elle s’arrange pour donner (en douce !) la priorité à l’allogène et, dans l’emploi, le logement… ou les grandes écoles, mettre la personne « issue des minorités visibles » devant le Français de souche. Dès lors, nul doute, nulle ambiguïté ou malentendu, et Arnaud Raffard de Brienne a raison de dire : « La clique censée nous représenter ne rêve que de notre disparition… » Plein de probants et solides arguments, empreint d’un légitime courroux contre des élites dévoyées, courroux qui frôle d’instinct la crainte (exprimée çà et là) de l’irréparable et de l’irréversible, ce livre intrépide se présente comme une nouvelle édition augmentée et actualisée de celui paru sous le même titre en 2009. Il ne changera rien ? Il mérite en tout cas d’être connu. [ Signé : Michel Toda dans " La Nef " , n° 243, décembre 2012 ]