Cet opuscule a été composé par F. Trocase en 1899 ; le mérite du vicomte, homme de grand jugement, est de l'avoir exhumé, réédité, offert au public ; remercions-le. C'est une invite à lire les œuvres plus étendues de Nesta Webster (La révolution mondiale, complot contre la Civilisation, 1921*), de Wickham Steed (La monarchie des Habsbourg, 1919), évidemment classés comme nazis, fascistes et dérangés, par les spécialistes de la calomnie, du mensonge, du pharisaïsme : les simiae Dei, comme disait le pape Saint Léon le Grand. Mais, attention ! ce n'est ni un pamphlet, ni un libelle, c'est un cri de chagrin et d'horreur qui prolonge en quelque sorte celui du Crucifié cloué jadis au calvaire. On ne sait quel passage de F. Tocase on devrait spécialement citer ; tout est, pour ainsi dire, divinatoire. Au-delà du destin de la malheureuse Autriche, c'est à celui de la France, de l'Europe, et de la civilisation qu'il faut songer.
"La presse autrichienne est entre des mains juives ; elle a tout vendu, tout mis à prix : hommes politiques ou danseuses de cafés-concerts, nul ne peut montrer des dons s'il n'en a reçu permission de la caste. La caste seule est juge, il faut passer sous ses fourches caudines (p. 56)."
"Entre 1848, date de l'émancipation, comme on dit, et 1899, tout a été accaparé ; les Autrichiens ne possèdent plus rien que le droit d'être gouvernés par des étrangers (p. 44)."
"La stratégie a été la suivante : 1) La Presse, aux mains des Juifs, a commencé par railler, dénigrer, calomnier la religion catholique ; 2) Les Juifs maîtrisent toute l'activité sociale en dominant les hauts emplois ; 3) Ils ont ensuite accaparé ce qui est commerce et industrie ; 4) "Rotschild possède à lui seul le quart de la propriété foncière ; c'est
sept fois autant que la famille impériale" ; 5) Les Juifs dirigent l'enseignement, l'opinion et ils sont maîtres de la police."
"Le plus grand malheur qui puisse arriver à un État est sans contredit de voir la justice du pays se mêler à la politique et se mettre en quelque sorte à sa remorque (p. 7 & 8)."
*Editions Saint-Remi, nov. 2005.
Présentation et commentaire du volume composé par F. Tocase en 1899. Réimpression de l'édition de 1942. Contient L´Autriche juive de Trocase
- ISBN : 9782845194892
- Titre : Israël, destructeur d´empires
- Auteur : PONCINS (Léon de)
- Editeur : SAINT REMI (EDITIONS) ESR
- Nb Pages : 126
- Epaisseur : 8
- Largeur : 145
- Hauteur : 205
- Poids : 0.17Kg
Léon de PONCINS (1897-1976)
Exploitant agricole, né à Civens (Loire) le 3 novembre 1897. Spécialisé dans l'étude des mouvements révolutionnaires contemporains, et convaincu de l'influence des sociétés secrètes sur les grands bouleversements politiques et sociaux. L. de PONCINS a consacré à ce problème plusieurs ouvrages qui eurent un certain retentissement à l'étranger où ils furent traduits dans plusieurs pays (Grande-Bretagne, Allemagne, Portugal, Espagne, Italie, Hongrie, Bulgarie, U.S.A., Brésil). Le premier parut en 1928 sous le titre Les forces secrètes de la Révolution. Vinrent ensuite une quinzaine de livres dont les plus récents Christianisme et Franc-Maçonnerie (1ère édition en 1969, 2e édition en 1975, 3e édition en 2011), La Franc-Maçonnerie d'après ses documents secrets (4e édition en 1972, 5e édition en 1975, 6e édition en 2014), Top Secret, secrets d'état anglo-américains
(lère édition en 1972) et Histoire du Communisme (2e édition en 1973). Dans l'entre-deux guerres, L. de PONCINS dirigea une revue internationale Contre-Révolution (1937-1939) et collabora à divers journaux : Le Jour, Le Figaro, L'Ami du Peuple, Le Nouvelliste de Lyon, etc., ainsi qu'à des revues françaises et étrangères. Les documents publiés dans ses livres et ses articles ont suscité des interpellations parlementaires en Roumanie et en Suisse, et furent à l'origine de mesures d'ordre public prises au Portugal. En octobre 1965, L. de PONCINS intervint personnellement au Concile au sujet du fameux vote sur la question juive. Il fit paraître sous sa signature une brochure dont les exemplaires, imprimés en français et en italien, furent distribués à Rome même, aux Pères conciliaires.
(Extrait du Dictionnaire de la politique française, tome II - Henry COSTON)
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