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Le ver rongeur des sociétés modernes ou le Paganisme dans l´éducation

Référence : 35938
Date de parution : 1 janvier 2023
EAN 13 : 9782845190702
Nb de pages : 320
25.00
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Description
Sommaire :
Position du problème - Etude du problème - Solution du problème - Réponse à la première objection - Histoire des livres classiques : première époque - Seconde époque - Troisième époque - Réponse à la seconde objection - Témoignage des hommes - Témoignage des faits - Influence du paganisme classique sur la littérature - Influence du paganisme classique sur le langage - Influence du paganisme classique sur les arts - Influence du paganisme classique sur la philosophie - Influence du paganisme classique sur les sciences - Influence du paganisme classique sur la religion - Influence du paganisme classique sur la famille - Influence du paganisme classique sur la société - Nécessité des classiques chrétiens. Réponse aux objections - Plan d'une bibliothèque classique chrétienne - Avantages particuliers de cette bibliothèque.
Mgr Jean-Joseph Gaume fut le neuvième enfant d'une famille patriarcale de cultivateurs qui, aux plus mauvais jours de la Révolution, avait donné asile aux prêtres persécutés. Il naquit à Fuans (Doubs), le 5 juin 1802. Il fit ses études littéraires au petit séminaire d'Ornans et sa théologie au grand séminaire de Besançon sous la direction de l'abbé Busson, son cousin, dont le père avait été condamné à la guillotine par le tribunal révolutionnaire de Maiche, le 14 octobre 1793. Ordonné prêtre en 1825, il fut deux ans vicaire à Vesoul. Sur l'indication de l'abbé Gerbet, Mgr Millaux, évêque de Nevers, le demanda, en 1827, pour professer le dogme dans son grand séminaire et il le nomma chanoine honoraire. L'abbé Gaume n'occupa la chaire de dogme que durant l'année scolaire 1827-1828. En 1828, il devint supérieur du petit séminaire de Nevers et il réorganisa avec succès cette maison sous le triple rapport de la piété, de la science et de la discipline. En 1829, tout en gardant cette charge, il fut chanoine titulaire de la cathédrale. Le gouvernement français exigea, en 1831, des supérieurs des maisons d'éducation qui ne faisaient pas partie d'une congrégation approuvée, le serment imposé par les ordonnances du 11 juin 1828. Quoique prêtre séculier, l'abbé Gaume refusa une déclaration que le pouvoir civil n'avait pas le droit de lui demander, et il quitta le petit séminaire. Il dirigea dès lors le catéchisme de persévérance des jeunes filles de toute la ville, oeuvre dont il fut chargé pendant vingt ans. Il initiait ses élèves, dont le nombre dépassait 300, à la pratique des bonnes oeuvres, et il était lui-même président de l'oeuvre Saint-François-Xavier pour les ouvriers et directeur de la conférence de Saint Vincent de Paul. Au cours d'un voyage à Rome en 1842, il reçut du pape Grégoire XVI, la croix de l'ordre de Saint Sylvestre en récompense de son dévouement et des services qu'il avait rendus à la religion par ses ouvrages. Le 19 août 1843, il donna sa démission de chanoine titulaire pour être vicaire général de Mgr Dufêtre ; il eut part à l'administration diocésaine à ce titre jusqu'en 1852 ; il démissionna alors en raison de son dissentiment avec le prélat au sujet des classiques chrétiens. Il avait ouvert la controverse sur l'abandon des auteurs païens de l'antiquité et il menait campagne avec Louis Veuillot contre Mgr Dupanloup. Au mois de novembre 1852, l'évêque de Nevers adressa à son clergé une circulaire dans laquelle il prenait parti contre les idées de son vicaire général. L'abbé Gaume quitta Nevers, tout en demeurant chanoine d'honneur de la cathédrale, et se retira à Paris auprès de ses frères, qui étaient libraires-éditeurs. Le comité ecclésiastique de Pontarlier l'avait présenté au suffrage des électeurs de l'arrondissement, en 1849, pour la députation. L'université de Prague lui avait donné le titre de docteur en théologie, le 28 août 1848 ; les évêques de Reims, de Montauban et d'Aquila le nommèrent vicaire général (ce dernier, le 13 juin 1856). Le pape Pie IX l'éleva, en 1854, à la dignité de protonotaire apostolique ad instar participantium. En 1872, le préfet de la Propagande lui confia la charge de directeur général de l'Oeuvre apostolique, destinée à venir en aide aux missionnaires. Il mourut à Paris le 19 novembre 1879. Il fut, toute sa vie, un prêtre pieux et zélé, d'un caractère bon et affable, très dévoué à l'Eglise et au siège apostolique.
TitreLe ver rongeur des sociétés modernes ou le Paganisme dans l´éducation
Auteur GAUME (Mgr Jean-Joseph)
ÉditeurSAINT REMI (EDITIONS) ESR
Date de parution1 janvier 2023
Nb de pages320
EAN 139782845190702
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)24
Largeur (en mm)136
Hauteur (en mm)196
Poids (en Kg)0.50
Biographie
Critique du libraire
Rendre l´enseignement chrétien, voilà le dernier mot de la lutte...Il faut ainsi seconder les desseins manifestes de la Providence, soit en trempant comme l´acier ceux qui doivent soutenir le choc de la grande lutte vers laquelle nous nous acheminons rapidement: soit en conservant à la Religion un petit nombre de fidèles, destinés à devenir la semence d´un règne glorieux de paix et de justice, ou à perpétuer jusqu´à la fin, parmi de glorieuses épreuves, la visibilité de l´Eglise.(Catalogue Saint Rémi). Réimpression de l´édition de 1851.