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Une civilisation blessée au coeur

Référence : 19605
1 avis
Date de parution : 11 novembre 2011
Auteur : MADIRAN (Jean)
EAN 13 : 9782906972414
Nb de pages : 112
14.00
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Description
L'Europe se demande (quand elle se le demande...) jusqu'à quel point elle va être submergée par des moeurs, des religions, des musiques, des rêves venus d'ailleurs, s'imposant foncièrement ou démografiquement, sans avoir été choisis, opprimant ou effacant son être historique.
Une telle situation, les nations d'Europe l'ont héritée de la seconde moitié du XXe siècle. Elle résulte d'une méconnaissance croissante de la loi naturelle des sociétés humaines.
Cette situation, et cette loi au coeur de toute civilisation, sont l'objet du présent ouvrage.
TitreUne civilisation blessée au coeur
Auteur MADIRAN (Jean)
ÉditeurSAINTE-MADELEINE (EDITIONS)
Date de parution11 novembre 2011
Nb de pages112
EAN 139782906972414
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.12
Biographie
Jean MADIRAN (1920-2013)
Jean MADIRAN (1920-2013) Né le 14 juin 1920 à Libourne, décédé à Paris le 31 juillet 2013, Jean Arfel, alias Madiran, Lagor ou Castetis, devient disciple de Charles Maurras qu'il rencontre pour la première fois en 1942.  

Jean Madiran : l'itinéraire s'achève  

Jean Madiran est mort le 31 juillet. Le fondateur du quotidien Présent était une figure de la presse politique française. Né en 1920, Jean Arfel écrit sous son nom ses tout premiers articles dans la Revue universelle, proche de l'Action française quelques mois avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Remarqué par Charles Maurras, qui le considère très vite comme l'un de ses jeunes dauphins, ce fervent partisan de la Révolution nationale, voulue par le Maréchal Pétain, fonde après la guerre L'indépendance française, qui, entre 1946 et 1950, accueille d'anciens journalistes de l'Action française comme Pierre Varillon. Très vite, à travers un itinéraire spirituel exigeant, il devient l'un des censeurs de la politisation à gauche de l'Eglise de France, contre laquelle il écrit deux livres retentissants, Ils ne savent pas ce qu'ils font et Ils ne savent pas ce qu'ils disent (1955), qui consacreront son talent d'essayiste. En 1956, il fonde la revue Itinéraires, qui, jusqu'en 1996, sera le symbole de la résistance spirituelle des catholique au processus d'autodestruction de l'Eglise, défendant avant que quiconque y ait seulement songé, la pérennité de la liturgie traditionnelle. Dans des Editoriaux, à la rhétorique ciselée, il perpétue quelque chose de la voix grave et obsédante de Charles Péguy. Une collection Itinéraires groupe autour de la revue des contributeurs de talent, de Henri Massis aux frères Charlier et à Louis Salleron. En 1968, Jean Madiran publie L'hérésie du XXème siècle. La revue tend à devenir l'expression d'une véritable école de pensée traditionaliste catholique. C'est dans cette perspective qu'en 1982, avec Romain Marie, François Brigneau et Pierre Durand, il fonde le quotidien Présent, dont il sera le directeur de la rédaction, le directeur de la publication et jusqu'aujourd'hui le directeur émérite et chroniqueur brillant.
Proche de Mgr Lefebvre, il avait refusé d'opter en 1988 en faveur des sacres illégaux de quatre évêques, préférant la position légitimiste de son vieil ami Dom Gérard Calvet, prieur puis abbé du monastère bénédictin du Barroux. Proche du Front national et de Jean-Marie Le Pen, il n'avait pas voulu vouer aux gémonies Bruno Mégret, lors de la scission de 1998, considérant qu'un journaliste n'avait pas à prendre parti dans une affaire d'hommes. Rappelant plusieurs fois par semaine, dans Présent, les fondamentaux du combat national et catholique, il publie de nombreux livres parmi lesquels, en 2002, Une civilisation blessée au cœur, qui passe pour son testament politique et La révolution copernicienne dans l'Eglise qui est son testament spirituel. 
[ Publié le jeudi 1 août 2013 par Minute ]    
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Critique du libraire
Petit traité de philosophie politique catholique, cet ouvrage, en prenant pour premier argument l´immigration, nous démontre qu´en oubliant la loi naturelle, et la catholicité c´est à l´individualisme d´état qu´elle laisse place. Tout l´avenir de la civilisation occidentale est exposé et scrupuleusement analysé.
Prix Renaissance 2012.
Les avis clients
UN PRIX
5/5 JEAN SAUMUR 49
Le CERCLE RENAISSANCE (138 rue de Tocqueville 75017 Paris) vient de donner son Prix 2012 à JEAN MADIRAN pour ce livre. Il y aura un grand dîner le 8 février, mais c'est beaucoup trop cher pour ma bourse !!!