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ES 1025 ou les mémoires d´un anti-apôtre

Référence : 18155
13 avis
Date de parution : 15 mars 2018
Auteur : CARRE (Marie)
EAN 13 : 9782851902351
Nb de pages : 128
16.50
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Description
Cet "épisode contemporain" n'est ni un document historique, ni un roman. Marie Carré a reçu de nombreuses approbations dont voici les plus caractéristiques :
"Le cas présenté n'est pas tellement imaginaire, hélas ; si mes souvenirs sont exacts c'est sur un Bulletin de l'Aide à l'Eglise en détresse récent qu'un spécialiste des questions de derrière le rideau de fer, affirme que l'évêque N. est en fait un agent... et que c'est lui qui a fait fermer 10 000 églises en Russie"...
"Je vous félicite de montrer le fond du système satanique... que si peu connaissent. Et de l'avoir exposé, non comme un professeur à l'abstrait ; mais en marche, si l'on peut dire, et en effervescence dans un possédé du démon"...
"L'histoire est poignante et je crois aussi qu'elle s'appuie sur un fond de réalité ; je suis convaincu qu'il y a dans l'Eglise, parmi les prêtres, et peut-être les évêques, des gens qui ont été des E.S."...
"Quant à E.S. 1025, votre don d'invention psychologique s'y déploie avec sa vertu parabolique comme dans les J3 mais avec une telle opportunité !... Je me demandais si cette brochure aurait de l'action sur nos gens de campagne, peu liseurs. Eh bien oui, les vrais chrétiens sont habitués aux textes de l'Evangile où il y a bien peu de théologie abstraite et beaucoup d'histoires. Et toute théologie y est enfermée. Ils comprennent E.S. 1025"...
"Pourquoi ne pas avoir précisé dans un avant-propos qu'il s'agissait d'une synthèse romancée dont les plus douloureuses réalités dépassent la présentation ?"
Ces cinq textes manuscrits parfaitement authentiques émanent des correspondants dont les noms bien sûr, ne seront pas divulgués.
TitreES 1025 ou les mémoires d´un anti-apôtre
Auteur CARRE (Marie)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution15 mars 2018
Nb de pages128
EAN 139782851902351
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)7
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.17
Biographie
Marie CARRE (1905-1984)
Marie CARRE (1905-1984) Marie Carré, élevée dans le calvinisme, s'est de bonne heure demandé si sa religion était vraie et surtout pourquoi tant de "vrais" christianismes... s'opposent... se tolèrent parfois... se battent de temps à autre ? Tous ces "pourquoi" ont envoyé Marie Carré vers la Primitive Eglise, puis vers la Réforme, périple qui se termina par son retour dans l'antique Unité première et universelle. Car il ne faut pas oublier que l'Unité pour être vraiment Une ne doit dater de la Pentecôte. Hors de là on ne peut cultiver que des ambiguïtés. Voir plus
Critique du libraire
Sans cesse réédité depuis sa première parution en 1972, ce roman a connu un succès considérable et bien mérité ! Marie Carré, sous la plume d'une infirmière, dévoile la mission d'un étrange élève séminariste. Ce Michaël en question a été chargé par le Parti Communiste d'infiltrer les milieux catholiques et surtout le milieu clérical... Le travail de sape d´un infiltré au sein de l´Eglise. Récit fondé sur des témoignages authentiques, dont l´acteur principal est un élève séminariste chargé par les communistes d´infiltrer l´Eglise de s'y faire prêtre et ainsi mieux corrompre l'Eglise de l'intérieur. On y voit la mise en oeuvre de tout ce qui se passe aujourd'hui devant nos yeux... La 1ère édition a été réalisée par les éditions Segieb en 1972 ( petite maison militante créée par Pierre Wambergue dont la femme était apparentée Michelin et qui a aussi publié en 1981 " Mourir pour l'industrie " sous le pseudonyme Pierre Vandunord .)
Les avis clients
Destruction de l'Eglise par l'intérieur !
5/5 Plaisir de Lire .
.----.Marie Carré, ancienne Calviniste, convertie fervente au catholicisme, nous fait part dans ce petit opuscule, de documents qu'elle n'hésite pas à qualifier d'accablants . Jeune infirmière alors, un homme moribond lui était confié . Ne connaissant pas son identité peut-être la découvrirait-elle parmi les documents contenus dans un certain cartable : "sans nom, sans famille, sans patrie, sans héritage" ... Qu'était-ce alors ? L'auteur, tout en priant pour celui qu'elle avait baptisé Michaël, cède à la tentation de lire ces confidences intimes . Le récit est poignant . Celui d'un enfant de quatorze ans, aimant profondément ses parents adoptifs et le Dieu qu'ils lui ont fait connaître . Cet amour se retourne en haine le jour ou il découvre son état d'enfant adopté . Il jure de faire disparaître la religion ... le marxisme sera pour lui le meilleur instrument . Simulant une vocation sacerdotale, il entre au séminaire, devient prêtre, et suivant tout un plan satanique échafaude la destruction de l'Eglise par l'intérieur . Michaël va pourtant buter sur la fraîcheur et l'intransigeance finale d'une jeune fille, qui ayant compris son plan entrera au Carmel pour le racheter . Une lecture très dure, la vérité est souvent déchirante . Une prudence certaine est à exercer dans le choix des lecteurs qui devront être très avertis des tactiques d'infiltration marxiste dans l'Eglise . POUR QUI CE LIVRE ? : A partir de 20 ans . Il y aurait matière à une table ronde très charpentée . L'antidote est visible : la dévotion à la Sainte Vierge, le culte de l'Eucharistie et la soumission au Pontife Romain . [ " Plaisir de Lire " , numéro 45 , Pâques 1978 ]
Plaisant à lire !
5/5 Catholique et Français.
.----. L'infiltration communiste dans l'église catholique découverte par une infirmière de Marseille sur un patient victime d'un accident automobile... Trop beau pour être vrai ? Un document historique ou plutôt et bien plus vraisemblablement du roman ? Pas de source vérifiable pour ce texte fort, mais, en tout cas, une superbe illustration et un excellent récapitulatif des abominations que nous déplorons dans l'Eglise Catholique depuis 1944 ! Une "petite" lueur d'espoir dans ce texte crépusculaire : la Toute Petite et Humble Vierge Marie terrorisant ces démons et ces ordures ! Je ne peux m'empêcher, en lisant tout ça, de penser fortement à Vladimir Volkoff dont les romans merveilleusement intelligents étaient très proches de ce genre d'écrit. Enfin, Vatican III, j'en suis absolument convaincu, ne sera pas l'horreur que ces gens espèrent, mais un Concile salvateur, libérateur et dogmatique qui renverra son prédécesseur dans les poubelles de l'histoire. Le monde qui vivra dans le Temps de Paix promis par le Cœur Immaculé de Marie en restera frappé à jamais ! J'ai oublié d'ajouter que dans ce texte plaisant à lire on retrouve le catalogue presque complet de toutes les ficelles maintenant archi-éculées et de tous les trucs maintenant usés jusqu'à la corde servis quotidiennement avec leurs peu ragoûtants brouets sur Gloria.tv ou dans les paroisses par tous les "louange de mes lèvres" de la terre ! [ Ludovic Denim le 16 mai 2019 sur Gloria-tv ]
Ressenti
5/5 Jeanne
Veuillez m'excuser si je vous importune, mais il me semble que je dois vous faire savoir mon ressenti après la lecture du livre récemment commandé, à savoir ES 1025 ou les Mémoires d'un anti-apôtre". Né en 1928, j'ai donc vécu l'avant-guerre, la guerre, l'après-guerre avec son esprit de changement dans l'Eglise catholique, l'annonce du concile Vatican II, le déroulement du dit concile. Etant catholique pratiquante, "j'ai fréquenté" de nombreux prêtres, de tous bords, car en ces temps-là, les idées foisonnaient. J'ai alors entendu dire (sous le manteau) qu'il y avait des espions dans l'Eglise catholique venus du communisme et j'assistais alors à des changements inopinés dans notre Eglise, lancés par des prêtres. Ainsi, j'ai appris la destruction de toutes les statues d'une église par le prêtre lui-même. Comme elles étaient placées sur des socles assez hauts perchés, ce prêtre avait confectionné un lasso pour faire chuter les statues qui se brisaient sur les dalles. J'ai vu disparaître les autels majestueux, remplacés parfois par de simples tables. Les chasubles colorées disparurent, remplacées par des aubes blanches à capuchon et une étole aux couleurs liturgiques. Un curé, voulant être tellement près des fidèles, devait installer une simple table dans le fond de l'église, à peine recouverte d'un vague torchon. Les tables de communion furent ôtées, la communion dans la main fut établie, la communion sous les deux espèces pointée du nez. Lors du concile, alors que se discutait l'habit du prêtre à la place de la soutane, trop voyante, trop gênante, même dérangeante, à la sortie de la messe dominicale dans une paroisse de Grenoble, le prêtre comme à l'accoutumée, vint sur le perron de l'église pour saluer les paroissiens, dans un complet flambant neuf et... une cravate parfaitement nouée. La confession individuelle disparut pour laisser place à des assemblées pénitentielles, avec, quand même, la possibilité d'une confession personnelle après l'absolution générale ! Le latin disparut des messes qu'on nommait d'ailleurs Eucharistie. Je vous parle d'une période assez vaste : de l'après-guerre au concile et la suite. Certains prêtres adoptèrent ce qui leur paraissait raisonnable et les fidèles choqués de tous ces changements purent continuer à croire leur foi dans une vraie tradition (rien à voir avec les traditionnalistes ainsi nommés par les prêtres "réformateurs") et ceux-ci n'ont pas toujours été très gentils avec leurs confrères plus raisonnables. Il y eut ensuite la vague des prêtres mariés, se mettant ainsi hors de l'Eglise, mais à qui on a donné le droit de se marier religieusement. J'oublie peut-être des exemples, mais ceux que j'ai cités m'ont profondément choquée, mais pas déstabilisée. Il me reste à vous signaler l'œcuménisme mal compris vis-à-vis des protestants. Même encore aujourd'hui, en entendant certaines émissions sur RCF, j'ai l'impression que ce sont eux qui sont dans le vrai. J'avoue que pour ce dernier exemple, je suis fortement marquée par la rencontre d'une femme "pasteur", chez un vieux prêtre que je visitais. "Lui" buvait ses paroles et sentant son influence, "elle" "en rajoutait", excusez cette expression populaire. Vous comprendrez, je pense, pourquoi ce livre cité au début de cet écrit m'a tant bouleversée. Ainsi, se serait réalisé le plan machiavélique de l'anti-apôtre ? J'ai vécu dans le monde sacerdotal et paroissial pendant plus de 40 ans ayant servi un prêtre ami durant ce temps-là. Maintenant âgée, fatiguée, je ne peux plus me déplacer, donc plus de messe dominicale, mais la radio (pas de télé). Mon ami est décédé il y a 7 ans. Je suis seule chez moi, cependant entourée d'aide, et surtout mes neveux et nièces m'aident beaucoup.
Abattre l'Eglise !
5/5 L'appel des pins .
.----. C'est le deuxième livre du même auteur et qui en est à sa 4e édition également ! C'est le récit romancé de l'intrusion d'un élève communiste au sein d'un séminaire, puis au cœur même de l'Eglise, démontrant ainsi ce qui se déroule depuis des années devant nos yeux : le Communisme cherche à abattre par tous les moyens sa cible principale, son obstacle le plus dur : l'Eglise catholique. Tous les moyens lui sont bons pour parvenir à ses fins : autant la persécution physique que l'action plus insidieuse qui consiste à introduire ses agents en son sein pour la ronger de l'intérieur et accomplir son travail de sape. [ Numéro 57 - octobre 1983 de " L'appel des pins " ; bulletin trimestriel des Amis de Garabandal . Directeur-Gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt . ]
Ce livre déroutant intéressera ou choquera !
5/5 Plaisir de Lire.
.----. Ainsi l'inconnu devient l'élève séminariste 1025, (après 1024 autres) toujours brillant et premier en tout, toujours parfaitement secret, discret, ricanant intérieurement de sa puissance d'invention. D'où lui viennent ses idées ? Il se le demande tout en s'admirant lui-même. Et il envoie régulièrement ses ordres à ses chefs : slogans, mots d'ordre qui sont immédiatement repris par des journalistes, écrivains, artistes, du monde entier. Il faudrait tout citer. Voici deux exemples : -- "Quand l'Eglise universelle sera établie, la Messe n'aura plus de raison d'être que dans les familles, je veux dire chez les plus exaltés. Il faut compter avec cette catégorie de gens. Mais justement, en restant chez eux, ils seront inoffensifs". "Le mariage civil doit être le seul exigé... et bien entendu le sacrement de mariage (simple fête folklorique) ne sera pas refusé aux prêtres qui le demanderont, pas plus que le sacrement de l'ordre ne sera refusé aux femmes." --Un personnage féminin très émouvant passe au cours des pages. Il porte une médaille miraculeuse. Vraiment "exaspérante!" Il témoigne "de façon non moins exaspérante" de la pérennité de l'Eglise. --Nous regrettons que l'éditeur n'ait pas mentionné qu'il s'agit d'un roman. Cela aurait évité au lecteur naïf de prendre pour authentique un récit que certains événements récents peuvent rendre vraisemblable. Ce livre déroutant intéressera ou choquera. Pas avant 18 ans. ( Numéro 22 - Pâques 1973 de " Plaisir de Lire " ]
Détruire l'église de l'intérieur !
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Une petite infirmière assiste à ses derniers moments un accidenté de la route dont on ignore tout. Après la mort de cet homme mystérieux au regard étrange, l'infirmière fouille la serviette de son patient à la recherche d'un renseignement susceptible d'établir son identité. Elle trouve un dossier dont la première page commence ainsi : " Je suis l'homme sans nom, sans famille, sans patrie et sans héritage." Intriguée, l'infirmière de plus en plus stupéfaite continue sa lecture et ce sont les mémoires que nous lisons. Marie Carré les a écrites avec un tel don psychologique que l'on est vite pris au jeu. L'homme raconte qu'on l'a trouvé sur une route à l'âge de trois ans, pendant la guerre de 1914-18. Un ménage polonais l'a adopté et élevé en bon chrétien mais, à 14 ans, c'est le choc : il découvre qu'il est un enfant adoptif. Fou de chagrin et de haine contre ses "parents", il s'enfuit en Russie, bien décidé à devenir l'homme important du Parti puisqu'il se sent d'une intelligence et d'une qualité bien supérieure à celles des autres hommes. Comment parviendra-t-il à ce poste ambitieux ? Tout simplement en s'acharnant contre Dieu et son Eglise et en s'efforçant de détruire celle-ci de l'intérieure. ( suite ... )
Une idée diabolique !
5/5 tradition.free
.----. Une idée diabolique : sur ordre, un communiste devient prêtre pour détruire l'Eglise de l'intérieur. Roman ou histoire vraie ? Une histoire poignante qui pourrait se clore par cette phrase de Julien l'Apostat : Tu as vaincu, Galiléen ! Mais nous n'en sommes pas encore là... [ ce site qui est en général très sévère a donné la note 20/20 ]
Vigueur de l'évocation .
5/5 Ramon Cahuzet ( probablement ).
.----. [ Ce texte vient d'être retrouvé dans nos archives : il n'avait pas été publié à l'époque car nous pensions erroné le premier paragraphe " roman " ] Le succès de l'ouvrage de Marie Carré a été tel qu'en le faisant réimprimer, l'éditeur se sent obligé ( ndlr : ou ? ) d'avertir qu'il s'agit d'un roman. Tant est saisissante la vigueur de l'évocation. .******. La matière en jeu est du réel le plus tangible, à notre portée quotidienne. Il s'agit de la démolition régulière de nos traditions catholiques les plus sûres et les plus chères. Il suffit à la romancière ( ! ) avec son doigté connu, de rapprocher les faits convergents, de les mettre au compte d'esprits lucidement dévoués à la tâche mortelle de subversion, pour nous donner le frisson d'un contact avec l'esprit auteur premier de toute apostasie. .******. Cette reconstruction n'est-elle pas plutôt une restitution ? C'est ce que se demande tout lecteur emporté à l'allure d'un récit qui ne fléchit pas un instant. .******. Une fois seulement la trame semble se rompre pour une remarque personnelle de l'auteur. Elle porte si juste et si profond qu'une émotion nouvelle vous saisit : " ... vous avez dit mon âme ". Il s'agit des observances pénitentielles d'Eglise qu'on lui ôte " par bonté et compréhension ( ! ) pastorale. " Mais ce sont des amis que vous nous ôtez-là " s'écrit madame C. .******. Les faits parlent, et aussi ces paroles qui viennent du cœur. Discerneront-ils ces pasteurs déboussolés qui ravagent la vigne à eux confiée ?
Autodémolition de l'Eglise.
5/5 Lectures Françaises / 1973 .
.----. Les traditionalistes dénoncent l'autodémolition de l'Eglise. Le livre de Mme Marie Carré met en garde contre les responsables, ces " loups déguisés en brebis " qu'elle nomme " anti-apôtre ". " ES 1025 " est un condensé de toutes les nouveautés enseignées ici ou là, depuis 1930 environ. ( numéro 200 - décembre 1973 ).
Roman?
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. S'agit-il, dans ces pages, comme Mme Marie Carré les présente, de notes prises -- bien imprudemment alors -- par le sujet lui-même, et recueillies par une infirmière après l'accident tragique qui mit fin à ses jours ? Même le procédé littéraire, si c'est le cas, ne serait pas un artifice. Il n'est aucun des détails évoqués qui ne corresponde à des faits, dûment constatés, tels qu'ils s'ébauchèrent d'abord dès les lendemains de la seconde guerre mondiale, et se développèrent ensuite, pour s'étaler finalement sous nos yeux tous les jours. A défaut de "mémoires", notre mémoire suffit à rendre compte du processus. De ces faits, le livret produit la synthèse, en dégage le plan, en montre le caractère destructeur. La partie "romancée" de l'ouvrage pourrait se reconnaître dans l'action tenace d'une jeune fille qui, sur le point d'être entrainée -- et sans le savoir -- dans le jeu, réagit de toute la force de sa foi, finalement de son immolation. Elle nous dicte ainsi notre attitude et elle est messagère d'Espérance Dans son Encyclique d'avènement. "SUMMI PONTIFICATUS", en 1939, le Pape Pie XII annonçait avec clairvoyance les "ténèbres" qui devaient envahir le monde et l'Eglise : il faisait entrevoir la lumière. ( numérà 1, octobre 1972 ).