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La messe

Référence : 17793
3 avis
Date de parution : 20 octobre 1973
Auteur : CARRE (Marie)
EAN 13 : 9782851901323
Nb de pages : 116
7.20
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Description
Lettre ouverte à Jésus de Nazareth en Galilée.
Marie Carré ne s'est pas convertie pour accepter en silence que l'Eglise sainte lâche ses coutumes, ses symboles, son cadre, ses gestes les plus sacrés, et encore moins pour qu'elle impose les traductions les plus tendancieuses. Marie Carré n'a pas quitté le calvinisme pour que son curé l'y reconduise de force. En désespoir de cause, elle envoie une Lettre ouverte à Jésus de Nazareth pour le supplier de nous rendre la messe, cette messe qui brusquement serait devenue le crime des crimes ; cette messe pourchassée par nos évêques comme si elle représentait l'hérésie qu'il faut à tout prix déraciner. Et pourquoi serait-elle interdite en France alors qu'elle ne l'est pas à Rome ?... Quel crime avons-nous commis pour être traités commes des esclaves ?... Depuis qu'on a commencé de tailler dans tout ce qui nous était plus cher que la vie, le désordre ne fait que croître, et la division qu'embellir. Depuis qu'on nous dit la messe-repas, nous nous sentons beaucoup moins pieux. Depuis qu'on nous écrase de slogans publicitaires sur musiquettes rythmées, nous nous sentons malade du désir de partir... La sainte messe est le Sacrifice de la Croix. Les saintes femmes ont-elles dansé au pied de la Croix ? Depuis qu'on a enterré le latin avec les soutanes, les signes de croix et l'adorable dernier évangile de saint Jean, nous n'avons plus que des églises nationales, voires locales, et, voyager à l'étranger, signifie maintenant pour nous tous : renoncer à la messe et à toute cérémonie dite catholique. Du reste, puisqu'on nous répète depuis vingt ans que l'essentiel du christianisme est l'esprit communautaire, il est bien évident que nous ne pouvons pas être tout à fait en communion avec ceux dont nous ne comprenons pas la langue et qui, de plus, font de cette compréhension un des fondements de leur liturgie nouvelle. Enfin, pour mille raisons, Marie Carré ne voit plus qu'un seul recours : le Christ lui-même. Et, désireuse de faire connaître à quel point la messe traditionnelle est regrettée, pleurée, Marie Carré demande à ceux de ses lecteurs qui approuveront les termes de cette "Lettre ouverte" de bien vouloir la signer en utilisant la page prévue à cet effet. Qu'ils soient d'avance remerciés.
TitreLa messe
Auteur CARRE (Marie)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution20 octobre 1973
Nb de pages116
EAN 139782851901323
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)8
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.14
Biographie
Marie CARRE (1905-1984)
Marie CARRE (1905-1984) Marie Carré, élevée dans le calvinisme, s'est de bonne heure demandé si sa religion était vraie et surtout pourquoi tant de "vrais" christianismes... s'opposent... se tolèrent parfois... se battent de temps à autre ? Tous ces "pourquoi" ont envoyé Marie Carré vers la Primitive Eglise, puis vers la Réforme, périple qui se termina par son retour dans l'antique Unité première et universelle. Car il ne faut pas oublier que l'Unité pour être vraiment Une ne doit dater de la Pentecôte. Hors de là on ne peut cultiver que des ambiguïtés. Voir plus
Critique du libraire
Pour la défense de la messe traditionnelle (par une protestante convertie).
Avec un style très vivant, imprégné de charité, Mme Carré nous expose toutes les raisons pour lesquelles elle juge la nouvelle messe indésirable. Marie Carré ne s´était pas convertie du protestantisme au catholicisme pour retrouver, après le Concile, une liturgie lui rappelant celle de sa jeunesse.
Les avis clients
Supplique pour ... !
5/5 L'appel des pins .
.----. Marie Carré vient de décéder, à l'âge de 77 ans. Née, puis élevée dans le Calvinisme, elle s'est ouverte et convertie d'assez bonne heure à la religion catholique. C'est pour exposer les motifs et les raisons de cette conversion qu'elle a écrit plusieurs ouvrages. Celui-ci est le troisième et dernier : c'est une véritable supplique pour obtenir le retour à la Messe catholique, l'auteur avançant comme argument essentiel qu'elle ne s'est pas convertie du Protestantisme au Catholicisme pour y retrouver l'office religieux qu'elle a abjuré... [ Numéro 57 - octobre 1983 de " L'appel des pins " ; bulletin trimestriel des Amis de Garabandal - Directeur-gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt ]
Crise.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Sa voix ( du Souverain Pontife ) se perd dans le désert, et il est arrivé qu'on fasse obstruction jusqu'à la diffusion de ses discours. C'est ce qui explique l'adoption par l'auteur d'un genre littéraire, discutable en lui-même, celui de la "lettre ouverte" au Christ. Le Pape n'a-t-il pas déclaré un jour la crise de l'Eglise tellement grave que seul son divin Fondateur puisse, y porter remède. Lettre ouverte, cela veut donc dire PRIERE ET SOLIDARITé DANS LA PRIèRE POUR LA DéFENSE DE LA Foi.----....---...--..-. "Seigneur, si vous n'envoyez pas l'Esprit-Saint rétablir l'ordre, votre Eglise ne serait plus (l'auteur n'a pas voulu écrire : ne sera plus) qu'une flottille de petits radeaux en perdition sur l'immensité d'un océan tantôt railleur, tantôt indifférent. Mais nous savons que vous veillez !..." Mme Carré, humblement, fait l'aveu cependant du danger de l'attente : jusqu'où la patience, en tant d'âmes, pourra-t-elle tenir? Aussi sera-t-on indulgent si l'on croit discerner quelques excès jusque dans certaines pages de ce livre.----....---...--..-. La plus grande des douleurs, c'est le silence en réponse aux plus pressants appels : "Pouvoir dire la vérité et se taire, disait saint Justin au cours du second siècle, c'est mériter la colère de Dieu ". La simple crainte de provoquer dans les âmes une colère exaspérée devrait à elle seule suffire à provoquer une attention pastorale bienveillante. La messe était la joie, la paix, dans l'expression de la vérité et dans l'union.----.---- ( ce texte se terminait par un rappel sur "J'AI CHOISI L'UNITé" QUE NOUS REPRODUISONS à la suite du texte sur ce titre ( numéro 6, mars 1974 ).
Douleur.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Une protestante convertie crie sa douleur. Tout ce qui a fait pour elle l'attrait et le motif profond du don d'elle-même à l'Eglise, en des années lointaines, elle le voit outrageusement compromis, non seulement quant aux traits qu'on pourrait dire périphériques de la religion -- et dont la grandeur était déjà telle ! -- mais en profondeur.----....---...--..-. Il est inutile d'insister. L'épreuve qui atteint ceux -- nous en connaissons -- revenus comme elle à l'Eglise, mais aussi des fidèles d'ancienne tradition, dispose d'autre part à tout admettre de rénovations légitimes. Le mal est grand : il atteint jusqu'aux notions mêmes les plus essentielles de la Foi, notamment en ce qui concerne le saint sacrifice de la Messe,en dépit des rappels constants du Souverain Pontife à la doctrine révélée. ( suite ).