Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

Nous n'expédierons pas de colis du 25 décembre au 1 er janvier. Seule une permanence sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Pour l´honneur de la Milice par un chef de Corps de la Milice

Référence : 14142
4 avis
Date de parution : 1 janvier 2021
Auteur : ANONYME
Éditeur : LORE (EDITIONS DU)
EAN 13 : 9782353525553
Nb de pages : 176
19.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Epuisé chez l'Editeur
Voir la disponibilité en magasin

Description
Quelques années après l'affaire Bousquet, et après le récent décès de Maurice Papon, le phénomène de la "collaboration française" est définitivement entré dans l'histoire noire de notre pays, réduisant ses derniers témoins au silence. La milice française est, au sein même du phénomène, la composante la plus décriée. L'auteur de ce livre pensait qu'avec le temps des études seraient réalisées, des témoignages recueillis en masse et qu'à la fureur de la libération succéderait une forme de tolérance. Alors que les attentats commis dans le passé par les communistes français sont passés sous silence, il est de bon ton d'hurler lorsque l'on mentionne les méfaits de la Milice. L'épuration humaine a fait place à une épuration historique. Comment ne pas souhaiter comprendre que des hommes tels Joseph Darnand, Jean Bassompierre, Lucien Rebatet, Noël de Tissot, Paul Maubourget, ou Pierre-Antoine Cousteau se soient engagés dans cette formation d'Etat ? Comment une telle association informelle de qualités intellectuelles et militaires a-t-elle pu voir le jour ? L'essence de cette organisation, mise en activité en 1943 était de constituer la réponse de l'Etat Français aux recrudescences des actions terroristes des organisations communistes et bolcheviques devenues, sur le territoire, de plus en plus meurtrières, notamment envers les populations civiles. A cela s'ajoutait l'avancée des fronts alliés en Afrique et Italie principalement. Mais, au-delà, il s'agissait de former les soldats politiques nécessaires à la mise en place des directives de l'Etat nouveau, en plus du maintien de l'ordre.
L'auteur de cet ouvrage a toujours souhaité rester anonyme mais nous a laissé l'un des rares témoignages concret sur le rôle et les buts de la milice, souhaitant éclairer les générations à venir. Souhaitons qu'au-delà des jeunes pour lesquels cette aventure appartient au patrimoine familial, la curiosité de certains leur permette d'envisager cet épisode sous un jour nouveau.
TitrePour l´honneur de la Milice par un chef de Corps de la Milice
Auteur ANONYME
ÉditeurLORE (EDITIONS DU)
Date de parution1 janvier 2021
Nb de pages176
EAN 139782353525553
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)145
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.38
Critique du libraire
Ecrit par un ancien chef de corps de la Milice qui a désiré conserver l´anonymat, ce volume est destiné à exposer au public contemporain quel était le véritable visage de cette organisation systématiquement décriée et critiquée aujourd´hui. Edition précédente : février 2013. Avec un cahier-photo central de 16 pages.
Les avis clients
Réponse .
5/5 Jeune Nation, l'information sans concessions .
.----. Réponse donnée en fin d'article par Jeune Nation le 7 septembre 1995 : Émile Raybaud 19 mai 1910 – 7 septembre 1995 ; né le 19 mai 1910 à Trans dans le Var. Il étudie à l’école militaire de Saint-Cyr, entre 1930 et 1932. Devenu sous-lieutenant dans l’infanterie, il est assigné au 20ème bataillon de chasseurs alpins, à Antibes. Le 1er avril 1940, il est promu capitaine. Deux mois plus tard, il se trouve dans la Somme avec sa division (la 40ème division de chasseurs), à combattre les allemands. Il est accepté dans l’armée d’armistice après la défaite de la France. Bien que peu intéressé par la politique, Raybaud est un fervent partisan de la Révolution Nationale du Maréchal Pétain. Après la dissolution de l’armée d’armistice, il s’inscrit à la Milice Française. Il devient en avril 1943 le directeur adjoint de l’école des cadres de la Milice à Uriage. Il travaille ensuite avec Jean De Vaugelas, au poste de chef d’état-major des Francs-Gardes, en février-mars 1944 pour lutter contre le maquis des Glières en Haute-Savoie. Raybaud reste avant tout un soldat et un officier de carrière, tout comme son Ami Victor De Bourmont. En juin 1944, il succède à De Vaugelas pour commander les forces du maintien de l’ordre en Limousin. Puis, le 25 juillet 1944, il cède son poste pour être nommé adjoint du docteur Rainsart, le chef de la Franc-Garde en zone nord. Réfugié en Allemagne, il arrive à Wildflecken à la tête de la première cohorte de miliciens, début novembre 1944. Fin décembre 1944, Raybaud est nommé commandeur du Waffen-Grenadier-Regiment der SS 58, suite au départ d’Eugène Marie-Jean Bridoux. Promu au grade supérieur le 20 février 1945, avant la montée au front, il continue de porter les insignes d’ Hauptsturmführer, considérant qu’il y a plus urgent que de trouver de nouveaux insignes. Le SS-Brigadeführer Gustav Krukenberg lui confie la formation et direction du régiment de marche de la division Charlemagne réorganisée, le 1er mars 1945, que Raybaud arrive à constituer en seulement deux heures. Il est gravement blessé le 3 mars 1945 par des éclats d’obus, à hauteur des cuisses des deux jambes, alors qu’il étudiait la situation de ses troupes, près d’un pont sur la rivière Persante, à l’ouest de Kôrlin. Il est évacué par le docteur Paul Durandy, puis conduit par Claude Platon à Kolberg. Raybaud est proposé pour le grade supérieur, et décoré de la Croix de fer 1ère classe. Il n’apprendra sa promotion que bien des années après, en 1970, de la part d’un ancien secrétaire de l’état-major de la division. Il est rapatrié en France après la défaite de l’Allemagne, et emprisonné à Limoges, où il manque de peu de se faire tuer par des anciens maquisards qui avaient envahis la prison pour faire justice eux-mêmes. Amputé d’une jambe, il est condamné à mort par la cour de justice de Haute-Vienne en 1946. Gracié, il est finalement libéré en 1951. Il publie son livre de manière anonyme chez Etheel en 1955 : Vérité réconciliée… pour la Milice, justice ! Le livre est réédité en 2007 par les éditions du Lore avec un titre modifié : Pour l’honneur de la Milice.
Erreur ?
5/5 Julien 69
Je pense que vous avez fait erreur en confondant deux livres. " Pour l'Honneur de la Milice " par un auteur anonyme et on sait maintenant qu'il s'agit d' Emile Raybaud . et " Pour la Milice, justice ! ", qu'avait préfacé le général Lavigne-Delville ".
Un écho ...
5/5 Lectures Françaises / 1973 .
.----. Dans un article signé Henry Coston et sous le titre : " Pierre-Antoine Cousteau et Je Suis Partout" : " Henry Charbonneau, alors éditeur, fut sévèrement condamné pour avoir publié en 1956 le livre " Pour la Milice, justice ! ", qu'avait préfacé le général Lavigne-Delville ". ( numéro 200 - décembre 1973 ).
RAYBAUD
3/5 DIONYSOS ANDRONIS
L'auteur ci-dessus s'appele Emile Raybaud (1910-1995). Il a signé comme auteur Anonyme lors de la première édition en 1955. Cette première édition de 1955 a été interdite. Elle était faite par Henry Charbonneau (1913-1982) qui signe aussi le dernier chapitre comme HC. Ce dernier chapitre est dedié à Joseph Darnand (1897-1945), fusillé par les alliés. Joseph Darnand a été le Président des Anciens Combattants de l'Action Française et cette dernière a été rejettée par l'église pendant l'entre-deux-guerres. En 1943 il deviendra le chef de la Milice, l'association la plus importante (avec la LVF) de la Collaboration. "Lui et ses miliciens ont conscience d'être les meilleurs et les meilleurs sont fidèles jusqu'à la mort" (écrit par Henry Charbonneau, op.cit. page 148). "L'ancien régime devrait disparaître" écrivait Joseph Darnand le 9 octobre 1945, la veille de son exécution (op.cit.page 157). La tâche de la lutte anti-communiste doit être mise en avant. "Cette tâche vous l'accomplirez en vous regroupant derrière ceux qui se révéleront les plus dignes" (op.cit. page 158, écrit aussi par Joseph Darnand). Et ces meilleurs sont les nazis ! Nous n'avons pas trouvé de citation sur le fait que l'auteur Emile Raybaud a été amputé de guerre. Aussi, nous aimerions ajouter que Henry Charbonneau s'est marié avec Jeanne Brevet (1922-2014), une militante exemplaire qui, après la mort de son premier mari en 1982, elle s'est mariée une deuxième fois avec Léon Degrelle en Espagne, où il était accueilli ce dernier comme réfugié politique.