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L´islamisation de la France

Référence : 13606
1 avis
Date de parution : 1 octobre 2008
EAN 13 : 9782841912018
Nb de pages : 496
36.00
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Description
En France, en 2006, la filiale de la plus grande organisation islamiste mondiale des Frères musulmans, l'UOIF, ouvre écoles et mosquées en toute quiétude et siège au Conseil français du culte musulman (CFCM). Nicolas Sarkozy affirme sur un plateau de télévision que "sur le plan de l'ordre public il n'y a rien à leur reprocher". Inquiétant. Dalil Boubakeur, parangon de l'islam modéré selon la caste médiatique, parle pourtant de son "amitié d'une décennie" avec le président de l'UOIF et confie que "L'UOIF ne me paraît ni subversif, ni dangereux".
S'appuyant sur une immigration dont les mécanismes sont analysés méticuleusement, chiffres officiels à l'appui, l'islamisation de la France n'en est qu'à ses débuts selon les démographes. Les mosquées fleurissent dans l'hexagone, avec la bénédiction des mairies qui offrent les terrains à bâtir, tandis que l'UMP comme le PS commencent discrètement à subventionner leurs constructions avec l'argent des contribuables.
Le lecteur trouvera avec cet ouvrage qui se veut le plus complet possible, des réponses claires à ses interrogations : que dit le Coran ? Quel est le contenu de la charia ? La distinction entre islam et l'islamisme est-elle pertinente ? Que pèsent les vrais modérés ? Après leurs récents succès démocratiques en Turquie, Egypte et Palestine, les islamistes ont-ils une stratégie de conquête en France ? 

Jeune chercheur en sciences politiques, Joachim Véliocas livre ici le résultat d'une enquête de plusieurs années sur l'islamisation de la France.
TitreL´islamisation de la France
Auteur VELIOCAS (Joachim)
ÉditeurGODEFROY DE BOUILLON (EDITIONS)
Date de parution1 octobre 2008
Nb de pages496
EAN 139782841912018
Épaisseur (en mm)37
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.66
Critique du libraire
Fruit d´une enquête de plusieurs années, ce volume offre un bilan révélateur de la progression de l´islam dans la société française depuis les années 80.
Les avis clients
La Grande Mosquée de Paris a été financée par les loges maçonniques !
3/5 Bibliothèque de combat .
.----. Pour information : Au lendemain de la guerre de 1870, les catholiques français avaient édifié – grâce à leurs aumônes – la basilique de Montmartre. Au lendemain de la guerre de 1914-1918, c’est une mosquée que les loges maçonniques décident d’édifier – sur fonds publics. Leur but n’est pas de satisfaire les musulmans (qui, à l’époque, ne demandent rien de tel), mais d’humilier les catholiques. Née dans les loges, l’idée est aussitôt adoptée par le Gouvernement français et par Jules Cambon (gouverneur général de l’Algérie). Edouard Herriot présente le projet (juin 1920) Les frais de construction sont énormes, mais Edouard Herriot lui-même s’en occupe. Le 30 juin 1920, le député anticlérical (qui milite au même moment pour l’expulsion des moines et la confiscation des écoles catholiques) présente à la Chambre des députés un projet de loi accordant une subvention de 500 000 francs « pour la construction d’une mosquée, d’une bibliothèque, d’une salle d’études et de conférences (…), une vraie maison de l’islam. » Tout le camp « laïc » applaudit. Les députés radicaux, qui ne peuvent pas voir une soutane sans hurler à la mort, bondissent de joie à l’idée de construire une mosquée. (…) Discussion au Sénat (31 juillet 1920) C’est Raphaël-Georges Lévy qui défend le projet au Sénat, au nom du Gouvernement. Le sénateur israélite invoque l’urgence, demande la discussion immédiate à la séance du 31 juillet 1920, et n’hésite pas à affirmer – sans aucun fondement, mais sans recevoir de réplique – que Paris est la seule grande capitale sans mosquée. Le sénateur Dominique Delahaye réagit en soulignant qu’on vient de débattre, quelques minutes auparavant, de l’affectation d’un bâtiment confisqué aux jésuites. On vole aux uns et on donne aux autres. Il s’exclame : « Il serait bientôt temps de traiter les catholiques aussi bien que les musulmans ! ». Riposte immédiate du sénateur François Albert : « C’est de la jalousie ! ». Ce cri du cœur mérite d’être retenu. François Albert sera bientôt élu président de la très maçonnique « Ligue de l’enseignement » puis Ministre de l’Instruction publique (15 juin 1924). (…) La municipalité de Paris offre le terrain (janvier 1921) (…) Dans un généreux enthousiasme, le conseil municipal de Paris décide d’octroyer gratuitement le terrain municipal de l’ancien Hôpital de la Pitié pour l’édification de la Mosquée. C’est une subvention en nature. Lorsqu’il s’agit du culte catholique, les subventions municipales sont interdites et, au besoin, annulées par l’autorité préfectorale. (…) En République laïque, ce qui est interdit pour les catholiques est permis pour les musulmans. Construction de la mosquée (1922-1926) Le 1er mars 1922, la Société des Habbous de l’islam prend possession du terrain et fixe l’orientation de la mosquée. (…) Le 13 juillet 1926, Moulay-Youssef, sultan du Maroc et « Commandeur des croyants » depuis la chute du califat de Constantinople, arrive à Paris pour l’inauguration de la mosquée. (…) Dans L’Action Français, Charles Maurras demande : « Qui colonise, désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ? ». (…) [ Louis Medler–Laïcislamisation dans le Sel de la Terre , numéro 94 ]