Le Komintern
Date de parution :
01 janv. 2014
Auteur :
REZANOF (Colonel)
Éditeur :
TRIDENT (EDITIONS DU)
EAN 13 :
9782848800615
Nb de pages :
140
Référence interne:
81859
Description
À partir du rapport Khrouchtchev de 1956, on a pris l'habitude de considérer que les crimes et les errements de Staline et de Beria portaient, seuls, la responsabilité du dévoiement tardif du bel idéal progressiste qu'aurait représenté le communisme international.
Ce petit livre du colonel Rezanof, ancien procureur des armées impériales russes, montre la fausseté de cette idée reçue, bien ancrée dans les esprits en occident. Il souligne à quel point, dès son origine, appliquant une doctrine dépourvue d'ambiguïté, le bolchevisme ne pouvait pratiquer autre chose qu'une répression implacable et un mépris absolu des droits humains, avec une volonté totale de détruire l'occident, - y compris en lançant, dès 1920 la révolte des peuples d'Orient.
En 1922 la conférence de Gênes entreprend de réintégrer l'Union soviétique naissante dans le concert des nations. L'auteur met en garde contre cette complaisance. Se basant sur les textes des bolcheviks eux-mêmes, il explique comment l'appareil du Komintern, - ce sigle russe désignant la Ille Internationale communiste - est immédiatement devenu l'instrument du gouvernement révolutionnaire. L'histoire prouvera combien cette logique s'imposera en dépit, ou plutôt en raison de la complaisance et de l'aveuglement des puissances occidentales.
Jusqu'à sa dissolution [officielle] en 1943, en effet, l'organisation du Komintern, alors que le mouvement communiste se voulait international, ne cessera de dépendre de plus en plus étroitement du Kremlin et de ses services spéciaux, au nom même de son idéologie fanatique.
Cela était parfaitement prévisible au gré des documents révélés ici.
Ce petit livre du colonel Rezanof, ancien procureur des armées impériales russes, montre la fausseté de cette idée reçue, bien ancrée dans les esprits en occident. Il souligne à quel point, dès son origine, appliquant une doctrine dépourvue d'ambiguïté, le bolchevisme ne pouvait pratiquer autre chose qu'une répression implacable et un mépris absolu des droits humains, avec une volonté totale de détruire l'occident, - y compris en lançant, dès 1920 la révolte des peuples d'Orient.
En 1922 la conférence de Gênes entreprend de réintégrer l'Union soviétique naissante dans le concert des nations. L'auteur met en garde contre cette complaisance. Se basant sur les textes des bolcheviks eux-mêmes, il explique comment l'appareil du Komintern, - ce sigle russe désignant la Ille Internationale communiste - est immédiatement devenu l'instrument du gouvernement révolutionnaire. L'histoire prouvera combien cette logique s'imposera en dépit, ou plutôt en raison de la complaisance et de l'aveuglement des puissances occidentales.
Jusqu'à sa dissolution [officielle] en 1943, en effet, l'organisation du Komintern, alors que le mouvement communiste se voulait international, ne cessera de dépendre de plus en plus étroitement du Kremlin et de ses services spéciaux, au nom même de son idéologie fanatique.
Cela était parfaitement prévisible au gré des documents révélés ici.
Titre | Le Komintern |
Auteur | REZANOF (Colonel) |
Éditeur | TRIDENT (EDITIONS DU) |
Date de parution | 01 janv. 2014 |
Nb de pages | 140 |
EAN 13 | 9782848800615 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 12 |
Largeur (en mm) | 145 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,190 |
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