N°325 Mars 2004 - Maxime Real del Sarte 1888-1954 Pour le cinquantenaire de sa mort 1954-2004
Date de parution :
01 mars 2004
Auteur :
LECTURE ET TRADITION
Éditeur :
DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
EAN 13 :
00100298
Nb de pages :
48
Référence interne:
65013
Description
Il y a 50 ans mourait Maxime Real del Sarte - Le sculpteur catholique et français du XXè siècle. Un grand artiste, un grand français, un grand chrétien.
-Une famille d'artistes
-Une figure de l'Action française
-Portrait de l'artiste. Son caractère
-Le combattant de 14-18
-L'artiste chrétien
Les oeuvres de Maxime Real del Sarte - Personnages officiels et historiques
Monuments aux morts
Oeuvres chrétiennes
La Vierge Marie
Les saints
Sainte Jeanne d'Arc
Varia
L'exclusion d'un artiste
Annexe
Lettre de Charles Maurras à Maxime Real del Sarte
Titre | N°325 Mars 2004 - Maxime Real del Sarte 1888-1954 Pour le cinquantenaire de sa mort 1954-2004 |
Auteur | LECTURE ET TRADITION |
Éditeur | DIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE |
Date de parution | 01 mars 2004 |
Nb de pages | 48 |
EAN 13 | 00100298 |
Épaisseur (en mm) | 4 |
Largeur (en mm) | 148 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,070 |
Critique du libraire
Il y a 50 ans mourait Maxime Real del Sarte Le sculpteur catholique et français du XXè siècle. Un grand artiste, un grand français, un grand chrétien Si ce Français indomptable s'était mis à la remorque du pouvoir, au lieu de demeurer, en toute circonstance, fidèle à son roi, il n'y a aucun doute que le pays légal l'aurait porté aux nues, comme l'un des plus grands artistes de ce temps. Peu importe. Le régime aura depuis longtemps retrouvé le néant dans la fosse qu'il achève de creuser de ses propres mains, que l'oeuvre de Maxime Real del Sarte vivra toujours. Et ce sera une juste revanche. Rémy, Message adressé à Aspects de la France En 1931, le pianiste autrichien Wittgenstein commanda au compositeur français Maurice Ravel un conceno pour la main gauche. Wittgenstein était un mutilé de la guerre de 14-18. Il s'agissait d'une véritable gageure : prouver qu'on pouvait, avec une seule main, jongler sur le clavier comme avec les deux. Il en a résulté un chef-d'oeuvre aux accents douloureux que le pianiste Jacques Février, choisi par le compositeur, joua pour la première fois en mars 1937. Ravel mourut en décembre de la même année el cette oeuvre semble refléter quelque prémonition funèbre. (...)