J´étais un agent de Staline
Date de parution :
01 juin 2014
Auteur :
KRIVITSKY (Général)
Éditeur :
TRIDENT (EDITIONS DU)
EAN 13 :
9782848800622
Nb de pages :
254
Référence interne:
83978
Description
Les révélations qu'il contient ne mettent pas seulement en cause les crimes, les reniements de l'idéal et les trahisons du régime. Ils en éclairent le mécanisme et l'abominable logique, implacable, totalitaire, paranoïaque.
Le rôle du stalinisme, en particulier dans la guerre civile d'Espagne, et l'imposture du soi-disant "antifascisme", sont mis en lumière. Ce n'est qu'en 1979, à Paris, qu'on réimprima l'ouvrage. À cette époque Brejnev avait entrepris la lente réhabilitation de Staline. Les réseaux communistes cherchèrent alors à étouffer cette publication.
Aujourd'hui où certains esprits s'emploient à nier cette période de l'Histoire la redécouverte de ce témoignage s'impose.
Né en 1899 dans une ville de la Galicie, partie de l'Empire austro-hongrots, l'auteur s'engagea, sous le nom de Krivitsky, pour la cause de la révolution communiste.
Officier du Renseignement militaire, il la servit jusqu'en 1938, sans jamais appartenir à la police politique. Sous les noms successifs de Tchéka, puis Guépéou, puis NKVD, celle-ci développait progressivement son emprise et son étau au service du maître du Kremlin. Après avoir cherché quelque temps à surmonter ses désillusions, le général Krivitsky n'accepta pas l'alliance qui se dessinait entre l'URSS et l'Allemagne hitlérienne, il rompit avec Moscou en 1938. Il mourut mystérieusement en 1941, dans une chambre d'hôtel à Washington.
Titre | J´étais un agent de Staline |
Auteur | KRIVITSKY (Général) |
Éditeur | TRIDENT (EDITIONS DU) |
Date de parution | 01 juin 2014 |
Nb de pages | 254 |
EAN 13 | 9782848800622 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 15 |
Largeur (en mm) | 145 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,330 |
Critique du libraire
Ce livre fut écrit et publié aux États-Unis en octobre 1939 au moment du pacte Staline-Ribbentrop. Les révélations qu'il contient ne mettent pas seulement en cause les crimes, les reniements de l'idéal et les trahisons du régime. Ils en éclairent le mécanisme et l'abominable logique, implacable, totalitaire, paranoïaque. Le rôle du stalinisme, en particulier dans la guerre civile d'Espagne, et l'imposture du soi-disant "antifascisme", sont mis en lumière.