La tyrannie maçonnique
Auteur :
DRUMONT (Edouard)
Éditeur :
SAINT REMI (EDITIONS) ESR
EAN 13 :
9782845197107
Nb de pages :
152
Référence interne:
43390
Description
La philanthropie des Loges est donc bien maigre, poursuit Drumont, bien pâle, bien insignifiante, si on la compare à cette philanthropie catholique qui s'appelle la Charité. Les Francs-maçons eux-mêmes sont forcés d'en convenir.
Toutes les fois que nous voulons entrer dans le domaine de la création d'établissements de bienfaisance et de secours, nous échouons pitoyablement.
L'Orphelinat général maçonnique nous en fournit une preuve de plus. Si nos adversaires, les cléricaux, pouvaient mesurer l'inanité de nos efforts dans la voie de la bienfaisance pratique, ils trouveraient un beau thème à nous couvrir de ridicule.
"En comparant la situation du seul établissement créé par nous, comptant à l'heure qu'il est vingt-deux années d'existence, à la foule d'institutions au moyen desquels l'Église distribue à un peuple de clients des secours de toute nature, nos ennemis pourraient véritablement nous prendre en pitié."
Titre | La tyrannie maçonnique |
Auteur | DRUMONT (Edouard) |
Éditeur | SAINT REMI (EDITIONS) ESR |
Nb de pages | 152 |
EAN 13 | 9782845197107 |
Présentation | Inconnu |
Épaisseur (en mm) | 9 |
Largeur (en mm) | 145 |
Hauteur (en mm) | 200 |
Poids (en Kg) | 0,200 |
Critique du libraire
Le Convent, chaque mois de septembre (1898), avoue un maçon, vote un budget général qui s'élève de 101.000 à 103.000 francs. Sur cette somme 7.300 francs seulement sont affectés aux dépenses philanthropiques. Quant à l'Orphelinat maçonnique, il ne vit qu'aux dépens de l'État, du Conseil général de la Seine et de la Ville de Paris qui se cotisent pour lui offrir une subvention annuelle de 34.000 francs...... Voilà un bel amour du prochain ! (Catalogue Saint Rémi). Réimpression de l'édition de 1899.