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L´ultime transgression - Refaçonner l´homme

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Référence interne : 72304
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Date de parution : 29 août 2016
Auteur : DICKES (Jean-Pierre)
Éditeur : CHIRE (EDITIONS DE)
EAN 13 : 9782851901743
Nb de pages : 320

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Référence interne: 72304

Description

En octobre 2012, le docteur Jean-Pierre Dickès dévoilait à ses lecteurs l'état et les conséquences des dernières découvertes en médecine, biologie, génétique et bionique qui posent la question de l'avenir de l'homme, et dressait les contours de l'humanité future. La première édition de cet essai, rapidement épuisée, a été saluée par la critique :   

« Le Meilleur des mondes revisité à la lumière de la réalité... (...) J.-P. Dickès éclaire, en les mettant en perspective, la multitude de transgressions qui aujourd'hui convergent vers la réalisation d'un projet fou : remodeler l'homme, le refaire en quelque sorte à sa propre image, à sa volonté de puissance et de rupture avec l'ordre naturel des choses. » (Présent)
« Un ouvrage indispensable pour comprendre où veulent nous mener les savants fous qui, saisis d'une hubris prométhéenne, traitent la vie comme un simple matériau, oubliant qu'elle est d'abord un don de Dieu. » (Renaissance Catholique)
« C'est un terrifiant voyage dans le Meilleur des mondes où nous projette l'auteur. (...) J.-P. Dickès, lui-même médecin, détaille ... ce puissant maelström, généralement paré des meilleures intentions, et qui, sous couvert de médecine régénérative, nous entraîne vers l'ultime transgression : transformer l'homme en robot. » (La Nef)
« Quand l'homme met la main sur les mécanismes qui produisent la vie, on peut se demander où il s'arrêtera (sélection, eugénisme, standardisation humaine...). Le mieux, estime l'auteur, c'est de ne pas aller jusqu'à cette mainmise. Mais n'est-il pas déjà trop tard ? » (Minute)
« Ce qui semble n'être qu'élucubration aux esprits peu avertis des choses de la science est en fait en train de se réaliser peu à peu (...) L'homme de demain sera un mutant, immortel, obsédé par son bien-être et à la merci des têtes pensantes. A moins que... » (L'Homme Nouveau)
« Ce n'est pas seulement des pitreries médicales que traite l'auteur, mais aussi de bien d'autres menaces qui pèsent sur l'homme d'aujourd'hui : théorie du "gender", destruction de la famille, promotion de l'avortement et de l'homosexualité, publicité agressive, nocivité de la télévision, programmes scolaires abrutissants, téléphones portables qui vous pistent, banques de données qui stockent tout ce qui concernent les individus... » (Altaïr)
« Quel va être notre probable avenir biologique ? Quelles sont les conséquences de ces découvertes incessantes ? (...) Ce livre est une excellente démonstration de ce qui risque de nous asservir plus vite que prévu, si nous n'y prenons pas garde. Surtout il n'oublie pas de souligner la cause et l'auteur premier de toutes ces transgressions - dont "l'ultime" serait la fabrication d'un cerveau artificiel - celui qui est le Menteur dès les origines et "qui rôde dans le monde pour perdre les âmes". » (Lectures Françaises)

Etant donnée l'évolution rapide des recherches et expériences des « savants fous » qui veulent faire disparaître l'espèce humaine elle-même, cette nouvelle édition a été revue et corrigée, et augmentée en conséquence.  

L'éditeur   



En 2007, le professeur Schaffer de Temple University (Pennsylvanie) met au point un liquide amniotique permettant de développer un enfant dans des éprouvettes et des couveuses. Un utérus artificiel est mis au point à Nottingham en 2012.
En 2008, le docteur Wood de l'université de La Jolla (Californie), réussit le premier clonage humain.
En 2010, Craig Venter « détricote » l'ADN du génome entier d'un microbe. Il en reconstruit un autre : c'est la première espèce au monde créée par l'homme.
Fin 2011, IBM annonce que par le projet Synapse, il a pratiquement terminé la construction d'un cerveau artificiel.
Début 2012, l'aéroport d'Orly met en service des « hommes virtuels » appelés hologrammes qui renseignent les passagers. Ce sont des ordinateurs.
Le 3 juillet 2012, le Daily Mail annonce la réalisation des premiers humains mutants (St Barnabas Center, New Jersey). Trente enfants sont issus des gènes de trois parents.
Le 20 juillet 2012, un savant américain de Harvard déclare qu'il va être transformé en cyborg après s'être suicidé : il espère atteindre l'immortalité.   

Toutes ces découvertes posent la question de l'avenir de l'homme. Mais quelle sera la transgression suprême qui fera disparaître l'espèce humaine elle-même ? Le docteur Jean-Pierre Dickès, écrivain, spécialiste en bioéthique et auteur d'un précédent ouvrage appelé L'Homme Artificiel, dresse les contours de l'humanité future.



Titre L´ultime transgression - Refaçonner l´homme
Auteur DICKES (Jean-Pierre)
Éditeur CHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution 29 août 2016
Nb de pages 320
EAN 13 9782851901743
Présentation Broché
Épaisseur (en mm) 17
Largeur (en mm) 135
Hauteur (en mm) 210
Poids (en Kg) 0,390

Critique du libraire

2e édition revue, corrigée et augmentée. Préface de la première édition de Jeanne Smits. Dans une démonstration éblouissante, le docteur Dickès accumule les preuves, épingle les faits précis, rapporte les anecdotes (le truquage des statistiques, la mondialisation, l'Europe, etc.), non sans remonter à l'origine du désastre actuel : la contraception en 1967 en France avec la loi Neuwirth. Le deuxième chapitre (70 pages) concerne plus spécialement la procréation médicalement assistée (PMA) et ses conséquences désastreuses à cause du mépris de la vie humaine : - l'expérimentation embryonnaire (cannibalisme). - l'eugénisme (sélection des embryons). - l'euthanasie (sélection des vieillards et des malades). - la recherche insensée de l'ectogénèse : la fabrication de l'être humain totalement en dehors, et de la sexualité et des voies naturelles, actuellement presque réalisable. Avec « l'homme génétique », chapitre court (30 pages) mais plus technique, l'auteur évoque les recherches sur l'ADN qui nous conduisent à la médecine prédictive (là encore eugéniste), aux cellules de synthèse avec la cellule Synthia fabriquée en 2010 par un américain Craig Venter, qui se prend pour Dieu le Père, aux manipulations suspectes : le clonage ou les chimères (fabrication d'embryons mi-homme mi-animal). Le quatrième chapitre (60 pages), c'est « l'homme bionique » : ce qui nous attend... peut-être ! Les manipulations du cerveau, l'immortalité artificielle, la création de robots humains (?), au nom de la maîtrise de l'homme sur la vie, et de l'indéfendable indépendance morale des chercheurs qui veulent s'affranchir de toute entrave morale, juridique ou financière, qui limiterait leurs « recherches ». Cette sacralisation du « chercheur » est inadmissible, parce que ces scientifiques sont tous de purs matérialistes. Même s'ils sont très doués et de haut niveau, ils s'affranchissent de la loi naturelle, du respect de la Création, parce qu'ils nient que celle-ci puisse avoir un auteur (je songe aux grands précurseurs : Jacques Monod, Elisabeth Badinter ou Jean-Pierre Changeux), ils considèrent - contre toute vraisemblance - l'embryon humain comme un matériau banal et la vie humaine dépourvue de qualité surnaturelle. Le côté « Frankenstein » de ce chapitre le rend moins convaincant. Il est plus confus, les arguments, les faits accumulés sont certes exacts, précis, puisés dans la littérature scientifique la plus récente, mais ils sont présentés sans plan directeur bien visible, ce qui nuit à la crédibilité du texte. Cette réserve exprimée, il ne faut pas bouder notre bonheur, il faut lire ce livre qui a le grand avantage d'être d'un abord facile et jamais ennuyeux. Jean-Pierre Dickès a l'art d'expliquer, avec des mots très simples et des comparaisons parlantes, des choses parfois très compliquées. Son livre est une excellente démonstration de ce qui risque de nous asservir plus vite que prévu, si nous n'y prenons pas garde. Surtout il n'oublie pas de souligner la cause et l'auteur premier de toutes ces transgressions - dont « l'ultime » serait la fabrication d'un cerveau artificiel - celui qui est le Menteur dès les origines et « qui rôde dans le monde pour perdre les âmes ». Luc Perrel, dans Lectures Françaises n° 669 (janvier 2013)

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