Russophobie 2.0
Date de parution :
10 oct. 2016
Auteur :
CHIESA (Giuletto)
Éditeur :
LE RETOUR AUX SOURCES (EDITIONS)
EAN 13 :
9782355120732
Nb de pages :
212
Référence interne:
88401
Description
La crise globale dans laquelle est plongée l'Occident est à la fois économique, financière, écologique, morale et politique. Le leadership des Etats-Unis est de plus en plus contesté et l'Union européenne est dans la tourmente.
À ce stade, tout est bon pour éviter de dire la vérité : Oui, le système occidental est moribond et son effondrement est proche. Et quand un pouvoir est fragilisé, il cherche un responsable à désigner à son peuple, un ennemi vers qui détourner une colère qui pourrait, sans cela, s'abattre sur ses dirigeants.
Ainsi, la Russie, de par son opposition répétée aux Etats-Unis depuis l'arrivée de Vladimir Poutine à la tête du Kremlin, a été choisie pour tenir le rôle de bouc émissaire : La guerre en Ukraine, les sanctions économiques, la négation du rôle des russes dans la victoire contre le nazisme, la diabolisation quasi-systématique de la part des médias occidentaux ; tout confirme que c'est bien cette option qui a été prise.
Pourtant, les choses changent. L'intervention de la Russie contre l'expansion de l'Etat islamique et la dénonciation des rôles ambigües de l'Arabie Saoudite, du Qatar ou de la Turquie ont pris de cours la diplomatie occidentale et l'ont conduite à accentuer la propagande antirusse.
Mais l'opinion mondiale est de moins en moins disposée à céder à cette "russophobie".
De nombreux pays dans le monde commencent à se détourner des américains et des européens pour se tourner vers les russes. Car il apparait de plus en plus que la Russie pourrait être la seule puissance capable de faire dévier de la catastrophe finale le train fou de la mondialisation.
À ce stade, tout est bon pour éviter de dire la vérité : Oui, le système occidental est moribond et son effondrement est proche. Et quand un pouvoir est fragilisé, il cherche un responsable à désigner à son peuple, un ennemi vers qui détourner une colère qui pourrait, sans cela, s'abattre sur ses dirigeants.
Ainsi, la Russie, de par son opposition répétée aux Etats-Unis depuis l'arrivée de Vladimir Poutine à la tête du Kremlin, a été choisie pour tenir le rôle de bouc émissaire : La guerre en Ukraine, les sanctions économiques, la négation du rôle des russes dans la victoire contre le nazisme, la diabolisation quasi-systématique de la part des médias occidentaux ; tout confirme que c'est bien cette option qui a été prise.
Pourtant, les choses changent. L'intervention de la Russie contre l'expansion de l'Etat islamique et la dénonciation des rôles ambigües de l'Arabie Saoudite, du Qatar ou de la Turquie ont pris de cours la diplomatie occidentale et l'ont conduite à accentuer la propagande antirusse.
Mais l'opinion mondiale est de moins en moins disposée à céder à cette "russophobie".
De nombreux pays dans le monde commencent à se détourner des américains et des européens pour se tourner vers les russes. Car il apparait de plus en plus que la Russie pourrait être la seule puissance capable de faire dévier de la catastrophe finale le train fou de la mondialisation.
Titre | Russophobie 2.0 |
Auteur | CHIESA (Giuletto) |
Éditeur | LE RETOUR AUX SOURCES (EDITIONS) |
Date de parution | 10 oct. 2016 |
Nb de pages | 212 |
EAN 13 | 9782355120732 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 16 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0,270 |
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