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Le livre noir de Vladimir Poutine

Référence : 125592
3 avis
Date de parution : 10 novembre 2022
EAN 13 : 9782221265383
Nb de pages : 464
24.90
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Description
Le 24 février 2022, en lançant son armée contre l'Ukraine, Vladimir Poutine a pris une décision qui bouleverse l'équilibre politique et économique mondial, et qui aura de tragiques répercussions sur la société russe comme sur l'image du pays. Cette guerre provoque tragédies humaines et immenses destructions matérielles, et pose une question cruciale : qui est Vladimir Poutine, cet homme qui refuse de tirer les leçons de l'effondrement de l'URSS en 1991 et ne rêve que de retour aux frontières de l'empire des tsars et du rétablissement d'un régime utilisant les méthodes totalitaires du stalinisme ? Comment cet Homo sovieticus né à Leningrad en 1952 dans un milieu très modeste a-t-il été formé ? Pourquoi fut-il fasciné très jeune par l'idée " héroïque " de travailler au KGB ? Quelles y furent ses activités jusqu'à l'implosion de l'URSS ? Comment ce modeste lieutenant-colonel a-t-il pu se hisser au sommet du pouvoir dans la Russie post-soviétique ? Pourquoi a-t-il déclenché plusieurs guerres meurtrières ? Pour quelle raison a-t-il fait de la conquête de l'Ukraine une obsession personnelle ? Et même s'il perdait le pouvoir, son régime ne se maintiendrait-il pas ? Autant de questions brûlantes, parmi beaucoup d'autres, auxquelles répondent les plus brillants spécialistes français et étrangers réunis par Galia Ackerman et Stéphane Courtois. 
Galia Ackerman est une historienne et journaliste née à Moscou, spécialiste du monde soviétique et russe, auteure de nombreux ouvrages dont Traverser Tchernobyl et Le Régiment immortel : La guerre sacrée de Poutine (Premier Parallèle, 2016 et 2019). Stéphane Courtois est historien du communisme et maître d'oeuvre, notamment, du best-seller mondial Le Livre noir du communisme (Robert Laffont, 1997).
Son dernier ouvrage,
Lénine, l'inventeur du totalitarisme (Perrin, 2017), a reçu le Grand Prix du livre d'histoire décerné par la chaîne Histoire et Le Figaro histoire ainsi que le Grand Prix de la biographie politique du Touquet.
TitreLe livre noir de Vladimir Poutine
Auteur COURTOIS (Stéphane) , WERTH (Nicolas) , ACKERMAN (Ga
ÉditeurROBERT LAFFONT (EDITIONS)
Date de parution10 novembre 2022
Nb de pages464
EAN 139782221265383
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)31
Largeur (en mm)155
Hauteur (en mm)242
Poids (en Kg)0.59
Critique du libraire
Ouvrage dont notre librairie ne partage pas une bonne partie des avis ainsi que ceux de Bernard Antony d'ailleurs. Mais nous poursuivons notre route avec le "Pas d'ennemis à droite" ; des avis critiques oui mais c'est tout ! car il est normal que nos correspondants puissent se documenter.
Les avis clients
Lt.colonel,ancien professeur d'histoire à l'Ecole supérieure de guerre
3/5 Jean de Préaudet
La présentation de ce livre est partiale. Elle inverse les rôles.Poutine est l' envahisseur, et l'Ukraine la victime. La Fédération de Russie, héritière de l'URSS, de l'Empire russe né à... KIEV au Xe. siècle, ne serait plus chez elle en Ukraine? Les centaines de chars T72 visibles pendant 30 ans sur les aires bétonnées du Donbass auraient été construits par les Ukrainiens? Les gros porteurs Tupolev montés dans la banlieue sud de Kiev devraient leur premier rang mondial au génie des ingénieurs ukrainiens, comme les six centrales nucléaires restées mystérieusement intactes, comme les deux gazoducs dont l' un continue à enrichir l'Ukraine et l'autre a été coupé dans la Baltique par des saboteurs anglo-suédois? Enfin, c'est l'Ukraine qui aurait construit à Sébastopol(du grec ville auguste, impériale) la plus puissante forteresse du continent européo-asiatique? Pour la conquérir, en 1856, il ne fallut pas moins qu' une armée franco-anglaise de 180 000 hommes, un an de siège,et de lourdes pertes. Aucun témoin de ces combats ne signale la présence d'une armée ukrainienne. La paix signée, c'est la Russie qui a repris sa précieuse base navale. La brusque décomposition de L'Union soviétique a débouché sur une longue période d'anarchie. Les Etats-Unis emportés par leur rêve obsessif de domination mondiale ont tenté de tuer dans l'oeuf toute ébauche d'un nouvel empire russe, pourtant visible dans la fragile Fédération de Russie. Un "simple lieutenant-colonel" peut-être, mais un homme d'Etat, capable de gouverner dans la durée, est en train de restaurer l'Empire russe et la foi orthodoxe. Quel contraste avec l'essaim de nabots à courts rayons d'action dont les noms, grâce à Dieu, retourneront au néant.
Un livre à charge ...
3/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. Dans le n°70 de la Nouvelle Revue Universelle, Pascal Cauchy, agrégé d’histoire et ancien attaché à l’ambassade de France à Moscou, critique l’ouvrage dirigé par Stéphane Courtois et Galia Ackerman et intitulé Le Livre noir de Vladimir Poutine. Extraits : LE LIVRE NOIR DE POUTINE est, comme son titre l'indique, un livre à charge. A peine un pamphlet, plutôt une succession d'articles hétéroclites, dont chacun à sa manière, est supposé rendre compte de l'émergence et du fonctionnement d'un régime hautement criminel. C'est le but que se sont fixé les deux coordonnateurs, Stéphane Courtois et la journaliste israélienne Galia Ackerman. Sur plus de 450 pages on nous inflige la litanie des méfaits du régime " poutinien ". Cela ressemble à une belle compilation journalistique, un peu en désordre. Pour que l'intention des auteurs soit sans équivoque, le vocabulaire est choisi : " un régime (...), osmose entre les services spéciaux et la pègre ", " un Etat de tueurs ", " une population frustrée "... Que la Russie connaisse un système autoritaire, cela n'est guère une nouveauté ; que la violence d'Etat en soit une composante, non plus. Les guerres en Tchétchénie ont leur part d'horrible brutalité. Mais nous ne saurons rien de la société russe post-communiste. Des méfaits d'un libéralisme à outrance, rien n'est dit. Les vrais enjeux stratégiques sont ignorés. Passons sur les considérations banales, et discutables, sur les mérites démocratiques des " révolutions orange " dans les pays périphériques, mouvements " spontanés " , animés par la volonté de " rejoindre les valeurs de l'Europe ".. Passons sur le rôle " apaisant " de l'OTAN. Nous avons là une ligne directrice : la Russie est un Etat consubstantiellement mafieux et criminel et un danger mondial. Pourquoi ? C'est là que l'intention des auteurs est franchement discutable. Poutine ne serait rien d'autre que cet ancien du KGB, pur produit du bolchevisme de Lénine, avec ses méthodes et surtout sa " psychologie ". Ses mauvaises habitudes seraient exacerbées par des lectures sulfureuses de philosophes slavophiles et de nationalistes débridés. On imagine bien l'homme du Kremlin tel Descartes dans son poêle, s'abandonnant au doux plaisir de la lecture, en série, dans le calme de son salon. Le cœur de la démonstration est simple : le Pouvoir russe est détertminé par son passé communiste mis à jour par un nationalisme ombrageux. Il est conditionné par des habitudes ancrées dans le léninisme et les méthodes criminelles forgées sous Staline. " Tchékiste un jour, tchékiste toujours ", affirme un des auteurs. Est-il besoin de souligner ce que cette démonstration par la psychologie a de superficiel, voire de malhonnête ? C'est faire peu de cas de trente ans qui nous séparent de la fin du communisme, comme si le monde russe était resté immobile. C'est ne rien comprendre aux effets catastrophiques du libéralisme forcé des années 1990, à ses conséquences sociales, économiques et culturelles. C'est aussi passer sous silence le rôle et les intérêts de l'Occident prompt à moquer les " oligarques " russes mais à accepter leur argent, leur gaz et leur pétrole. ( pour la suite voir le numéro 70 de la Nouvelle Revue Universelle. ) [ Proposé Par Michel Janva le 18 février 2023 ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d'âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c'est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l'actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l'appliquer dans la société actuelle. 2ème PS :Vous pouvez retrouver La Nouvelle Revue Universelle sur Le Club de la Presse.
Un immense péril n'en n'efface pas toujours certains autres !
2/5 http://www.bernard-antony.com/
.----. Un quart de siècle après « Le Livre noir du communisme » voici que Stéphane Courtois, le maître d'œuvre de cet ouvrage (en collaboration avec Nicolas Werth et autres) vient de cosigner avec Galia Ackerman « le Livre noir de Vladimir Poutine ».  Dix autres auteurs (historiens et politologues, français ou russes) ont participé à cet ouvrage structuré en trois titres (« chronique d'une dictature annoncée », « vers une politique de déstabilisation et d'agression », « voies et moyens de la toute puissance ») et vingt et un chapitres.  Ce livre important (452 pages) est une mine de connaissances sur l'actuel puissant maître du Kremlin et ses politiques et sur les gigantesques moyens de destruction massive dont dispose l'armée russe à ses ordres.  Ceux-ci sont remarquablement exposés par l'historienne, agrégée de russe, Françoise Thom dans son article intitulé : « Les piliers de la politique étrangère poutinienne : recrutement, racket et chantage », et surtout, dans les pages sous-titrées : « Les armes de l'apocalypse et la projection de la terreur à l'étranger ».  On ne ressort pas sans appréhension de la lecture d'extraits significatifs, parfaitement référencés, de ces médias russes (SvPressa, Ria Novosti, etc.) où de véritables forcenés, de la fin des temps se délectent à l'évocation des anéantissements de pays entiers que permettrait l'emploi des missiles derniers cris (Sarmat-Satan, Poséidon.)  Avant d'exposer que le péril poutiniste n'est pas le seul, il nous paraît nécessaire de dire aussi, quelle que soit notre considération pour ce livre noir, que nous ne sommes pas sur la ligne des « valeurs » de Galia Ackerman lorsque, en fin d'ouvrage, dans l'avant-dernier chapitre (21) (« une société pseudo-conservatrice qui marche à reculons ») elle ne dissimule pas, en quelque sorte a contrario, sa sympathie pour le mouvement LGBT lorsqu'elle évoque la lutte du régime contre ce mouvement « présenté comme l'expression d'un Occident « pourri » ».  Car, la Russie, avec le nombre de ses avortements, avec ses mœurs sociétales et sans oublier sa criminalité d'Etat et ses pratiques de corruption, n'est pas moins pourrie que l'Occident !  Bref, ce n'est pas parce que nous dénonçons le régime dictatorial et criminel de Poutine que nous défendrions ce que sa propagande sait cyniquement utiliser.  Enfin, si le péril du bellicisme poutinien est certes immense, il ne saurait nullement faire oublier les immenses dangers que constituent la Chine rouge, la Corée du Nord, et l'Iran islamiste, les trois autres de la « bande des quatre » formée avec la Russie.  Mais surtout, à terme, le génocide français, spirituel et moral, culturel et démographique, menace de mort notre peuple autant que les missiles de Poutine. [ Publié le lundi 21 novembre 2022 par http://www.bernard-antony.com/ ]