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Pourquoi l´Alvarium - D´une politique antinaturelle à la sécession

Référence : 123257
2 avis
Date de parution : 1 janvier 2022
Éditeur : L'ALVARIUM
EAN 13 : 0000001232578
Nb de pages : 152
13.50
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Description
Petit centre d'action culturelle et sociale à l'origine de diverses initiatives (de l'Anjou jusqu'à l'autre bout du monde), l'Alvarium a chamboulé la vie politique angevine, causant de multiples manifestations, la démission d'une responsable France Insoumise tombée amoureuse d'un militant, celle d'un maire élu depuis presque 30 ans, la fin des subventions aux antifas etc. Sujet d'une multitude d'articles et de reportages, la communauté angevine a fini par préoccuper le Ministre de l'Intérieur lui-même, qui a décidé arbitrairement sa dissolution à la fin de l'année 2021.
Simple institution humaine, l'Alvarium compte évidemment son lot d'échecs, d'erreurs, de déceptions et d'imperfections ; l'Eglise elle-même est loin d'en être exempte ! Mais en 4 années d'existence, cette organisation a connu une trajectoire unique sur la scène militante européenne. L'auteur de ces lignes ne prétend pas avoir tout inventé ; beaucoup d'initiatives présentées ici avaient eu des précédents partout en Europe, parfois longtemps avant l'Alvarium et de manière plus abouties. Mais un peu plus de 200 ans après l'Armée Catholique et les chouanneries, l'Anjou semble être redevenu un laboratoire de révolte contre le monde moderne, qui a diffusé certaines méthodes et certaines idées.
Pourquoi cette fièvre sécessionniste et cet élan communautaire à l'heure de la société liquide ? Bilan des années écoulées, pamphlet, réflexions sur la droite et le sécessionnisme ; l'opuscule que vous allez lire est un peu de tout cela et tente d'expliquer un phénomène qui dépasse largement le cadre militant. 
Cofondateur de l'Alvarium, père de famille et indépendant, Jean-Eudes Gannat est un militant enraciné en Anjou. Il signe ici son premier ouvrage.
TitrePourquoi l´Alvarium - D´une politique antinaturelle à la sécession
Auteur GANNAT (Jean-Eudes)
ÉditeurL'ALVARIUM
Date de parution1 janvier 2022
Nb de pages152
EAN 130000001232578
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)8
Largeur (en mm)148
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.29
Les avis clients
Sécession d’avec l’Etat ?
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. A l’occasion de la sortie de son ouvrage Pourquoi l’Alvarium ? D’une politique antinaturelle à la Sécession, nous avons interrogé Jean-Eudes Gannat : D’où vient ce nom, Alvarium ? L’Alvarium signifie “Ruche” en latin. Notre démarche se voulait discrète comme le sont les abeilles qui butinent sans faire de bruit. Pour la discrétion, disons que ça a été loupé. Pour le reste, je crois que nous pouvons nous targuer d’avoir travaillé sérieusement. Votre association a été dissoute par le gouvernement. Qu’est-ce qui justifie cette mesure ? L’Alvarium, combien de divisions pour faire peur ainsi au régime ? Officiellement, nous serions des propagateurs de haine raciale, adeptes de la violence et poussant à la guerre civile, prônant un séparatisme d’avec les lois de la République. Évidemment, la ficelle est un peu grosse, et les arguments de haine raciale invoqués contre nous sur la base de notre opposition à l’immigration pourraient être utilisés pour dissoudre tout parti de droite, jusqu’aux Républicains. En revanche, il est vrai que nous avons mis en place une forme de séparatisme. L’Alvarium regroupe 20 à 30 militants actifs, participant à nos activités sociales et politiques chaque semaine, ainsi qu’environ 150 adhérents fréquentant les lieux, faisant des dons, participant à diverses activités. Avant l’émergence du phénomène Zemmour, c’était en Anjou la première organisation militante de jeunesse, loin devant les partis mainstreams. Mais l’Alvarium, ce sont aussi des initiatives humanitaires (Solidarité Arménie), spirituelles (Anjou Pèlerinage) culinaires (Cercle Ragueneau) etc. Et l’ouverture de lieux ; centre d’action culturelle et sociale, salle de sport. C’est cette dynamique communautaire -communautariste- qui a effrayé le gouvernement. Celui-ci tolère tout-à-fait des zones de non-droit extra-européennes ; mais que des communautés françaises tentent d’échapper à son totalitarisme, le revendiquent et en fassent un cap politique lui déplaît fortement. Certains journalistes locaux ont oeuvré ouvertement à notre persécution politique. Et puis disons-le ; nous avons été victimes d’un agenda électoral bien précis. Pour justifier aux yeux de l’extrême-gauche la dissolution de quelques associations islamistes, Darmanin a tapé sur nous. C’est le fameux en même temps ; “nous luttons contre le terrorisme et EN MÊME TEMPS nous continuons à persécuter ceux qui proposent les vraies solutions pour en sortir”. Il préparait l’entre-deux tours pour rallier les mélenchonistes. Dans votre ouvrage, vous appelez à la sécession, allant jusqu’à reprendre quelques symboles de l’Armée sudiste. Mais cette sécession est-elle seulement possible ? Je pense qu’elle est non seulement possible, mais surtout qu’elle est indispensable si nous voulons continuer à demeurer ce que nous sommes ; catholiques, français, européens. Si nous ne faisons pas Sécession d’avec l’Etat et le système en général (médias, grandes enseignes), nos enfants seront pris en étau entre l’immigration massive, son ultraviolence, sa religion dominante, et le progressisme woke. Je ne veux personnellement ni d’une fille voilée, ni d’un enfant transgenre. Faire Sécession ne signifie pas vivre en ermite dans une grotte, mais de comprendre que le système est contre nous sous toutes ses formes (éducation, élections etc.) et de se donner les moyens de résister collectivement par des réseaux communautaires solides ; écoles, entreprises, paroisses, locaux associatifs et politiques, commerces. C’est l’unique moyen de faire ensuite suffisamment peur aux dirigeants politiques de ce pays, et d’attirer à nous nos compatriotes qui veulent ou peuvent être sauvés. C’est ce qu’ont fait avant nous ceux qui nous dominent actuellement ; islamistes, mouvements LGBT, réseaux financiaro-communautaires. Ceci nécessite forcément des sacrifices financiers, professionnels, sociologiques ; mais c’est l’unique solution. On ne sauve pas un pays de la décadence en se contentant d’aller voter. D’ailleurs si l’on considère la démographie française, on voit bien que le Grand-Remplacement interdira bientôt tout espoir de salut par les urnes. En revanche, les dernières élections montrent que ce que j’appelle la “sociologie du villiérisme”, c’est-à-dire la bourgeoisie conservatrice, a évolué en nombre et en “qualité” si j’ose dire. En nombre : elle est passée d’environ 4% des votants à au moins 7%-8% (scores Zemmour/Bellamy) en 15 ans. J’y vois une dynamique démographique claire des milieux catholiques. Et encore, cette idée ne prend pas en compte ceux qui votent directement RN par conviction ou vote utile, et qui sont très nombreux. En qualité : cette fraction conservatrice était jusqu’ici l’éternelle supplétive de la fausse droite, soit par aveuglement et religion de la “modération”, soit par réflexe de classe. Il semble que les Manifs Pour Tous aient contribué à une prise de conscience et à une droitisation bénéfiques, surtout dans les plus jeunes générations. Si l’on met ce constat en parallèle avec l’évolution de l’Eglise de France au sein de laquelle le clergé progressiste meurt tandis que les nouveaux prêtres ordonnés sont majoritairement conservateurs voire traditionalistes, on peut espérer que dans 10 ans, le vote conservateur et ou tradi pèsera quelque chose aux alentours de 10-12%. Si cette importante minorité, majoritairement aisée financièrement et culturellement, décide de faire sécession radicalement tout en acceptant de s’engager publiquement (et pas uniquement sur les sujets bioéthiques qui sont hélas inaudibles pour beaucoup de nos compatriotes), je pense que bien des choses sont possibles. Il faut paradoxalement se communautariser ET sortir de l’entre-soi sociologique. Vous avez été candidat indépendant en 2020 pour une législative partielle puis en 2021 pour les départementales. En politique aussi faut-il faire sécession des partis ? Les partis sont de formidables moyens de faire passer des idées aux masses, donc je ne veux pas blâmer ceux qui s’y engagent. Mais il faut être conscient que toute l’énergie dépensée à plaire au sein du parti pour que le parti plaise aux médias afin de pouvoir plaire enfin aux électeurs pourrait parfois être dépensée autrement. Eric Zemmour a beaucoup blâmé la dédiabolisation de Marine Le Pen, son abandon des fondamentaux. Sur ce point, il avait raison. Mais fera-t-il différemment ? Le journaliste Zemmour réclamait l’abrogation de la loi Taubira ; le candidat Zemmour n’osait déjà plus, alors que ceci n’aurait absolument pas dérangé son électorat conservateur, ni les masses populaires qu’il n’a par ailleurs pas réussi à convaincre. C’était pour plaire aux médias. Je pense que les ambitions nationales les plus sincères finissent toujours étouffées par le cadre républicain et médiatique jacobin. C’est pourquoi nous ferions mieux de privilégier l’enracinement local et les scrutins de proximité, durant lesquels il est possible d’avoir des professions de foi 100% en accord avec nos idées qui sont distribuées par l’Etat à tous les électeurs. Électeurs qu’il est possible de rencontrer et de convaincre en direct. Avant d’être dissouts dans le FN puis le RN, c’est ce que faisaient les Identitaires, atteignant parfois 8% des voix exprimées avec des idées très radicales ! Les Bompard et d’autres montrent d’ailleurs qu’on peut réussir en restant relativement libres. Mes deux candidatures indépendantes n’ont pas connu le même succès ; mais je n’avais ni moyens, ni enracinement suffisant pour le moment. Cependant elles ont été l’occasion de rencontrer et de convaincre des gens venus d’horizons totalement différents, à ma grande surprise. Et de réunir des centaines de voix malgré un pilonnage antifa, médiatique et judiciaire assez intense, obtenant des scores supérieurs à ceux, localement, de partis nationaux comme Debout La France. [ Signé : Michel Janva le 2 mai 2022 pour le Salon Beige ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? - Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d’âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c’est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l’actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l’appliquer dans la société actuelle. Fidèles au Pape, au Magistère de l’Eglise, nous voulons travailler au Bien commun de la société en informant nos lecteurs sur l’actualité, vue au regard de la doctrine sociale de l’Eglise. Le directeur de la publication est Guillaume de Thieulloy. Adresse : Tour CIT, 3 rue de l’Arrivée, 75015 Paris.
Angers : La contre-révolution rénovée au XXIe siècle
3/5 http://synthesenationale.hautetfort.com/
.----. À l’automne 2021, cible d’une infâme campagne de dénigrement violent entretenue par les antifas, la préfecture et la municipalité (angevine) du dénommé Christophe Béchu, une communauté culturelle et sociale appelée l’Alvarium se voit dissoudre par le gouvernement. Cette dissolution honteuse n’empêche pas l’une des figures de proue de la « ruche » d’Angers, Jean-Eudes Gannat, de publier Pourquoi l’Alvarium. D’une politique anti-naturelle à la sécession (2021, 152 p.). Infatigable défenseur de la cause nationale et angevine, Jean-Eudes Gannat appartient à une famille d’impeccables Français. En cette terre de l’Ouest où plane toujours le souvenir des massacres de 1793 – 1794 malgré une propension certaine de la population à se donner des élus macroniens, les militants de l’Alvarium rénovent l’activisme contre-révolutionnaire. Contre la malbouffe industrielle et américanisée se crée le Cercle Ragueneau. Pour préserver les paysages, les églises et les villages de caractère agit Anjou Patrimoine. Le conflit dans le Caucase entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan au sujet de l’Artsakh suscite l’ONG Solidarité Arménie. L’éphémère Ruche du Septième Art organise quelques soirées cinématographiques non conformistes. Le groupe cultive pendant plusieurs mois un potager dont les produits reviennent ensuite aux SDF au cours des maraudes. Anjou Pèlerinages relance les pèlerinages locaux. À côté du catéchisme, l’Alvarium propose des leçons d’italien, de guitare et des activités physiques dans une salle de sport. L’engagement politique n’est pas oublié avec une belle candidature aux élections départementales en 2021. Jean-Eudes Gannat avoue volontiers que certaines des initiatives de l’Alvarium se heurtent à la réalité. Il y a par exemple l’occupation non conforme d’un immeuble vétuste de la rue Thiers d’Angers surnommé le « localo ». Une fois réhabilitée, la maison accueille des sans-abris que la vie dans la rue a complètement désocialisés. Cette présence soulève l’indignation de la presse locale et entraîne l’expulsion finale de ses habitants. À Lyon, un tribunal vient au contraire d’approuver l’occupation illégale d’un bâtiment par de supposés « mineurs étrangers isolés » dont certains sont au moins trentenaires… Entre Génération Identitaire au recrutement CSP + et le Bastion social nationaliste-révolutionnaire assumé, l’Alvarium développe une « troisième voie » au sein du tercérisme français. Si cette sympathique structure militante aux références chrétiennes explicites se réclame de Dominique Venner, elle « affirme son refus du chauvinisme jacobin, son refus du nationalisme étriqué, du souverainisme désincarné ou du racialisme bas de front ». Elle applique l’« intersectionnalité » des questions identitaire, sociale et écologique. Pour l’auteur, « la plupart des maux du monde moderne seraient sérieusement combattus si chacun cultivait son bout de terre ». La principale nuisance idéologique demeure la décadence républicaine. Par son histoire et ses pratiques, « la République, c’est la haine ». Jean-Eudes Gannat voit dans cette abomination historico-politique « un régime destructeur de société et producteur de haine ». Ses abjectes valeurs tant encensées par les organes médiatiques d’occupation mentale transforment l’honnête homme en homoncule démocratique. L’auteur ne craint pas de se mettre à dos tous les adeptes des dyssexualités et autres dysdingueries… Toutefois, il ne se veut pas « anti-républicain », mais plutôt « a-républicain » comme il ne faut pas être « anti-moderne » ou « contre-moderne », mais « a-moderne »… L’objectif de l’Alvarium est de « vivre selon nos normes, atteindre un maximum d’autonomie (alimentaire, économique, etc.). Ni citoyens, ni consommateurs frustrés ». Au sempiternel slogan « Ni gauche ni droite » qui résume le rejet simultané du libéralisme et du marxisme, l’Alvarium incite au séparatisme, ce qui fait de ce livre un excellent complément à Sécession de Yann Vallerie .... Jean-Eudes Gannat théorise ainsi l’inévitable séparation qui « doit connaître plusieurs étapes, ou plusieurs niveaux indépendants; communautarisation intégrale, imposition de nos idées dans le champ politique, pression sur la droite jusqu’à ce qu’elle devienne de droite (donc sécessionniste), et enfin prise de pouvoir “ par tous les moyens, même légaux “ ». En dépit de l’interdit ministériel, l’Alvarium poursuit chaque jour sa manière d’être originale et réfractaire, car nul ne peut empêcher les rencontres quotidiennes, les invitations réciproques, les communautés affectives immédiates. L’Alvarium et ses membres assurent en effet avoir le cœur chouan et l’esprit sudiste. Cette affirmation sympathique reste néanmoins incomplète. Notre civilisation européenne se fonde sur l’idée ternaire. Au cœur chouan et à l’esprit sudiste, proposons-leur le corps spartiate afin que leur incroyable ruche n’en finisse pas de bourdonner aux oreilles du politiquement correct hexagonal cosmopolite ! Salutations flibustières ! [ Signé : Georges Feltin-Tracol le vendredi 1 juillet 2022 ] PS : SYNTHESE NATIONALE est un site d'information sur le combat national. Régulièrement, il diffuse des notes et des communiqués, parfois publiés dans des médias hostiles à nos idées, destinés aux militants et aux sympathisants de la cause nationale. Il contribue ainsi au vaste mouvement de rassemblement des forces patriotiques et identitaires tant souhaité et si nécessaire pour le redressement de la France, de l'Europe et de notre Civilisation.