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Les nouveaux prédateurs - Antispécistes, militants végan, écologistes radicaux... - Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux

Référence : 121821
1 avis
Date de parution : 24 février 2022
EAN 13 : 9782749172774
Nb de pages : 156
16.00
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Description
Protéger les animaux, leur assurer des conditions de vie décentes, consommer autrement en respectant notre environnement... Qui serait en désaccord avec ces principes fondamentaux ? Mais, on le sait, l'enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Aujourd'hui, les activistes antispécistes et les militants écologistes les plus radicaux détournent ces idées partagées par le plus grand nombre.
Animés par une idéologie radicale, convaincus que l'intimidation peut remplacer l'échange démocratique, ils imposent, peu à peu, leur vision du "meilleur des mondes" : une société dans laquelle l'homme et l'animal seraient égaux en droits. Cette rupture philosophique ne peut être que dramatique, pour les humains mais aussi et surtout pour les animaux dont l'existence dépend en grande partie de nous.
Avec cet essai passionné, Charles-Henri Bachelier, spécialiste du monde rural et directeur de revues consacrées à la chasse et la nature, veut rétablir le débat et sortir des anathèmes. Argument contre argument, il met en lumière les limites et les dérives de la mouvance animaliste. Au fil des pages, il rappelle que la relation entre l'homme et l'animal est plus complexe qu'une accumulation de bons sentiments ou de slogans menaçants : il s'agit d'un lien fondamental, reposant sur des siècles de compréhension, de savoir-faire...
bref, de civilisation. Un héritage que ce livre nous aide à mieux comprendre et à protéger.
TitreLes nouveaux prédateurs - Antispécistes, militants végan, écologistes radicaux... - Comment ils menacent les hommes sans protéger les animaux
Auteur BACHELIER (Charles-Henri)
ÉditeurCHERCHE MIDI (EDITIONS DU)
Date de parution24 février 2022
Nb de pages156
EAN 139782749172774
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)16
Largeur (en mm)141
Hauteur (en mm)211
Poids (en Kg)0.23
Critique du libraire
Un essai engagé qui met en évidence les dérives de l'écologie radicale et des militants antispécistes.
Les avis clients
Pourquoi me dicter le contenu de mon assiette ?
4/5 https://www.francisrichard.net/
.----. Chacun est libre de choisir l'alimentation quand il en a les moyens. Ainsi, je ne vois pas pourquoi quelqu'un me dicterait ce que doit contenir mon assiette. Pourtant c'est ce que veulent faire les antispécistes, militants végans et écologistes radicaux. Charles-Henri Bachelier est omnivore et entend le rester. C'est pourquoi il s'oppose à tous ceux qui, militants jusqu'au-boutistes, se révèlent être Les nouveaux prédateurs. LA LIBERTÉ INDIVIDUELLE L'auteur est profondément attaché à la liberté individuelle qui lui semble être le socle inamovible de toute société, de tout régime politique raisonnable et juste. Ces prédateurs s'y opposent, menacent les hommes et ne respectent pas la nature profonde de l'être humain. Ayant fait le choix de ne pas consommer de protéines animales, ils voudraient que personne n'en consomme. C'est ainsi qu'au végétalisme paisible et respectueux d'autrui, a succédé le véganisme, ses opérations coups de poing et ses opérations de communication. RACINES DU VÉGANISME Le véganisme est enfant de l'antispécisme, l'idée fondatrice, et de l'animalisme, la manière concrète de l'appliquer : - L'antispécisme prône qu'il n'existe pas d'espèces différentes, mais une espèce unique peuplant la Terre. - L'animalisme revendique des droits égaux pour l'homme et pour l'animal, mettant ainsi les deux sur un pied d'égalité totale. LA SOUS-ESPÈCE HUMAINE La mise en place du projet de société animaliste repose sur le changement radical des êtres vivants ou de leur éducation afin de rendre responsables des animaux qui par essence sont irresponsables. La conséquence de cette impossible mise en place est que seuls les hommes auraient des devoirs, ce qui signifie qu'ils seraient une sous-espèce. En effet les autres animaux pourraient être prédateurs, sans qu'il faille le leur reprocher puisqu'ils s'autoréguleraient. LA HAINE DU GENRE HUMAIN Quelle que soit l'approche de ces radicaux, dont les mondes politique et médiatique se font les relais complaisants, l'homme est pour eux haïssable: - S'ils considèrent l'homme comme un être supérieur, celui-ci devrait comprendre qu'il ne doit pas s'immiscer dans le fonctionnement de la nature qui marche si bien sans lui. - S'ils considèrent l'homme comme un être perverti et minable, celui-ci devrait renoncer à s'immiscer dans la nature qui est un absolu, qui est pure et parfaite, et qu'il ne peut que souiller. C'est pourquoi, sans souci de la nature omnivore de l'homme, que donc ils bafouent, agissant ainsi contre la vie même, ils veulent le rendre végétalien malgré qu'il en ait. TOUT HOMME EST UNE CIBLE Les cibles de ces radicaux ont été les chasseurs puis les éleveurs, dont ils ne comprennent pas, ou n'admettent pas, qu'ils puissent aimer les animaux d'une autre manière que lorsqu'ils aiment des êtres humains. Les prochaines cibles seront les propriétaires d'animaux de compagnie puisque ceux-ci vivent dans la servitude. Il s'agit en fait d'empêcher toutes interactions entre les êtres humains et les autres animaux. LE BON ET LE MAUVAIS CAPITALISME Le bon capitalisme, pour ces soi-disant anticapitalistes, est celui qui peut réaliser leurs chimères. Le mauvais, c'est celui qui permet d'épargner des vies humaines, voire animales, tels que les laboratoires pharmaceutiques. Le bon capitalisme, auquel ils sont liés, s'est donné pour objectif de substituer une alimentation artificielle à l'alimentation naturelle, notamment de produire des protéines animales sans animaux: c'est la viande cellulaire. Quand ces radicaux s'en tiennent à un strict régime alimentaire végan - ni viande, ni poisson, ni oeufs, ni lait, ni produits laitiers -, ils ont des carences, notamment en vitamine B12, pourtant essentielle au métabolisme : Aucun végétalisme ou véganisme n'est possible sans l'apport de B12 de synthèse. LA MORT NOURRIT LA VIE Aucun être vivant ne peut subsister sans tuer, même passivement. Dans la nature, à laquelle il appartient, l'homme a toutefois une spécificité : Si nous pouvons penser l'humain ou l'animal, nous préoccuper de son état, c'est parce que nous sommes depuis des temps immémoriaux des omnivores et donc des carnivores. Si nous ne consommions plus de protéines animales, nos facultés mentales diminueraient et nous redeviendrions des grands singes qui à terme ne se poseraient plus de questions métaphysiques. UNE ALTERNATIVE CARICATURALE ET DÉPRIMANTE À écouter les écoradicaux, il n'y aurait qu'une alternative : - ou accepter leurs solutions: véganisme radical en entrée, viande cellulaire en plat de résistance ; - ou sombrer dans l'écoanxiété si on ne les accepte pas, car, alors, on condamne le monde à sa perte. CONCLUSION Pour en sortir, l'auteur propose de revenir aux fondamentaux : - liberté en laissant à l'être humain le choix de se nourrir comme il l'entend, ce qui vaut pour les végétariens ou les végétaliens, même si leur choix est nuisible à leur santé ; - égalité en n'interdisant pas à l'être humain, un animal très évolué, ce que l'on autorise aux autres êtres vivants; - fraternité en considérant l'homme comme la priorité absolue de toute action, de toute décision, avec pour corollaire de prendre soin de son biotope. PS : Publié le 16 mai 2022 par Le blog de Francis Richard "Semper longius in officium et ardorem" - Ce blog se veut catholique, national et libéral. Catholique, il ne s'attaque pas aux autres religions, mais défend la mienne. National, il défend les singularités bienfaisantes de mon pays d'origine, la France, et celles de mon pays d'adoption, la Suisse, et celles des autres pays. Libéral, il souligne qu'il n'est pas possible d'être un homme (ou une femme) digne de ce nom en dehors de l'exercice de libertés.