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Le fils d´un roi - DVD - Un film de Cheyenne-Marie Carron

Référence : 112950
1 avis
Date de parution : 18 février 2020
Auteur : DVD , CARRON (Cheyenne)
EAN 13 : 3760166347834
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Description
Enfant d'ouvriers, Kevin, 17 ans, reconsidère la société et ses injustices quand son meilleur ami Elias lui parle des bienfaits de la monarchie dans son pays d'origine. La réflexion des deux lycéens à l'occasion d'un exposé d'Histoire les confrontera à de nombreux réfractaires, mais aussi à la découverte de l'héritage réel de la Monarchie Française.
Les avis clients
Critiques dithyrambiques ?
5/5 https://www.vexilla-galliae.fr
.----. Il y a deux ans, Cheyenne-Marie Carron sortait Le Fils d’un Roi (2019). L’Institut de la Maison de Bourbon (IMB) et l’Union des Cercles Légitimistes de France (UCLF), qui s’en étaient faits les parrains, louaient alors « un film réussi qui fait mouche […], servi par des acteurs tout simplement excellents par leur authenticité et le ton juste. » Au vu du sujet et des critiques dithyrambiques, nous nous étions promis de visionner l’œuvre suscitée. Il faut dire que L’Apôtre, sorti en 2014, nous avait déjà semblé intéressant et agréable. Toutefois deux ans avaient passé et nous n’avions toujours pas vu Le Fils d’un Roi. Désormais, c’est chose faite, et nous n’en sommes pas sorti déçu. Le décor est planté dès les toutes premières images du film, l’action se déroule dans la banlieue parisienne, au milieu des tags et du bitume. Les Français existent encore mais se font rares. Dans une salle de classe de lycée professionnel, un professeur d’histoire termine sa leçon sur la Révolution de 1789, « grande source de progrès », et propose à ses élèves un exposé sur le sujet. Toutefois, tous ne sont pas dupes. Majoritairement noirs et arabes, beaucoup d’entre eux connaissent et aiment les sociétés traditionnelles dont ils sont originaires, ainsi que leurs religions. Certains d’entre eux, comme Élias, ne peuvent accepter le mépris (inconscient) dont fait preuve leur enseignant vis-à-vis de la royauté marocaine et montrent leur hostilité vis-à-vis de la mère des révolutions : « tuer le Roi comme vous l’avez fait, c’est comme tuer Dieu ! » Kévin — prénommé d’après Kevin Costner —, fils d’un petit artisan et d’une ancienne ouvrière polyhandicapée, souffrant d’un manque d’horizon, de spiritualité et de racines, est admiratif du discours d’Élias et lui propose de faire l’exposé avec lui. Commence ici le début d’une grande et forte amitié ! Élias, bien que marocain et attaché à son pays d’origine, est aussi un fervent amoureux de la France et de l’Occident. Dans sa chambre, aux photos du roi du Maroc, se mêlent de façon très éclectique des portraits du roi Philippe Auguste, de Louis XX, du dit comte de Paris (c’est dommage, les personnages principaux du film, comme la cinéaste, se refusent à choisir entre légitimisme et orléanisme), de Brigitte Bardot, de Clint Eastwood… D’origine très modeste, les deux amis sont de prime abord fascinés par l’extraordinaire dimension sociale de la royauté Très Chrétienne. Enfants de leur temps, ils sont aussi attachés à la modernité des monarchies actuelles. Durant leur chemin politique et spirituel, ils sont souvent confrontés aux clichés et à la méconnaissance qu’entretiennent nos contemporains sur la royauté, mais ils rencontrent aussi, parfois à leur grand étonnement (et au nôtre), des adultes qui les poussent à continuer leur réflexion en ce sens (tels la mère d’Élias, le collègue du père de Kévin ou leur enseignante en mathématiques). Ces rencontres sont-elles hasardeuses ? Pour Élias, « le hasard n’est que l’ombre de Dieu » ! Évidemment, la plupart des professeurs ne peuvent comprendre la soif « de beauté, de grandeur et de sacré » qui touche les deux jeunes hommes. Les élèves, eux, sont plus bienveillants à l’égard de leurs camarades et les soutiennent à plusieurs reprises, notamment lorsque leur exposé se voit « censuré » car jugé trop « prosélyte » et favorable à la monarchie. Nos deux héros peuvent-ils nier ce biais ? Non, évidemment, leur but était clairement affiché, d’ailleurs. Rappeler la lutte des rois de France contre les lobbys d’argent et l’usure : blasphème pour l’Éducation nationale ! Heureusement, ils ont été arrêtés avant de pouvoir évoquer trop longuement la loi Le Chapelier contre les corporations ! Mais rapidement, Élias, Kévin et leurs soutiens voient l’École publique et ses représentants se monter contre eux : « leurs valeurs sont incompatibles avec les nôtres » rappelle le proviseur à la mère d’Élias. Quelques rares professeurs se lèvent tout de même : leur rôle est-il de faire avaler à leurs élèves leurs propres convictions, une « vérité officielle » ? Kévin décidera bientôt d’abandonner ses études… En effet, petit à petit, alors que ses convictions s’affirment et se renforcent, la vie semble s’assombrir pour Kévin, qui doit désormais continuer son aventure sans son meilleur ami. Mais n’est-ce pas quand l’enfer semble se dessiner sous nos pieds que l’Espérance prend tout son sens ? N’est-ce pas à ce moment que le sacré et la Providence se font le plus ressentir dans nos vies ? Kévin en fait l’expérience dans ce joli film, malgré lui mais pour son plus grand bien… [ Signé "Vexilla Galliae" le 21 décembre 2021 ] PS : Vexilla Galliae ? Tenu et alimenté par des universitaires, des étudiants, des jeunes professionnels, des juristes, des intellectuels, des journalistes, ou encore des militants associatifs, Vexilla Galliae est et se veut un média Internet totalement indépendant. Plus qu’un simple vecteur d’information, l’équipe de Vexilla Galliae entend apporter un éclairage iconoclaste sur l’actualité que diffusent les grands médias. Sa ligne éditoriale s’axe autour de deux fidélités : En premier lieu, une fidélité à la tradition politique capétienne de la France qui s’inscrit dans l’espérance royale et porte deux projets essentiels pour l’avenir : En second lieu, une fidélité à l’héritage chrétien de la France, lui-même incarné dans deux dimensions :