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Le populisme ou la mort et autres chroniques

Référence : 108248
4 avis
Date de parution : 25 avril 2019
Auteur : MAULIN (Olivier)
EAN 13 : 9782372711296
Nb de pages : 292
24.00
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Description
Observateur attentif de la vie littéraire, artistique, politique et sociale de son époque, Olivier Maulin a rassemblé ici le meilleur de ses analyses de chroniqueur anticonformiste. Abaissement moral des élites, fracture entre la France d'en-haut et celle d'en-bas, désintégration de la société sous les coups de boutoir du capitalisme, de l'immigration et des diktats de l'Union européenne, promotion d'une société multiculturelle et multiconflictuelle, destruction du goût et de l'environnement, trahison des médias : l'inventaire est lourd et c'est avec une verve satirique et un humour cocasse digne de Marcel Aymé qu'Olivier Maulin dresse un portrait de notre époque régressive qu'on ne lira nulle part ailleurs.
Mais le chroniqueur ne désespère pas pour autant et guette dans le moindre soubresaut des peuples les raisons d'espérer, consignant scrupuleusement les éléments d'une révolution conservatrice qui dans toute l'Europe se mettent lentement en place, et qui peuvent assurément changer la donne.
Pourrons-nous éviter le précipice vers lequel nous entraînent nos élites ? Une course contre la montre a commencé. 
Olivier Maulin est né en 1969 en Alsace. Après des études d'histoire à l'Université Marc Bloch de Strasbourg et d'histoire du Brésil à la Sorbonne (Paris IV), il travaille quelques années aux Archives nationales avant de devenir facteur dans le troisième arrondissement de Paris et de se consacrer à l'écriture. En 2006, il publie son premier roman En attendant le roi du monde à L'Esprit des péninsules (prix Ouest France-Étonnants Voyageurs 2006) et commence à écrire pour la presse (Santé Magazine, Politique Magazine, Le Spectacle du Monde, Minute, Valeurs actuelles...). Dix romans suivront. Il exerce aujourd'hui la profession de critique littéraire à Valeurs actuelles.
TitreLe populisme ou la mort et autres chroniques
Auteur MAULIN (Olivier)
ÉditeurVIA ROMANA (EDITIONS)
Date de parution25 avril 2019
Nb de pages292
EAN 139782372711296
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.32
Critique du libraire
  • Le premier recueil de textes d'actualités du grand romancier chroniqueur de Valeurs actuelles 
  • Un regard d'artiste et de poète sur les maladies de nos sociétés 
  • Presse : Valeurs Actuelles, Le Figaro littéraire, Marianne, Le Magazine littéraire...
  • Préface de François Bousquet
    Les avis clients
    CULTURE EN CONFINEMENT
    5/5 https://lincorrect.org/
    .----. En cette période difficile, où les librairies et les salles de spectacle, de concert et de cinéma sont fermées, L’Incorrect est allé chercher quelques conseils de survie auprès d’artistes à notre goût. Olivier Maulin – Écrivain, journaliste Quels conseils de lecture auriez-vous à proposer à nos lecteurs confinés ? Certainement beaucoup de vos lecteurs l’ont-ils déjà lu, mais si ce n’est pas le cas, je leur conseille vivement Le Cheval rouge d’Eugenio Corti, un grand roman catholique dont le caractère monumental m’a longtemps incité à en repousser la lecture et qui vient de reparaître aux éditions Noir sur Blanc dans la traduction que Françoise Lantieri avait donnée à L’Âge d’Homme en 1996 (le livre est paru en 1983 en Italie). Sur près de 1 500 pages, ce roman retrace l’histoire de l’Italie de 1940 au début des années soixante-dix à travers le destin de plusieurs jeunes gens d’un village de Lombardie. C’est une expérience de lecture unique qui, outre l’aspect littéraire, remet les pendules à l’heure sur l’interprétation de l’histoire récente. Il y a des pages inoubliables de scènes collectives durant la retraite des Italiens en Russie à l’hiver 1942-1943, épisode peu connu en France. Comment vivez-vous cette période et dans quelles conditions ? Je suis confiné chez moi avec femme et enfants ; j’ai dû céder mon bureau à ma femme architecte qui a rapporté à la maison un écran d’ordinateur fabuleux. De mon côté, je me suis réfugié dans la salle de billard où j’ai installé une petite table branlante sur laquelle j’écris tant bien que mal mes articles. Dès que je me lève de ce bureau de fortune, mes enfants en embuscade me volent mon ordinateur et mon téléphone portable et y installent des jeux en cachette. Il n’est donc pas excessif d’affirmer que mes nouvelles conditions de travail relèvent de l’héroïsme le plus pur. Du reste, tous les soirs, à vingt heures, Paris m’applaudit chaleureusement. Le coronavirus : hypostase ou châtiment du monde moderne ? Ce virus m’apparaît surtout comme un révélateur du caractère infantile de la modernité qui avait cru échapper au tragique par de simples formules incantatoires. La comparaison avec l’effondrement de 1940 est certainement excessive mais il n’empêche que derrière les discours satisfaits des incompétents qui nous gouvernent, on a découvert avec effroi que la France était bel et bien engagée dans un processus de tiers-mondisation ; on a surtout compris ce que voulait dire concrètement « brader sa souveraineté » : quémander des masques et des « tests », réaliser que l’on dépend des Chinois pour des produits de première nécessité comme les médicaments, etc. Ne plus être maître chez soi, en somme. Le coronavirus, hélas, nous a bel et bien humiliés. Derniers livres parus : Le Populisme ou la mort (Via Romana) ; Histoire des cocotiers, journal 1997-1999 (Rue Fromentin) [ Propos recueillis par Romaric Sangars et Arthur de Watrigant pour " CULTURE EN CONFINEMENT " sur le site de "L'incorrect " ]
    Plein d’espérance
    5/5 Les 4 Vérités Hebdo .
    .----. Olivier Maulin, critique littéraire à «Valeurs actuelles», réunit ici des chroniques qu’il a écrites sur la vie politique et culturelle de notre pays. Sans concession sur les dérives violentes et nihilistes de la société multiculturelle dont rêvent nos «élites», il met en valeur, par contraste, le réveil des peuples européens. En particulier, comme le titre de ce recueil l’indique, il décrit la révolution populiste et conservatrice qui grandit un peu partout en Europe – principalement à l’Est, mais pas seulement. Un livre à la fois sombre, par son diagnostic de la situation, mais plein d’espérance sur la possibilité de quitter la voie mortifère où veulent nous entraîner les oligarques. [ Posté le 23 avril , 2019 ]
    La plupart des fortunes privées se sont créées sur de l’argent public
    5/5 Le Salon Beige .
    .----. Si vous ne lisiez pas les chroniques de Julien Jauffret chaque semaine dans l’hebdomadaire Minute, vous pouvez vous rattraper en les retrouvant dans Le Populisme ou la mort. Observateur attentif de la vie littéraire, artistique, politique et sociale de son époque, Olivier Maulin, alias Julien Jauffret, y a rassemblé le meilleur de ses analyses de chroniqueur anticonformiste. Et comme l’écrit François Bousquet dans la préface, “elles ont résisté à l’obsolescence programmée du genre“. Exemple : Le capitalisme à la française a une particularité, c’est que la plupart des fortunes privées se sont créées sur de l’argent public. Celle de Bernard Arnault n’échappe pas à la règle. En 1984, cet héritier d’une entreprise familiale du bâtiment, réussit à convaincre le Premier ministre Laurent Fabius qu’il est le candidat idoine pour racheter Boussac, le géant de l’industrie textile du Nord. En deux ans, le gouvernement Mauroy avait injecté un milliard de francs de subventions dans le groupe ! Objectif : sauver les 21 000 emplois. L’Etat était donc propriétaire de fait. Pour emporter le morceau, Arnault s’engage par écrit à garantir la “pérennité de l’entreprise et l’essentiel des emplois”; Fabius accepte. L’Etat abandonne la créance d’un milliard de francs, le subventionne à hauteur de la moitié, et roulez jeunesse. “Comment devenir milliardaire en assurant la ‘pérennité’ d’un groupe industriel sous perfusion continue d’argent public ? En le dépeçant minutieusement. Tout simplement”, écrit Olivier Toscer dans son livre Argent public, fortunes privées, Histoire secrète du favoritisme d’Etat (Denoël, 2003). Arnault s’empresse en effet de démanteler l’empire Boussac pour ne garder que les deux perles : le Bon Marché et surtout la maison de couture Christian Dior à partir de laquelle il bâtit le groupe LVMH. La Commission européenne lui demandera bien (treize ans plus tard !) de rembourser une partie des aides publiques dont il avait bénéficié, mais à ce moment-là, le roi du luxe est déjà multimilliardaire. Merci Fabius, merci l’Etat. Ce même Etat que l’on cherche à fuir quand il vous réclame une contribution exceptionnelle pour crise exceptionnelle ! En temps de guerre, Arnault serait fusillé. [ Michel Janva le 8 mai 2019 ]
    Maulin dynamite joyeusement
    3/5 Polemia.com
    .----. Le populisme ou la mort vient de paraître aux éditions Via Romana. Dans un entretien pour Eléments, son auteur, Olivier Maulin, déclare : « Le ‘populisme’ est la seule manière de faire se cabrer les chevaux pour s’arrêter avant le précipice. » Dans ce livre, on retrouve parfaitement ces deux éléments : à la fois le précipice qui se rapproche dangereusement pour la France et l’Europe et la volonté de tout faire pour empêcher la chute. Pour Jean-Yves Le Gallou, cet ouvrage répertoriant les meilleures des chroniques anticonformistes d’Olivier Maulin est d’une grande qualité. Mieux, le « coming out » anticonformiste de l’auteur force le respect. Olivier Maulin est un écrivain prolifique. Et à succès. Il écrit bien. Il raconte bien. Ses personnages – mi alcoolos, mi écolos – sont déjantés. Mais rebelles. Rebelles au monde moderne et surtout à la dictature de la consommation. Cela n’empêche pas Olivier Maulin d’avoir pignon sur rue dans le monde de l’édition. Il est publié chez Balland et Denoël et réédité en poche chez Pocket. Bref, ses romans prônent la révolution mais leur auteur vit dans dans un certain confort bourgeois. Il est d’ailleurs en charge du service culturel à Valeurs Actuelles… Tout allait donc bien pour cet écrivain aussi facétieux que talentueux. Mais pourquoi diable l’idée lui a-t-il pris de faire son « outing » ? Et pas un outing facile! Du genre dire à son père qu’on est adepte des paradis artificiels… « Bravo mon fils, continue la coke et tu feras carrière dans la com’ et la politique ! Suis l’exemple qui vient de haut ! Très haut même… » Ou, plus facile encore, avouer à sa mère ses penchants homos… « Ah, tu me rassures mon enfant, avec tes frères et ta sœur , ouvertement hétéros, les voisins commençaient à nous prendre pour une famille bizarre. Tu sauves l’honneur ! » L’outing de Maulin c’est autre chose. Il vient d’avouer, horresco referens, que de 2012 à 2016 il avait donné une chronique hebdomadaire à Minute. Certes sous un pseudonyme protecteur « Julien Jauffret ». Mais Julien Jauffret a tombé le masque et avoué que lui et Olivier Maulin ne faisaient qu’un ! Certes Minute est un bon journal. Qui a eu de grandes signatures : Jean-François Devay, François Brigneau, Jean-Claude Valla, Patrick Buisson. Et qui a sorti beaucoup d’informations nouvelles : de la « seconde famille de Mitterrand » aux amitiés de jeunesse gudardes de Nathalie Loiseau. Il n’empêche, pour toute la bien-pensance, Minute est un « torchon ». Et même un « torchon d’extrême droite » selon Marine Le Pen et Nathalie L’oiseau, pour une fois d’accord ! Quelle injustice ! Car combien de vrais scoops dans Minute ! Combien de belles analyses ! Combien de belles critiques de livres de Joël Prieur ! Combien de talentueux billets d’humeur de François Couteil et, jusqu’en 2016, de Julien Jauffret/Olivier Maulin ! Réunies dans Le populisme ou la mort chez Via Romana, les 200 chroniques d’Olivier Maulin se lisent d’un seul trait. Aucun conformisme n’y résiste. De Conchita Wurst a Dieudonné, de Draghi à Soros, du diesel à la « mixité sociale », des crèches de Noël aux quotas ethniques. Tout y passe. Ou plutôt tout y est passé à la grande décapeuse. Le populisme ou la mort est à lire d’urgence, en commençant par la préface parfaitement provocatrice de François Bousquet : « Maulin dynamite joyeusement [ce monde là – celui de l’exceptionnelle connerie contemporaine], dans un cocktail parfaitement maîtrisé, dont il tient la recette d’un certain Molotov. Pif, paf, boum. » [ Jean-Yves Le Gallou sur Polemia.com, le 29 avril 2019 ]