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Destin français

Référence : 98446
5 avis
Date de parution : 12 septembre 2018
Auteur : ZEMMOUR (Eric)
Collection : A.M. POLITIQUE
EAN 13 : 9782226320070
Nb de pages : 576
24.50
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Description
Eric Zemmour est un des journalistes français les plus redoutés, les plus lus et les plus écoutés (RTL, Le Figaro magazine et Le Figaro). Il coanime l'émission "Ca se dispute" surTélé et conduit le talk-show "Zemmour & Naulleau" chaque vendredi soir sur Paris Première. Il a déjà publié 15 romans et essais, dont le bûcher des vaniteux chez Albin Michel.
TitreDestin français
Auteur ZEMMOUR (Eric)
ÉditeurALBIN MICHEL (EDITIONS)
Date de parution12 septembre 2018
Nb de pages576
CollectionA.M. POLITIQUE
EAN 139782226320070
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)40
Largeur (en mm)154
Hauteur (en mm)239
Poids (en Kg)0.77
Critique du libraire
Zemmour plonge ici dans le destin français, dans l'Histoire de France. En passant en revue les grands hommes qui ont fait la France, il s'intéresse à l'image qu'on a voulu imposer d'eux, sans oublier d'en tirer les conclusions propres à notre temps...  


"La France coulait dans mes veines, emplissait l'air que je respirais ; je n'imaginais pas être la dernière génération à grandir ainsi." Laconique, cette conclusion sonne comme l'éloge funèbre de la France ! Zemmour, après son monumental Suicide français, qui dressait le bilan peu reluisant de ces 40 dernières années de vie française, plonge ici dans le destin français, dans l'Histoire de France. Et tout en passant en revue les grands hommes qui ont fait la France, il s'intéresse à l'image qu'on a voulu imposer d'eux, sans oublier d'en tirer les conclusions propre à notre temps ! Et toujours avec ce style vif, caustique, aiguisé...  

"La Fance est devenue à son tour une cible du grand équarrissage mondial." 

"L'histoire de France coulait dans mes veines, emplissait l'air que je respirais, forgeait mes rêves d'enfant ; je n'imaginais pas être la dernière génération à grandir ainsi. J'ignorais que ma date de naissance serait décisive: je vivais au XXe siècle mais en paix, loin du fracas des deux guerres mondiales, et de la guerre d'Algérie ; je me réchauffais pourtant encore aux ultimes feux de l'école de la IIIe République. J'évoluais entre deux époques, entre deux mondes. Je grandissais dans l'abondance de la société de consommation et pourtant mon esprit vagabondait dans les plaines héroïques d'hier. J'étais abonné au Journal de Mickey, mon corps se gavait de fraises Tagada et de rochers Suchard, mais ma tête chargeait avec les cavaliers de Murat dans les plaines enneigées d'Eylau. Je vivais le meilleur des deux mondes. Je ne mesurais pas ma chance." Extraits
Les avis clients
Magnifique fresque !
5/5 Gabrielle Cluzel / Boulevard Voltaire .
.----. L’œuvre d’Éric Zemmour est un peu comme Star Wars : elle a commencé par la fin, et ce n’est qu’ensuite que l’on comprend, en revenant aux sources. Après Le Suicide français, voici Destin français, magnifique fresque historique qui tient de Bainville, de Castelot, de G. Lenotre, de Bordonove et n’est à la fois rien de tout cela. C’est l’Histoire de France incarnée, spirituelle, prophétie biblique : « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées… » Le péché originel des parents sera expié par les fils. « L’Histoire ne repasse pas les plats », disait Céline, mais elle accommode les restes, pour les servir des siècles plus tard : « La France semble condamnée à revivre sans cesse la même histoire, à revivre sans cesse les mêmes passions délétères. » Zemmour compare la France à une mourante qui verrait défiler devant ses yeux toute sa vie : « Elle semble repasser par toutes les étapes de son existence millénaire. » Chaque chapitre est peu ou prou consacré à une figure emblématique – Clovis, Saint Louis, François Ier, Richelieu, La Pompadour, Robespierre, Napoléon, Clemenceau, Pétain, de Gaulle… – dont le destin s’est un moment confondu avec celui de la France, et dont le courage ou la pusillanimité, la clairvoyance ou l’aveuglement, la détermination ou la légèreté ont infléchi le cours de la vie de nos aïeux, et le cours de la nôtre qui lui est indissolublement lié. Il est des livres succincts dont on dit, riant, que s’ils tombent, ils ne risquent pas de vous casser le pied… Méfiez-vous de ne pas laisser choir celui-ci. Et pourtant, aucune longueur. Le livre est lourd mais la plume légère. Éric Zemmour l’a dédié à ses parents, et c’est à eux qu’il consacre les premières pages, surprenant ses lecteurs qui le savent peu prompt à s’épancher – la proximité de Christine Angot, sur les plateaux, l’a sans doute vacciné. C’est qu’ils sont l’alpha et l’omega de ce bouquin-là : il leur doit son inextinguible fibre française. Pieds-noirs, descendants de Berbères soucieux de faire à Rome comme les Romains (donc, de donner des prénoms « du calendrier » à leurs enfants – confer une controverse récente), ils s’agacent de s’entendre qualifier de « juifs de France » quand ils se considèrent « Français juifs ». Éric Zemmour opte résolument pour le roman national, mais un roman qui ne s’inscrirait pas comme le Lavisse dans le courant romantique mais serait résolument réaliste : le féminisme beauvoirien tel que présenté par Éric Zemmour a quelque chose de bovarien, Simone aurait dû s’appeler Emma, James Rothschild a les traits de Nucingen et l’Italienne Catherine de Médicis les états d’âme d’une héroïne de Stendhal. Il les décrit comme ils sont, sans les noircir ni les idéaliser. Le manichéisme ne passera pas par lui et les titres des chapitres respectivement consacrés à Pétain et de Gaulle – « L’homme qu’il faut détester », « l’homme qu’il faut aimer » – parlent d’eux-mêmes. Il sort même du placard de grands oubliés, depuis longtemps remisés parce que trop étrangers à l’esprit du temps pour pouvoir être compris : qui connaît encore Bossuet, dont Zemmour écrit pourtant qu’il « réussit dans une langue d’une pureté inégalée la synthèse française du quadrilatère européen des racines juives, chrétiennes, grecques et romaines ». Qui sait encore que le comte de Chambord, par ce drapeau blanc dont il a fait « le test de sa liberté », a signé un « échec emblématique, matriciel même pour la droite française », « [annonçant] les défaites à venir pour ce courant conservateur ». On dit d’Éric Zemmour qu’il est misogyne ; il est surtout misanthrope. Atrabilaire amoureux d’une France volage, futile, mondaine, inconséquente et belle comme pas deux, dont il voit avec une acuité féroce tous les travers qui la font courir à sa perte mais dont il ne peut se déprendre. Et nous avec lui. [ Gabrielle Cluzel sur Boulevard Voltaire le 18/09/2018 ]
Pierre Hillard corrige Éric Zemmour
3/5 Impostures - Le Blog de Tourtatix
.----. Conclusion d'un article : " Parmi les grands hommes, il admire Clemenceau alors que ce dernier acquis aux intérêts anglais empêcha, en octobre 1918, l’armée alliée de Franchet d’Espèrey présente en Europe centrale de fondre sur Berlin vide de toute résistance ce qui aurait permis de casser l’Allemagne. L’Angleterre ne le voulait absolument pas et Clemenceau fut l’agent docile de cette politique concrétisée par le Traité de Versailles en 1919 dont la France paya la note en 1940. Enfin, soulignons cette incongruité de mettre sur le même pied d’égalité le maréchal Pétain et le général de Gaulle. Pétain a voulu combattre les principes de 1789 remplacés par le triptyque « Travail, Famille, Patrie » en luttant contre la franc-maçonnerie (fermeture des loges, Cf. Bernard Faÿ). De Gaulle en 1944/45 a rétabli les principes de la maçonnerie et ceux de 1789. La tournure d’esprit d’Éric Zemmour est imprégnée de la Haskalah (« Les lumières juives »), liée à la sécularisation de la société en lien avec le noachisme, c’est-à-dire contraire aux fondamentaux de la civilisation française née du baptême de Clovis sous l’égide de l’évêque Saint Rémi, ce dernier rappelant que le non respect des principes de ce baptême conduirait à des punitions. Monsieur Zemmour, votre livre sous des apparences agréables et avec, parfois, des propos justes, ne défend pas authentiquement la France et sa civilisation, méthode permettant de conduire des Français patriotes sous de mauvais cieux... le « catholicisme d’Israël » avec ses répercussions politiques et spirituelles comme l’a si bien expliqué le rabbin Elie Benamozegh dans son livre Israël et l’humanité. [ Pierre Hillard LE 25/09/2018 ]
par ces temps incertains....
3/5 Cadoudal
Par ces temps incertains qu'il nous faut vivre, lire Eric Zemmour même si on ne doit pas partager toutes ses prises de position ou analyse est un acte de Résistance ...
L'imposture Zemmour
1/5 Jean
Alain Soral et Pierre Hillard décryptent à merveille l'imposture Zemmour,qui sous prétexte d'identité française,incite à la guerre civile entre chrétiens et musulmans.J'adhère beaucoup plus à l'idée d'Alain Soral de réconciliation nationale entre ces 2 communautés pour éviter la guerre civile voulue par l'oligarchie mondialiste afin de détruire la France et la soumettre au Nouvel Ordre Mondial.Zemmour est un piège!Voici un lien très intéressant d'Egalité et Réconciliation qui décrypte l'arnaque Zemmour: https://www.egaliteetreconciliation.fr/Non-au-national-sionisme-52066.html Je joins aussi l'article complet de Pierre Hillard sur le dernier livre d'Eric Zemmour,afin d'éclairer les patriotes: Éric Zemmour est un homme de grande culture. Il tranche par rapport à de nombreux journalistes et choque souvent par ses propos en dénonçant, par exemple, l'invasion migratoire en France et en Europe. Il est vrai que le test de la Drépanocytose fait uniquement aux nouveaux nés originaires d'Afrique du nord ou subsaharienne (comme le précisent les textes officiels) permet de savoir dans le cadre de l'Association française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l'Enfant (AFDPHE) qu'environ 40% des naissances en France viennent de ces contrées (9% en Bretagne et presque 75% en Île-de-France). Cependant, même si cet ouvrage dit des choses justes, Éric Zemmour insuffle dans ses propos un tour d'esprit ne correspondant pas aux caractéristiques propres de la civilisation française. Par certains aspects, nous pouvons constater que ces référents vont dans le sens du noachisme, religion exclusivement réservée aux non-juifs (les gentils) émanation de la synagogue dont les fondamentaux sont le rejet de l'Incarnation et du sacerdoce catholique... tout l'opposé du catholicisme trinitaire. A cela, il ne faut pas oublier les répercussions politiques comme, par exemple, le baptême de Clovis instaurant le principe, sous l'égide de l'évêque Saint Rémi, que le roi de France est le "Lieutenant du Christ", caractéristique qui a perduré jusqu'au sacre de Louis XVI . Cet élément fondamental rappelant le rôle de médiateur du roi de France entre ses sujets et son suzerain, c'est-à-dire le Christ, fut solennellement réaffirmé par la Triple donation de Sainte Jeanne d'Arc, le 21 juin 1429 à Saint-Benoît-sur-Loire. Éric Zemmour se garde bien d'évoquer cet événement capital relaté dans le "Breviarium Historiale" envoyé en juillet 1429 au pape Martin V, document qui a servi par la suite, entre autres, à la béatification puis à la canonisation de Sainte Jeanne d'Arc. Comme il l'écrit dans son livre, il ne croit ni à la résurrection du Christ ni au dogme de l'Immaculée Conception ce qui est logique pour une personne de confession juive. Cependant, cela n'empêche pas Éric Zemmour d'affirmer qu'un Français doit être marqué par le catholicisme via l'Eglise, sa pompe, le culte des images, un style, le tout en lien avec Rome et Athènes. Nous rappelons que pour être catholique, nous n'avons pas à faire le tri entre ce que l'on aime et ce que l'on n'aime pas dans cette religion. En effet, pour être catholique, il faut croire à la résurrection du Christ et au dogme de l'Immaculée Conception. L'auteur en vient même à faire un chapitre sur Saint Louis appelé le "roi juif" dans le but de le confondre avec le sacre du roi David, méthode permettant de rappeler, certes, une source d'inspiration propre à la monarchie française mais, d'une manière habile, de faire passer à la trappe le principe de l'Incarnation à l'origine du parachèvement de l'Ancien Testament. Les fondamentaux de la royauté française exprimés lors du sacre à Reims n'ont de valeur qu'en raison de la proclamation de la divinité du Christ. Éric Zemmour de par ses référents religieux et philosophiques ne peut pas défendre ce type de civilisation qui a perduré 1300 ans de Clovis à Louis XVI. A cela s'ajoute une distinction entre le public et le privé prôné par Éric Zemmour. Comme le rapporte le journaliste Emmanuel Berreta (le Point, 8 avril 2010) dans un article intitulé : "Qui est vraiment Éric Zemmour ?", ce dernier n'hésite pas à affirmer : "C'est comme moi, je m'appelle Éric, Justin, Léon. Mais, à la synagogue, je m'appelle Moïse". Un catholique ne peut pas adopter cette manière de raisonner. Il n'est pas étonnant de voir ce journaliste être fidèle aux principes de 1789 anticatholiques dans leur essence avec la rupture du baptême de Clovis et à Napoléon 1er qui a enraciné ces principes. Par ailleurs, il égratigne les Rothschild et certains aspects du judaïsme sans aller plus en avant. Par exemple, il critique la Charia mais se garde bien de remettre en cause le Talmud et la Kabbale d'essence anticatholique. Parmi les grands hommes, il admire Clemenceau alors que ce dernier acquis aux intérêts anglais empêcha, en octobre 1918, l'armée alliée de Franchet d'Espèrey présente en Europe centrale de fondre sur Berlin vide de toute résistance ce qui aurait permis de casser l'Allemagne. L'Angleterre ne le voulait absolument pas et Clemenceau fut l'agent docile de cette politique concrétisée par le Traité de Versailles en 1919 dont la France paya la note en 1940. Enfin, soulignons cette incongruité de mettre sur le même pied d'égalité le maréchal Pétain et le général de Gaulle. Pétain a voulu combattre les principes de 1789 remplacés par le triptyque "Travail, Famille, Patrie" en luttant contre la franc-maçonnerie (fermeture des loges, Cf. Bernard Faÿ). De Gaulle en 1944/45 a rétabli les principes de la maçonnerie et ceux de 1789. La tournure d'esprit d’Éric Zemmour est imprégnée de la Haskalah ("Les lumières juives"), liée à la sécularisation de la société en lien avec le noachisme, c'est-à-dire contraire aux fondamentaux de la civilisation française née du baptême de Clovis sous l'égide de l'évêque Saint Rémi, ce dernier rappelant que le non-respect des principes de ce baptême conduirait à des punitions. Monsieur Zemmour, votre livre sous des apparences agréables et avec, parfois, des propos justes, ne défend pas authentiquement la France et sa civilisation, méthode permettant de conduire des Français patriotes sous de mauvais cieux ... le "catholicisme d'Israël" avec ses répercussions politiques et spirituelles comme l'a si bien expliqué le rabbin Elie Benamozegh dans son livre "Israël et l'humanité". Pierre Hillard 24 septembre 2018
Il serait dommage d'y contribuer !
1/5 D.C. (66)
Je vous envoie cet article de Pierre Hillard (donc un catho tradi FSSPX, et une référence de copmpétence et de sérieux) que j'ai reçu ce matin mardi 2octobre 2018 par email de Medias Presse Info, dans lequel il dénonce et rejette catégoriquement ce livre. Au delà de la simple critique religieuse, ce qui est bien plus dangereux dans ce livre (qui est lu par beaucoup de gens car Zemmour bénéficie de l'appui illimité de tous les médias, donc aux ordres des mondialistes) c'est qu'il est fait pour provoquer la guerre civile en France, avec à la clé notre Pays qui sera soit explosé comme la Yougoslavie, ou ravagé comme la Libye, l'Irak, l'Ukraine, la Syrie, etc... ce qui est l'objectif des financiers mondialistes sionistes qui suivent simplement leur plan eschatologique de omination mondiale. Il serait dommage d'y contribuer...