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La grande nuit de Mirabal

Référence : 77689
1 avis
Date de parution : 12 septembre 1999
Auteur : BERNA (Paul)
Éditeur : FLEURUS (EDITIONS)
Collection : SIGNE DE PISTE
EAN 13 : 9782215050445
Nb de pages : 246
12.00
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Description

La foule costumée s'écarta pour laisser passer le bouffon jaune du comte de Mirabal et le page bleu du prince de Guzman.
David et Geoffroy eurent vite fait de nouer connaissance avec leurs camarades. Ce n'étaient pas des figurants ordinaires. Filles et garçons, ils étaient venus d'un peu partout pour vivre au premier rang cette nuit unique. On entendait parler plusieurs langues, mais les atours médiévaux faisaient tomber foutes les barrières.
Chacun et chacune personnifiaient réellement le troubadour, la demoiselle, l'écuyer, le grand seigneur, ou la grande dame dont ils portaient la défroque.
L'imprésario ouvrit enfin la porte devant ces pèlerins qu'il avait tirés des quatre coins de l'Europe, leur montra la grande cour du château, le fantastique décor de pierre ocre qui se dressait sous le ciel étoile:- C'est à vous de jouer maintenant ! Amusez-vous bien ! Cette nuit est à vous... Et la fête commença...

TitreLa grande nuit de Mirabal
Auteur BERNA (Paul)
ÉditeurFLEURUS (EDITIONS)
Date de parution12 septembre 1999
Nb de pages246
CollectionSIGNE DE PISTE
EAN 139782215050445
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)12
Largeur (en mm)12
Hauteur (en mm)19
Poids (en Kg)0.30
Les avis clients
Une ambiance de romantisme !
4/5 Plaisir de Lire .
.----. La famille Maël traverse l'Atlantique sur un bateau et fait naufrage sur le chemin du retour . Après cette vie de grande liberté, David Maël a bien du mal à se réadapter à la vie sur terre . La famille est dispersée, David part en pension . Là il se lie d'amitié avec Geoffroy, un jeune orphelin bossu qui a passé son enfance à Berck, dans un hôpital . Ils décident tous deux de "faire le mur" et de partir à la recherche de leur paradis perdu : pour l'un, c'est la mer, pour l'autre une jeune infirmière qui a été le rayon de soleil de sa triste enfance . C'est alors la vie de bohème, l'arrivée dans un château où se déroule une fête internationale dont les jeunes sont les héros pour un soir . Bien que l'on ne puisse rien reprocher de très précis à ce livre, il baigne cependant dans une ambiance de romantisme et d'irréel . Il donne une idée de la pension qui est plutôt sinistre et qui ne correspond pas forcément à la réalité . Le directeur est sympathique mais il semble battu d'avance dans sa mission d'éducateur . Les fugues, même si elles se terminent bien, ne sont pas un exemple à exalter . Il semble que les héros s'éduquent uniquement par l'expérience, ce qui n'est pas le tout de l'éducation . [ " Plaisir de Lire " , numéro 26 , Pâques 1974 ]