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Romans de chevalerie

Référence : 74971
2 avis
Date de parution : 14 mars 2013
Auteur : SCOTT (Walter)
Éditeur : OMNIBUS (EDITIONS)
EAN 13 : 9782258099104
Nb de pages : 152
28.00
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Description
Ivanhoé, qui a fondé en Europe la mode du roman historique, se passe au XIIe siècle. Amoureux de la pupille de son père, lequel a d'autres projets pour elle, le jeune Wilfrid est placé au service du roi Richard Coeur-de-Lion et l'accompagne aux croisades. A son retour, il reconquiert son fief d'Ivanhoé (aidé par Richard et Robin des Bois), aide Richard à récupérer son trône usurpé par le prince Jean Sans Terre et retrouve sa bien-aimée.
Quentin Durward raconte l'histoire d'un archer écossais qui se fait mercenaire en France au service du roi Louis XI. Le Talisman se déroule à nouveau au XIIe siècle en Terre Sainte pendant la troisième croisade et retrouve Richard Coeur-de-Lion, dont Walter Scott oppose la violence et la barbarie à la sagesse et au raffinement de Saladin.
TitreRomans de chevalerie
Auteur SCOTT (Walter)
ÉditeurOMNIBUS (EDITIONS)
Date de parution14 mars 2013
Nb de pages152
EAN 139782258099104
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)30
Largeur (en mm)133
Hauteur (en mm)199
Poids (en Kg)0.61
Les avis clients
C'est en le lisant que je suis devenu royaliste !
5/5 La Charte de Fontevrault .
.----. Connaissez- vous Isabelle de Croye ? vous non peut -être, moi si et depuis si longtemps. Je devais avoir une quinzaine d'années lorsque j'ai entrepris la lecture de Quentin Durward dans un livre de la collection Rouge et or. La première page offrait à l'admiration du lecteur une image en couleurs représentant Isabelle de Croye bellement vêtue coiffée d'un hénin , en prières dans sa chapelle castrale sur un arrière fond de vitrail. Et c'est ainsi que commença pour moi la découverte de Quentin Durward l'autre roman de Sir Walter Scott. Je dis "l'autre roman" parce que pour la plupart des gens , je crois, Walter Scott c'est Ivanohé et non pas Quentin Durward. Ce roman m'a tellement fasciné que lorsqu'il est paru jour après jour en" bande dessinée" dans le Populaire , quotidien édité à Limoges, j'ai gardé toutes ces petites bandes de papier illustrées que j'ai soigneusement collées l'une après l'autre et regroupées dans un classeur , classeur que j'ai d'ailleurs le bonheur d'avoir toujours même s'il a , des ans, subi l'irréparable outrage... Mais l'intérêt dans ma vie du roman Quentin Durward est bien supérieur encore . C'est en le lisant que je suis devenu royaliste et de cela je ne saurais jamais être assez reconnaissant envers Isabelle de Croye. [ Alain TEXIER le samedi 12 mai 2018 ]
Des rendez-vous de lecture
5/5 L'Homme Nouveau N°1548 31 août 2013
C'est étonnant combien on ne peut se défaire des bons vieux classiques, de ces livres lus et relus, dont les auteurs devraient hanter les greniers et les cimetières et qui pourtant se répandent dans nos librairies. La société de consommation a l'art de faire du neuf avec du vieux, de mettre un vieux produit dans un nouvel emballage et de faire croire que la dernière mode vous impose de lire ce livre de demain. Est-ce le cas, ici ? La collection Omnibus s'est spécialisée dans la réédition d'oeuvres complètes d'écrivains d'hier et on serait injuste de l'accuser de profiter simplement du tiraillement des ego pour tenter de remettre au goût du jour les vieux trésors enfouis sous la poussière. Certes, Omnibus entre dans une stratégie de groupe, mais au moins le lecteur n'est pas trompé sur la marchandise. Quand l'éditeur nous propose les romans de Walter Scott, il affiche clairement la couleur. Il s'agit de "romans de chevalerie" et la couverture reprend une peinture d'Elizabeth Adela Stanhope Forbes (1859-1912) pendant que Victor Hugo et Alexandre Dumas sont convoqués pour assurer la promotion de l'auteur. Il est certain que Walter Scott n'est ni Homère, ni Virgile et qu'il ne peut concourir avec Platon, Aristote ou saint Augustin dans la catégorie des poids lourds des penseurs de l'humanité. Cet Écossais, épris de l'Histoire de son pays, illustre à sa manière le romantisme britannique qui exalta un temps cette époque si contrastée que l'on appelle faussement le Moyen Âge et qui méritait mieux que la suffisance des humanistes et la prétention des scientistes. Les érudits ont évidemment reproché aux écrivains de cette époque d'avoir donné une fausse image de l'ère médiévale par l'exagération et la liberté propres aux littérateurs. Les érudits ont forcément raison car il s ont toujours raison dans le détail. Mais, d'une certaine manière, les spécialistes du Moyen Âge n'auraient jamais vu le jour sans ces écrivains qui ont donné chair à un sujet d'étude et qui, se trompant souvent dans le détail, ont réussi à donner une vision plus juste de l'ensemble, en lui rendant tout simplement la vie. Dans Le Siècle de Victoria en littérature, Chesterton dit que Walter Scott fit preuve d'une "joyeuse passion du passé" bien qu'il estime, d'un autre côté, qu'il fut moins doué, dans son domaine, que Jane Austen dans le sien. Aujourd'hui encore, ce jugement parait juste, mais il place d'emblée Walter Scott au bon niveau. Et ce n'est pas une médiocre hauteur. On s'en assurera dans ce volume Omnibus qui rassemble trois romans de chevalerie de Scott : Ivanhoé ; Quentin Durward et Le Talisman. Ces livres fleurent bons l'Écosse, l'entrechoquement des armes, le sens de l'honneur, de l'engagement et du service. Ils invitent au rêve et mobilisent l'imagination. Depuis leur parution, ils sont des rendez-vous de lecture comme on dit des rendez-vous d'amour. Ils convient l'Histoire dans notre demeure. <p align="right">Benoit Maubrun <a href= http://www.hommenouveau.fr/ target=_blank>www.hommenouveau.fr</a>