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Commémoration des martyrs d´Avrillé 1794 -1994

Référence : 69189
1 avis
Date de parution : 30 janvier 1994
Auteur : ANONYME
Éditeur : SEL (EDITIONS DU)
EAN 13 : 0000000691895
Nb de pages : 56
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Description

Sommaire :
Les Greniers Saint-Jean
Messe solennelle des Martyrs
Généralités sur les Martyrs
-Les martyrs chrétiens pendant la Révolution française
-Le bienheureux Noël Pinot
-Le bienheureux Guillaume Repin et ses 98 compagnons, martyrs
-La "justice" révolutionnaire de 1793-1794
-La guillotine et les fusillades
-"Fanatiques" et "aristocrates"
Procession dans les pas des Martyrs
-Les dénonciations et l'arrestation
-Les prisons
-Les interrogatoires
-Pour la défense du sacerdoce : le martyre des prêtres
-Les chaînes de prisonniers
-Pages détachées des actes des martyrs sur le "chemin du silence"
-Le "champ des martyrs"
Chants

TitreCommémoration des martyrs d´Avrillé 1794 -1994
Auteur ANONYME
ÉditeurSEL (EDITIONS DU)
Date de parution30 janvier 1994
Nb de pages56
EAN 130000000691895
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.08
Les avis clients
Courte biographie du Bienheureux Guillaume Repin.
5/5 http://leblogdumesnil.unblog.fr/
.----. Guillaume Repin est le doyen d’âge des quatre-vingt-dix-neuf martyrs d’Angers et d’Avrillé béatifiés le 19 février 1984 et fêtés le 1er février. Né à Thouarcé (actuel département du Maine-et-Loire), le 26 août 1709, Guillaume Repin entra à l’âge de dix-neuf ans au séminaire d’Angers et fut ordonné prêtre pour ce diocèse. De 1734 à 1749, il exerça son ministère sacerdotal à la paroisse de Saint-Julien d’Angers, puis fut nommé curé de Martigné-Briand, enfin il fut élevé au canonicat. Pendant les longues années de son ministère, il fut un pasteur plein de ferveur et de zèle, très aimé de ses paroissiens Lorsque, le 10 février 1791, en application de la constitution civile du clergé, le maire de Martigné-Briand vint lui réclamer les clefs de l’église et lui demander la prestation de serment, le vieux chanoine Repin (il était dans sa quatre-vingt-deuxième année) refusa : il dut donc quitter sa paroisse et partit se réfugier à Angers. Arrêté une première fois le 17 juin 1792, il fut emprisonné au séminaire, avec un très grand nombre de prêtres, comme lui réfractaires. Etant le plus âgé, c’est lui qui, le plus souvent, célébrait la Sainte Messe pour ses confrères. Le 14 août 1792, le serment dit « de liberté-égalité » fut rendu obligatoire pour les fonctionnaires puis, le 2 septembre suivant, cette obligation fut étendue à tous les citoyens. C’était le début de la grande Terreur. Le chanoine Repin refusa évidemment ce second serment : il fut interné avec d’autres prêtres âgés dans une ancienne école des Frères de la Doctrine Chrétienne, surnommée la Rossignolerie. La colère des paysans du Bas-Poitou et de l’Anjou (ce que l’on appellera plus tard la Vendée militaire) éclate à la mi-mars 1793 et bientôt se forme la « Grande Armée Catholique et Royale ». Le 17 juin 1793, les Vendéens s’emparent d’Angers. Le chanoine Repin, libéré, mais affaibli par l’âge et par deux années de captivité, ne peut suivre les Blancs ; néanmoins il s’efforce de se cacher des Bleus : ce sont six mois de vie errante et de cachettes au milieu des troubles que l’on sait. Il fut pris, la veille de Noël, 24 décembre 1793, à Mauges, et conduit en prison à Chalonnes. Ensuite il fut déféré devant le comité révolutionnaire d’Angers où il subit des interrogatoires. Le 1er janvier 1794, la commission militaire le condamné à être guillotiné. La sentence fut exécutée, le 2 janvier 1794, sur la place Saint-Maurille, rebaptisée « du ralliement » depuis 1791. Avec lui, furent guillotinés l’abbé Laurent Batard, curé de la paroisse Notre-Dame de Chalonnes, et deux autres victimes. Ce sont environ cent-soixante-dix-sept condamnés qui furent guillotinés sur cette place pendant la Terreur, tandis que, ainsi que nous avons eu l’occasion de le dire, à Avrillé notamment , quelque deux mille victimes étaient fusillées. PS : Le blog du mesnil (Frère Maximilien-Marie du Sacré-Cœur. ) : Ayant conscience que le christianisme est la « religion de l’Incarnation », et que « de la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes » (Pie XII), l’Association « Refuge Notre-Dame de Compassion » défend et promeut toutes les valeurs traditionnelles de la culture et de la civilisation chrétiennes. Elle veut travailler pour que les structures de la société, les institutions, les lois et les arts soient en accord avec ces valeurs, dont la charité divine est la fin ultime.