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N°359 Janv 2007 - Sainte Jeanne d´Arc

Référence : 65044
Date de parution : 1 janvier 2007
EAN 13 : 00105623
Nb de pages : 32
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Description
SOMMAIRE
Editorial : L´esprit de sainte Jeanne d´Arc
Les deux voix de sainte Jeanne d´Arc de Jean-Baptiste Roussot par Cl. Mouton-Raimbault
L´épée de Jeanne d´Adrien Loubier par Cl. Mouton-Raimbault
L´épée de Charles Martel. "L'arme d'une mystérieuse continuité historique", par René Olivier
Prière à Jeanne par Vladimir Volkoff
Legenda (Le monde du livre et de l'édition)
Des cours en roulotte... ! (Une école libre dans les Deux-Sèvres : Le Cours Saint-Martin)
La Contre-Encyclopédie : Pierre-Joseph Picot de Clorivière par Henri Servien
Nous avons reçu
TitreN°359 Janv 2007 - Sainte Jeanne d´Arc
Auteur LECTURE ET TRADITION
ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
Date de parution1 janvier 2007
Nb de pages32
EAN 1300105623
Épaisseur (en mm)3
Largeur (en mm)148
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.05
Critique du libraire
EDITORIAL
L'esprit de sainte Jeanne d'Arc semble souffler fort depuis quelque temps. Les recensions et articles qui vont suivre, non seulement sur les voix, mais particulièrement sur l'origine et le devenir de l'épée de la Pucelle, montrent que l'âme française n'est pas morte, malgré les puissances des ténèbres qui tendent à l'étouffer.
Que nos lecteurs, toutefois, ne soient pas désorientés par les avis divergents qui forment la trame des ouvrages présentés ici et de leurs commentaires ! Pour Jean-Baptiste Roussot et René Olivier, par exemple, il ne fait aucun doute que l'épée trouvée à Sainte-Catherine-de-Fierbois était celle de Charles Martel. Pour Adrien Loubier, ce pourrait être celle de Godefroi de Bouillon. Pour notre collaborateur, Claude Mouton-Raimbault, ce serait une épée bien plus mystérieuse, faite non pas pour occire mais pour montrer la Volonté de Dieu.
Les cinq croix gravées sur l'épée s'échelonnaient-elles sur la lame, comme le croit René Olivier ? Ou bien étaient-elles disposées de la même façon que dans les armoiries du Saint-Sépulcre et sur le blason des Chevaliers de cet Ordre ? Dans ce cas, il s'agirait d'une croix potencée, cantonnée de quatre petites croix, donc ramassées sur la lame, près de la garde, comme le suggère Adrien Loubier, sans certitude.
Qu'est devenue cette épée ? Jeanne n'a rien voulu en dire à ses juges de Rouen.
Là encore, plus que sur son origine, le mystère demeure entier. Ce qui aiguise notre espérance !
La Rédaction