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N°349 Mars 2006 - Forjoucq - Vingt et une marche de marbre noir

Référence : 65035
Date de parution : 1 mars 2006
EAN 13 : 00104060
Nb de pages : 32
3.50
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Description
SOMMAIRE  
  • Vingt et une marches de marbre noir (Lieutenant des années 2000), de Baudoin Forjoucq, par Claude Mounton-Raimbault 
  • L'esprit de croisade  
  • Les fondements du scoutisme catholique : "S'il plaît à Dieu, toujours !". Le père Sevin et l'ordre scout : une spiritualité, du père Alain Hocquemiller, par Henri Servien (Un catholique modéré ? - Le scoutisme catholique - Education et politique - La pédagogie de l'ordre) 
  • Jacques ploncard d' Assac, mon père : sa vie, son oeuvre, par Philippe Ploncard d'Assac (Conférence prononcée lors des Journées Chouannes à Chiré-en-Montreuil en septembre 2005) 
  • Note complémentaire à la conférence de Philippe Ploncard d'Assac, par Jean Auguy 
  • L'étrange théologie de l'abbé Michel Beaumont, par Sacerdos 
  • Nous avons reçu
  • TitreN°349 Mars 2006 - Forjoucq - Vingt et une marche de marbre noir
    Auteur LECTURE ET TRADITION
    ÉditeurDIFFUSION DE LA PENSEE FRANCAISE
    Date de parution1 mars 2006
    Nb de pages32
    EAN 1300104060
    Épaisseur (en mm)3
    Largeur (en mm)148
    Hauteur (en mm)210
    Poids (en Kg)0.05
    Critique du libraire
    Vingt et une marches de marbre noir. Lieutenant des années 2000
    par Baudouin Forjoucq
    (Editions Sainte-Madeleine)
    Pour qui aime l'armée, dernier rempart de la France, c'est un livre revigorant, après tant de déceptions, tant de défaites, tant de trahisons qu'eurent à subir, depuis soixante ans, et plus, nos soldats. La fin surtout, avec la conversion du lieutenant musulman Ahmed Madahoui, déchiqueté par une mine posée par des clandestins islamistes, vous prend aux tripes.
    Ah ! si l'armée d'Indochine, venue vaillamment combattre en Algérie, avait été unie, même minoritairement, par les sentiments chrétiens qui animent ces héros de l'an 2000 aux marches d'un Empire qui n'existe plus, nous n'en serions peut-être pas là ! Faut-il croire que les victoires perdues ont servi de leçon et que se dessinent enfin des cadres sains, purs, pieux, doctrinalement formés, capables de ne plus se laisse berner, de se lever in extremis pour sauver la patrie et pour sauver la foi ? Peut-être... peut-être... Mais cela confine au rêve et, en tout cas, ne nous paraît pas encore mûr.
    En effet, dans le livre lui-même, au-delà d'un état d'esprit admirable, on décèle, çà et là, des faiblesses qui nous font dire que si cette anmée existe, elle est encore en état de gestation, elle se cherche. Des exemples ? On fête Noël pour marquer les racines chrétiennes de la France - et l'on y convie même le muphti dans cette province de Solvanie qui pourrait figurer une enclave française dans les Balkans -, mais on y parle plutôt culture que religion. On combat le curé progressiste de la région, mais on se satisfait d'un curé plus traditionnel qui célèbre la messe "aussi bien en français qu'en latin", sans qu'on sache en réalité dans quel rite.
    Du reste, une réflexion de ce prêtre "tradi" gâche tout et montre qu'il a beaucoup de chemin à faire pour être lui-même à la hauteur de l'armée idéale : "Mon lieutenant, croyez-moi, dit-il, je n'oublie jamais que je suis reçu dans l'armée de la république d'un pays laïc. Ceci pour vous rassurer. Croyez bien que je n'ai nulle intention de déborder de mes prérogatives vis-à-vis de votre unité" (p. 419).
    Ainsi, on paraît se contenter encore d'une "laïcité à la française". Même si nous ne sommes plus au temps des croisades du fait que les populations sont mêlées, nous aurions aimé que l'esprit de croisade, lui, qui était de libérer le tombeau du Christ, fût remis à l'honneur pour libérer la religion de l'athéisme imposé et pour montrer à la face de l'Islam et du monde que nous sommes un peuple de croyants.
    (...)